Quelle
fatigue !!!
Et quand on
pense que pour créer des emplois de fabricants de petites cuillères en France,
il suffirait d’y faire revenir la fabrication des petites cuillères fabriquées
en Chine et ailleurs !
Comment ?
En taxant
l’importation des petites cuillères importées, de telle sorte que leur prix CAF
port français ou franco-frontières françaises redevienne supérieur à leur prix
départ usine France… Indépendamment de l’intérêt budgétaire que nous y
trouverions, ceci serait aussi valable pour les petites cuillères, que pour
les pinces à linges, pour les chemises de nuit et… et… et… pour les
automobiles, pour ne citer qu’elles !
Mais là,
nous entendons déjà les « experts » nous assener que c’est impossible
car les pays fabricants de petites cuillères interdiraient l’importation de nos
produits… Ce qui est probable, c’est du
moins qu’ils essayeraient…
Je dis
bien : « qu’ils essayeraient », car nous, les non-experts,
savons tous que notre balance commerciale est de plus en plus déficitaire, le
montant de nos importations étant de beaucoup supérieur à celui de nos
exportations…
Il suffirait
donc pour faire réfléchir les mauvais joueurs sur cet aspect de la question que
nous retrouvions des « experts » suffisamment intelligents,
compétents (et plus patriotes que des boutiquiers), capables de négocier des
contingents import-export équilibrés en valeur avec les autres puissances
commerciales.
Nous savons
que cela marche, puisque cela marchait très bien avant la prise du pouvoir
politique par les boutiquiers…