@hervepasgrave, regarder la Constance et en même temps le danger vraiment beaucoup de personnes attende l’homme providentiel ; les religieux mystique le messie, le mashia’h,,, le masih et pour le matérialiste le grand manitou qui va tous harmonisé, c’est que l’on est bien aujourd’hui à un carrefour spirituelle du Monde, où bien l’on est lucide des enjeux où bien l’on est compils de la décadence généralise du monde ... !
Il y a plus d’alternative :
Hamlet, acte 3 scène 1
Anglais
Français
To be, or not to be : that is the question :
Whether ’tis nobler in the mind to suffer
The slings and arrows of outrageous fortune,
Or to take arms against a sea of troubles,
And, by opposing, end them. To die, to sleep,
No more, and by a sleep to say we end
The heartache, and the thousand natural shocks
That flesh is heir to ; ’tis a consummation
Devoutly to be wish’d. To die, to sleep,
To sleep, perchance to dream, ay, there’s the rub ;
For in that sleep of death what dreams may come
When we have shuffled off this mortal coil,
Must give us pause. There’s the respect
That makes calamity of so long life,
For who would bear the whips and scorns of time,
The oppressor’s wrong, the proud man’s contumely,
The pangs of despis’d love, the law’s delay,
The insolence of office and the spurns
That patient merit of th’unworthy takes,
When he himself might his quietus make
With a bare bodkin ? Who would fardels bear,
To grunt and sweat under a weary life,
But that the dread of something after death,
The undiscover’d country from whose bourn
No traveller returns, puzzles the will,
And makes us rather bear those ills we have
Than fly to others that we know not of ?
Thus conscience does make cowards of us all,
And thus the native hue of resolution
Is sicklied o’er with the pale cast of thought,
And enterprises of great pitch and moment
With this regard their currents turn awry,
And lose the name of action. - Soft you, now !
The fair Ophelia ! Nymph, in thy orisons
Be all my sins remember’d.
Être, ou ne pas être, telle est la question.
Y a-t-il plus de noblesse d’âme à subir
la fronde et les flèches de la fortune outrageante,
ou bien à s’armer contre une mer de douleurs
et à l’arrêter par une révolte ? Mourir… dormir,
rien de plus ;… et par ce sommeil dire que nous mettons fin
aux maux du cœur et aux mille tortures naturelles
qui sont le legs de la chair : c’est là une terminaison
qu’on doit souhaiter avec ferveur. Mourir… dormir,
dormir ! peut-être rêver ! Oui, là est l’embarras.
Car quels rêves peut-il nous venir dans ce sommeil de la mort,
quand nous sommes débarrassés de l’étreinte de cette vie ?
Voilà qui doit nous arrêter. C’est cette réflexion-là
qui nous vaut la calamité d’une si longue existence.
Qui, en effet, voudrait supporter les flagellations et les dédains du monde,
l’injure de l’oppresseur, l’humiliation de la pauvreté,
les angoisses de l’amour méprisé, les lenteurs de la loi,
l’insolence du pouvoir et les rebuffades
que le mérite résigné reçoit des créatures indignes,
s’il pouvait en être quitte
avec un simple poinçon ? Qui voudrait porter ces fardeaux,
geindre et suer sous une vie accablante,
si la crainte de quelque chose après la mort,
de cette région inexplorée, d’où
nul voyageur ne revient, ne troublait la volonté,
et ne nous faisait supporter les maux que nous avons
par peur de nous lancer dans ceux que nous ne connaissons pas ?
Ainsi la conscience fait de nous tous des lâches ;
ainsi les couleurs natives de la résolution
blêmissent sous les pâles reflets de la pensée ;
ainsi les entreprises les plus énergiques et les plus importantes
se détournent de leur cours, à cette idée,
et perdent le nom d’action… Doucement, maintenant !
Voici la belle Ophélia… Nymphe, dans tes oraisons
souviens-toi de tous mes péchés1