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Autre argument, sur agoravox (entre autres),
ses sympathisants (de F.Asselineau) sont « accusés » d’être
fanatiques.
Le fanatisme correspond plutôt au fait de s’obstiner
à voter pour des gens qui ont clairement montré que leur présence
au pouvoir n’était pas dans notre intérêt, juste parce qu’ils
appartiennent à des partis ancestraux. N’est ce pas un comportement
fanatique que de voter pour le même parti depuis 30 ans, quoi
qu’aient pu faire leurs représentants ? Ça finit, d’ailleurs,
par ressembler à du fanatisme religieux.
Il est peut être temps de
revenir au choix de candidats en vertu du fond du discours, et pas
par allégeance à un parti.
ou encore, ne s’intéresser qu’à
certains candidats, parce qu’on les voit tous les jours à la télé
et sur lesquels les gens opèrent un effet d’imprégnation (conférer
Konrad Lorenz et ses oies) et rationaliser ce qui ne l’est pas, par des arguments numéraires : nous nous
intéressons à ceux qui ont des chances d’arriver au second tour.
Ou
encore, réserver son attention à des candidats, qui bien que
n’étant pas du tout bénéfiques pour la communauté, ne toucheront
pas trop mes « petites affaires », mes « petits acquis ».
Cela limite, en effet un choix qui serait
véritablement libre.
Mais, à chaque fois, l’attitude est celle
d’habiller les motivations profondes, peu présentables où dont le sujet, n’est même pas conscient, derrière
des arguments fallacieux (chances d’éligibilité, la fidélité ou
encore confondant perfidie et intelligence : il est plus malin que les autres parce qu’il les noie sous des manoeuvres sulfureuses).
Qui aurait le
courage (dans le sens se comporter en leader et choisir quelqu’un sur
des critères nouveaux ou considérés comme dépassés, alors qu’ils sont intemporels) de choisir un
candidat qui tiendrait le discours que V.Poutine vient de tenir (et
avait déjà tenu, il y a deux ans) ?
https://fr.sputniknews.com/russie/201609201027842743-poutine-principes-vie/
Si la Russie devait frapper
l’Europe (ce n’est pas exclu), un jour, il ne faut pas oublier que ce pays supporte
(désormais depuis quelques années), mépris, humiliations, critiques (Poutine a été taxé publiquement d’autiste), de fausses accusations (conférer vote en Crimée, en comparaison avec les élections à l’Ouest, qui, comme chacun sait, sont parfaitement transparentes), d’attaques masquée (encerclement
de la frontière russe), avec une patience inouïe, provocations dangereuses.
La marge de manoeuvre russe (pour préserver la paix) se réduit
chaque jour, où, le moindre geste, la moindre parole malheureuse
peut provoquer une réaction de vierge outragée, de la part des US
et de l’Europe de l’Ouest.
Les comportements en Syrie (mais aussi sur une scène moins sombre : les jeux olympiques et paralympiques du Brésil) en
disent long sur les aspirations des uns et des autres.
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