@André Martin
C’est exact, et cette hiérarchisation des normes commence par celle lié à l’environnement économique. Or, la hiérarchie actuelle (et passé) met au dessus de tout la propriété économique. De fait, toute politique sociale est placé en dessous et son opposition ne peut être que subordonnée, donc, inférieure.
Autrement dit, pour celui qui veut placer l’intérêt général, donc social, au dessus de l’intérêt particulier, donc a-social, il n’a d’autre alternative que la collectivisation de l’appareil productif, sinon, il ne peut que soutenir la loi travail.
Car la somme des intérêts particulier ne définit pas l’intérêt général, mais son absence.
L’intérêt général ne peut être que la somme des utilités particulières où l’intérêt particulier est alors définit par son utilité particulière à servir l’intérêt général.
La hiérarchie est alors inversée, l’intérêt de quelques uns ne peut plus alors définir l’intérêt général, c’est à dire, le leur où celui des autres leur est soumis.
Ecrit en aphorisme,
l’intérêt général est la somme des utilités particulières à l’accomplissement de la volonté générale, définit par la somme des besoins de chacun et de leur aspirations supérieures, dans les limites de contraintes jugés supérieures que sont le respect des autres formes de vie et des droits/devoirs intergénérationnels.
En une autre formulation
le laisser aller économique commence là où s’arrête les nécessités du contrat social et s’arrête là où commence les contraintes jugés supérieures que sont le respect des autres formes de vie et des droits/devoirs intergénérationnels.
Le laisser faire économique est la variable d’ajustement du contrat social et des contraintes jugés supérieures.