@pemile
Pour le reste, est-ce moi qui affirme des probabilités ? N’est-il pas
plus facile de détecter dans un fil de discussion sur les probabilités
ceux comme vous, qui simplifiez les probabilités à deux valeurs binaires 0% ou 100%
Vous éludez, car ce que je soutiens, c’est que vous ne pouvez pas faire de probabilités sur l’émergence de la vie, pour les raisons que j’ai invoqué et qui sont fondées sur les critères scientifiques, à savoir, qu’il faut connaître le cadre expérimental et que ladite probabilité ne porte pas sur un fait établit, donc qui repose sur un choix binaire mais dont on connaît déjà la réponse. c’est absurde, vide de sens, sauf pour tromper son monde. C’est ce qu’on appelle du sophisme.
Je ne fais que le relever et essayer de vous faire comprendre l’absurdité du raisonnement, dû aux aberrations du cerveau humain ne connaissant pas de limites et refusant qu’il puisse y en avoir. Croyez moi, je vous dispense du développement analytique car impossible à formuler en quelques lignes.
Publiez vite un article sur la « logique causale » de l’autoroute de la fourmi de Langton, vous serez le premier !
Certes, mais avez vous compris au moins quelque chose dans le commentaire qui en parle ?
Le commentaire vous la donne. Reprenez la, développez la et la gloire sera pour vous !
Au
fait, écrire « logique causale » est un pléonasme, la logique est
toujours causale et la causalité toujours logique. Ce qui ne l’est pas,
c’est la dissociation de relation de causalité, qui permet de soutenir
que 2 + 2 = 5 ou de dire que la vie est une probabilité, malgré qu’elle
soit un fait établit par sa propre existence. Mais encore une fois, cela permet de nier le principe de relation de causalité.
Autrement dit, le
fait qu’il y ait dissonance élimine t-elle la logique ? La réponse est
non en considérant le principe, mais oui en considérant la volonté
humaine de ne pas suivre le principe, mais de prétendre en faire ce
qu’il veut, n’importe comment, n’importe où et avec n’importe qui.Le problème, c’est que la seule issu est le néant ou revenir au principe et de s’y soumettre... Me voilà converti à l’Islam ! 