@gimo
Quelles sont vos questions ? Hormis des jugements sur ma personne je n’ai vu aucune question. Je vous écoute. Je peux y répondre.
Une nouvelle fois vous assénez des jugements. Les voici : « vous faussez les pistes » ; « vous cachez votre angoisse » ; « des personnes comme vous il y en a des tonnes sur terre » ; « de si mauvaise foi » ; « le reflet de votre fausseté ». Le message que vous venez de poster est dépourvu de substance. Il ne comporte que des jugements. Est-ce que vous vous en rendez compte ?
Conclusion. Vous n’avez absolument rien dit ! Vos jugements vous enferment. Vous aimez poser des « étiquettes » sur les personnes, cela vous rassure ? Ceci est un acte de supériorité parce que cela implique d’avoir les connaissances suffisantes pour juger autrui. En jugeant vos semblables vous usurpez un pouvoir, vous vous prétendez supérieur aux autres alors que ce n’est pas le cas. Vous créez un rapport de force artificiel et infondé à l’origine de tensions et de malaises dans les relations, même si vous n’en avez pas conscience. Vous savez qu’un émettant un jugement vous vous octroyez implicitement la compétence de le faire. Ainsi tant que vous collerez des étiquettes sur la réalité vous serez distant de cette réalité, coupé de celle ci. Derrière chaque jugement se cache un avis que l’on tente d’imposer et qui donne tort à ceux qui ne le partage pas. Le contenu d’un jugement n’est souvent qu’un alibi pour exercer son pouvoir sur un autre individu. Réfléchissez y, en général.
Il y a une chose simple à faire. Reprenez ce que j’ai écrit, propos sur lesquels, visiblement, vous n’êtes pas d’accord. Déconstruisez ceux-ci en argumentant. Ceci vous évitera de poser des étiquettes sur moi comme « cachez votre angoisse », « reflet de votre fausseté ».
Quant à moi, je ne vous ai pas jugé.