"S’il est établi de manière
indiscutable par les scientifiques que les races n’existent pas..."
Il y a tout de même différentes manières de voir
les choses et de les présenter.
Le professeur Luigi Luca Cavalli-Sforza, spécialiste
de la biologie des populations et membre associé de l’Académie des Sciences en
comparant des groupes d’allèles – je vous laisse creuser si cela vous intéresse -, a établi l’existence de neufs populations, classées par distances génétiques,
correspondant à des aires géographiques précises :
— 1. Papous de Nouvelle-Guinée et Aborigènes
d’Australie ;
— 2. Habitants des îles du Pacifique (Polynésiens, Canaques de
Nouvelle-Calédonie, etc.) ;
— 3. Habitants du Sud-Est asiatique (Khmers,
Thailandais, Indonésiens, Malais, Philippins…) ;
— 4. Asiatiques du Nord
(Mongols, Tibétains, Coréens, Japonais, Chinois du Nord) ;
— 5. Peuples de
l’Arctique ;
— 6. Indiens d’Amérique (du Nord, centrale et du Sud) ;
— 7. Européens
blancs (caucasoïdes) ;
— 8. Caucasoïdes non-européens (Nord-Africains, habitants
du Proche-Orient, Iraniens, Indiens, Pakistanais, etc.) ;
— 9. Africains.
Comme c’est un antiraciste à chaux et à sable, il les a
affublées d’un nom anglais, clusters, comme ça tout le monde est content, les
scientifiques et les négationnistes des races humaines. Les autres, on s’en
fout, puisque ce sont des délinquants, le racisme, comme chacun sait, n’étant
pas une opinion, mais un délit.