@pemile
le principe d’apprentissage du système immunitaire
Si l’organisme subit une agression, une intrusion, il réagit ... c’est une lapalissade. Ceci je ne suis nullement convaincu de la démonstration scientifique concernant les vaccins. La biologie reste une science (très) « molle », les spéculations dans le domaines sont innombrables, les résultats très incertains. La « science des vaccins » est encore (de mon point de vue) à un stade très empirique, néolithique, et tient plus de la science de rebouteux que de la SCIENCE, comme le confirment ses origines.
La vaccination a été immensément auréolée sur la foi des travaux de Pasteur devenue une icône nationale française, mondiale même, mais qui n’inventa rien du tout. A l’évidence il s’inspira des travaux et expérimentations de Edward Jenner
http://www.herodote.net/14_mai_1796-evenement-17960514.php
qui lui-même (sujet anglais) s’inspira très vraisemblablement Zabdiel Boylston qui publia en Angleterre ses investigations en 1726, connaissances qu’il tenait d’une relation Cotton Matter pasteur très influent de Boston qui l’avait appris lui-même de son jeune esclave africain Onesimus.
L’OMS n’ignore rien de tout cela :
page 16, History of small-pox, variolation and vaccination ; 3.1 Possible origin of smallpox and hsitory of its global spread, Rapport OMS, THE GLOBAL ERADICATION OF SMALLPOX, 1979
http://apps.who.int/iris/bitstream/10665/39253/1/a41438.pdf
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GENÈSE AFRICAINE DE LA VACCINATION
Ironie de l’histoire, aujourd’hui c’est « l’Occident » qui harcèle le continent africain pour vacciner toute sa population !
l’ouvrage peut être téléchargé sur le site « The Medical Heritage Library » :
Historical Account of the Small-Pox Inoculated in New England
par Zabdiel Boylston
« An historical account of the small-pox inoculated in
New-England, upon all sorts of persons, whites, blacks, and of all ages
and constitutions : with some account of the nature of the infection in
the natural and inoculated way, and their different effects on human
bodies ; with some short directions to the unexperienced in this method
of practice ; humbly dedicated to Her Royal Highness the Princess of
Wales (1726) »
https://archive.org/details/2544007R.nlm.nih.gov
ou le lien PDF direct :
https://ia601700.us.archive.org/16/items/2544007R.nlm.nih.gov/2544007R.pdf
Zabdiel Boylston (1679-1766) was a physician in the Boston area.
During a smallpox outbreak in 1721 in Boston, he inoculated about 248 people[4] by
applying pus from a smallpox sore to a small wound on the subjects, a
method said to have been previously used in Africa. Initially, he used
the method on two slaves and his own son, who was 13 at the time. This
was the first introduction of inoculations to the United States. An African slave named Onesimus taught the idea to Cotton Mather, the influential New England Puritan minister.
His method was initially met by hostility and outright violence from
other physicians, and many threats were made on his life, with some even
threatening to hang him on the nearest tree. He was forced to hide in a
private place of his house for 14 days, a secret known only by his
wife. During this hostility, his family was also in a dangerous
situation. His wife and children were sitting in their home and a
lighted hand-grenade was thrown into the room, but the fuse fell off
before an explosion could take place. Even after the violence had
subsided, he visited his patients only at midnight and while
disguised.[5] After his initial inoculations of his son and two slaves,
he was arrested for a short period of time for it (he was later released
with the promise not to inoculate without government permission). In
1724, Boylston traveled to London, where he published his results as Historical Account of the Small-Pox Inoculated in New England, and became a fellow of the Royal Society two years later. Afterward, he returned to Boston.
traduction Google (désolé c’est pas terrible, mais je n’ai pas
le temps, cela donnera une idée à ceux qui ne sont pas très à l’aise
avec l’anglais)
Lors d’une variole épidémie en 1721 à Boston , il a inoculé environ
248 personnes [4] en appliquant pus d’une variole mal pour une petite
plaie sur les sujets, une méthode auraient déjà été utilisée en Afrique.
Initialement, il a utilisé la méthode sur deux esclaves et son propre
fils, qui avait 13 ans à l’époque. Il s’agissait de la première
introduction de vaccins au États-Unis . Un esclave africain nommé
Onésime a enseigné l’idée de Cotton Mather , l’influent
Nouvelle-Angleterre puritaine ministre.
Sa méthode a été initialement rencontré par l’hostilité et de la
violence pure et simple d’autres médecins, et de nombreuses menaces ont
été faites sur sa vie, certains allant même jusqu’à menacer de lui
accrocher sur l’arbre le plus proche. Il a été forcé de se cacher dans
un lieu privé de sa maison pendant 14 jours, un secret connu seulement
par son épouse. Au cours de cette hostilité, sa famille était également
dans une situation dangereuse. Sa femme et ses enfants étaient assis
dans leur maison et une grenade allumée a été jeté dans la salle, mais
le fusible tombé devant une explosion pourrait avoir lieu. Même après
que la violence avait diminué, il a rendu visite à ses patients qu’à
minuit et en étant déguisé. [5] Après ses inoculations initiales de son
fils et de deux esclaves, il a été arrêté pour une courte période de
temps pour elle (il a été libéré avec l’ promettre de ne pas inoculer
sans l’autorisation du gouvernement). En 1724, Boylston s’est rendu à
Londres , où il a publié ses résultats sous forme de récit historique de la petite vérole inoculée dans la Nouvelle-Angleterre, et est devenu un membre de la Société royale deux ans plus tard. Par la suite, il est retourné à Boston.
repères historiques :
Cotton Mather (1663-1728)
- un des chefs religieux les plus influents aux États-Unis - appuya son
père lorsque celui-ci mettait en garde les juges des procès des
sorcières de Salem contre la recevabilité des témoignages de spectres
(témoignages de victimes de sorcellerie affirmant avoir été attaquées
par un fantôme prenant la forme de quelqu’un qu’elles connaissaient). Il
eut également un rôle éminent dans la promotion du vaccin contre la variole, bravant la désapprobation de la communauté puritaine et allant jusqu’à inoculer son propre fils, qui faillit en mourir.
GENÈSE AFRICAINE DE LA VACCINATION
« An African slave named Onesimus taught the idea to Cotton Mather ... » (cité ci-dessus voir Zabdiel Boyston)
Onesimus (fl. 1706 - 1717), slave and medical pioneer ...
Little is known of Onesimus after he purchased his freedom, but in
1721 Cotton Mather used information he had learned five years earlier
from his former slave to combat a devastating smallpox epidemic that was
then sweeping Boston. In a 1716 letter to the Royal Society of London,
Mather proposed “ye Method of Inoculation” as the best means of curing
smallpox and noted that he had learned of this process from “my Negro-Man Onesimus,
who is a pretty Intelligent Fellow” (Winslow, 33). Onesimus explained
that he had undergone an Operation, which had given him something of ye
Small-Pox, and would forever preserve him from it, adding, That it was
often used among [Africans] and whoever had ye Courage to use it, was
forever free from ye Fear of the Contagion. He described ye Operation to
me, and showed me in his Arm ye Scar.” (Winslow, 33)
http://dubois.fas.harvard.edu/onesimus-fl-1706-1717-slave-and-medical-pioneer-was-born