@Fifi Brind_acier
Je suis désolé de vous contredire mais en Russie la civilisation est chrétienne orthodoxe. La multiethnicité n’est pas un problème.
Vous refusez de prendre en compte que le coran renferme des règles immuables qui régissent les rapports sociaux, des hommes avec les femmes, des autres religions avec les musulmans, par exemple. Les interdits alimentaires et les recommandations vestimentaires sont de la gnognote comparés aux interactions sociétales déterminées par le coran.
La charia impose des obligations aux croyants, je ne l’invente pas, il suffit de lire. La charia réglemente la totalité de la vie du croyant : le droit de la famille, la vie en société, le statut social des hommes et des femmes, le respect de la religion musulmane. La charia définit des sanctions d’une gravité variable pour le non-respect de ces règles.
Un musulman pratiquant a donc une vision de la société en rapport avec sa croyance. Ces règles, édictées par le coran, devraient être appliquées à l’échelle du pays où il vit. C’est en ce sens que le coran porte un contenu politico-social.
Ceci n’existe pas dans les autres religions, ou à la marge.
Il ne s’agit donc pas de penser en terme de cultures différentes ou d’ethnies différentes. Il s’agit de s’interroger sur les règles sociétales véhiculées par le coran. Les musulmans veulent-ils que ces règles s’appliquent dans leur espace de vie, oui ou non ? Avez vous une réponse Fifi ?
Par exemple, la discrimination sexiste est une réalité dans le coran. Un musulman est d’accord avec cette discrimination puisqu’elle est inscrite dans le coran. D’ailleurs, notez bien que je ne critique pas cette croyance. Si des hommes et des femmes veulent vivre dans une civilisation musulmane c’est leur choix.La notion de « dhimmi » existe t-elle dans les autres religions ?
Je vous propose d’interroger des musulmans et de leur poser la question de savoir s’ils souhaitent vivre dans une civilisation musulmane ou une civilisaiton chrétienne au sein de laquelle de nombreuses recommandations du coran sont rejetées. Veulent-ils régler leur vie sur les recommandations du coran ou sont-ils d’accord de rejeter une partie de celles ci ? C’est une question simple mais qui dépasse le domaine de la multiconfession et de la culture.