bonjour clodec
rien ne reste en l’état tout évolue et la nature ne nous laisse observer comme règle que chaque espèce dispose des moyens de survivre au détriment de l’autre dont elle se nourri.
notre activité culturelle humaine en élaborant par la technologie et les savoirs les moyens de retirer du sol ce qui n’est pas en quantité suffisante pour vivre, concours à modifier son environnement et développer une civilisation où tous ce que les humains ont construit disparaitra avec eux. la question est donc est-ce que tous les hommes ont participé à cette évolution. non bon nombre sont resté dans l’apathie comme tu l’écris et se sont laissé entrainé dans le sillage des découvreur. aujourd’hui ces même découvreur font le constat t des dégâts engendrés par nos mode de production qui laisse derrière elle une nappe de pollution. il n’y a aucun doute à avoir sur la nature elle absorbera tout puisque tout vient d’elle. sauf qu’elle n’absorbe pas nos pollutions au rythme ou nous les produisons. cela demande donc une prise de position politique qui remet en cause l’usage de produit nocif dont des industriels retirent des profit et les consommateurs des facilités. sur cela se rajoute le poids des blocages psychologique qui rendent d’application difficile de changement simple comme changer de nourriture.
la difficulté que tu soulève est celle de l’approche intellectuelle du monde contre l’approche émotionnelle. l’émotion c’est le quotidien qui passe par nos sens. ingérer un produit nocif s’il ne percute pas immédiatement nos sens il n’est pas rejeté mais absorbé, donc la dangerosité défini intellectuellement est diversement interprété par notre réflexion, plus elle s’éloigne de nos sens moins elle devient pertinentehttp://ddacoudre.over-blog.com/2016/11/sommes-nous-condamnees-a-une-incurie-populaire.html cordialement.