bonjour cristobol
sujet d’avenir. Il convient donc de ne pas sombrer dans
la confusion des genres entre médecine, transhumanisme, eugénisme, scientisme,
technologie et science. Il faut bien distinguer les bons et mauvais usages de
la technique et ne pas le reprocher à la science mais aux hommes utilisant
celle-ci.
je suis naturellement d’accord avec la nécessité de faire les distinctions qui s’imposent.
Et dans l’ensemble tous ce que nous faisons requièrent la prudence que ne prennent
pas les capitalistes quand il s’agit de faire de l’argent et les sociétés quand
elles se font la guerre. C’est pour cela que depuis longtemps je soutiens que
la guerre est un crime contre l’humanité, car là contrairement aux effets des
découvertes scientifique nous sommes en pleine connaissance de nos actes est
stipuler que le conflit est une source de créativité indispensable relève de la
justification d’une impuissance à prendre une décision volontaire pour s’en
donner les moyens. La guerre étant un acte culturel d’intérêt économique. Nous pourrions
innover dans ce que nous faisons depuis des siècles remplacer l’homme au travail. L’avoir comme objectif serait
certainement plus productif technologiquement que de tirer bénéfice de l’armement
pour s’auto détruire alors que la guerre ne concours aucunement à la régulation
de la population.
Pour atteindre les cieux les hommes ont développé des mythes
fondateurs d’un tas de créativité, et nous en serions peut-être tout aussi bien
arrivés à faire des fusées ou autre pour cela.
Sur le fond se pose l’éternel problème de la découvert sans
transgression des docteur d’antan qui passaient outre l’interdiction de déterrer
des cadavres pour observer l’intérieur des corps, nous n’en serions peut être
pas à notre niveau de soin aujourd’hui. Ce point de vue est aussi valable pour
la guerre la différence entre les deux, c’est ce que tu soulèves, le bénéfice
qu’en retire l’humain.
Celui qui cherche ne sait pas où il met les pieds et ne peut
connaitre le bien ou le mal de ce qu’il entreprend qu’une fois la chose réalisé,
soit rapidement comme marie et jolio Curie ou tardivement comme nos découverte
de la nuisance de nos production, ce que nous appelons la pollution. Sauf que
pour arriver à voir certains de nos dégâts il a fallu avoir une augmentation de
nos sens, c’est-à-dire disposer des moyen de voir l’infiniment petit et l’infiniment
grand, chose que nos sens ne nous permettent pas de faire, bien qu’ensuite se
soit notre cerveau qui interprète également en augmentant sa capacité cognitive
grâce à des calculateurs et autres moyens.
Théoriquement la probabilité que l’on se trompe est
constante. Nous n’avons plus rien de bien commun avec le Cro-Magnon s’il est
notre ancêtre interrogé, sur l’évolution il aurait pu tenir ou écrire ton
article, car il est l’observation d’une constante et lente évolution humaine
qui s’accélère. Tu soulèves la problématique fondamentale de savoir quelle voie
l’on pose pour faire usage de nos découvertes. Ma réponse est toujours dans ce
domaine la même. L’individualisme qui emporte la singularité de chacun qui doit
tout rapporter à lui pour vivre, n’emporte pas de tout mettre au service de son
ego, mais de mettre son ego au service des voie nécessaire à tous parce que
aujourd’hui nous savons que toute nos actions interférent sur les autres. Peut-être
qu’un indien d’Amazonie mourra d’un cancer sans le savoir et attribuera sa mort
à son dieu animiste, mais nous nous savons que nous avons pollué la planète.
Que l’humain soit guidé par la recherche de l’éternité, ce
fut un attracteur formidable pour la créativité et nous sommes toujours dessus
et il ne faut pas l’éteindre. Posera t il des problèmes certainement, ceux liés
à notre méconnaissance, mais sur tout ceux liés à l’exploitation capitaliste
qui qu’en elle les voit surgir les caches. (L’amiante par exemple). Augmenter nos
aptitudes de l’intérieur du corps alors qu’aujourd’hui nous le faisons de l’extérieur,
ce que j’appelle l’extériorisation de nos sens, se place dans le cadre de l’évolution
de notre espèce. Les hommes antérieurs dans leur nourriture et dans l’observation
de la nature ont modifié leur environnement et lui leur évolution par l’usage
de leurs créations, c’est le passage lent du culturel au génétique donc la
tolérance à la lactose et un exemple. La différence c’est que nous en avons
conscience et que ne l’avaient pas car ils n’avaient pas la durée pour cela ni
l’existence noté dans des livre comme nous qui permet l’accélération. Je ne
pense pas qu’il faille avoir peur de nos découvertes, mais il faut disposer
pour cela d’une éthique. Le trans-humain ne m’effraie pas si on ne le met pas
entre les mains de capitalistes ce qui m’effraie c’est la production de robots
soldats entre les mains de peuples guerriers. Pour conclure, il faut se penser
dans la nature et tout ce que nous faisons bien ou mal a une raison d’être car
nous ne sommes pas les maitre des lieux et tout ce que nous pensons est en
potentialité d’être mais toujours déformé ou distordu par nos langages qui ne
sont qu’un point arrêté dans un monde en mouvement dont nous ne connaitrons
jamais l’objectivité puisque nous le filtrons. L’eugénisme nous le pratiquons
déjà par les consultations prénatales et l’IVG. Il n’est pas au service d’un dogme
d’une recherche de race pure, ni de l’homme parfait, pour l’instant il envisage
que de soulager l’humain d’un certains nombres de vicissitudes. Mais l’on peut
s’interroger sur l’usage d’avoir à choisir la couleur de ses cheveux pour ses
enfant suivant la mode du jour qui pourra devenir une tare plus tard comme un
ami qui s’appelle Charles Magne suivant, c’est l’usage esthétique comme tu le
soulignes
Cordialement.
https://www.youtube.com/watch?v=yUMGHeLoLbA
http://ddacoudre.over-blog.com/55c7d999-e91f.html. seulement la conclusion à lire