Pour accréditer l’argument de « victimes de crimes de guerre » la rhétorique de François Hollande et de cette coalition off-shore présentent les « rebelles » comme des civils d’une « guerre civile » bien que de nombreux faits contradictoires attestent, qu’elle n’a jamais eu lieu, pas plus qu’une révolution syrienne n’avait eu lieu, comme la présence de dizaines de milliers de combattants étrangers dont les motivations dans une guerre civile (normalement « entre syriens ») se révèlent assez incompréhensibles, ce qui fait penser qu’ils sont mercenaires.
Les faire passer pour « victimes de crimes de guerre » n’est une posture juridique politicienne afin d’être potentiellement éligible par la Cour Pénale Internationale et de saisir le Conseil de sécurité de l’ONU.
Mais sans preuves attestées, évidentes, corroborées, solides ça ne mène à rien.
Attaques chimiques en Syrie : Que valent les « preuves » de l’ONU sous anonymat ?
— 31 août 2016
Moscou met en doute les conclusions de l’ONU
L’ambassadeur russe auprès de l’ONU, Vitali Tchourkine, a déclaré que le rapport sur l’utilisation d’armes chimiques en Syrie n’était pas suffisant pour sanctionner Damas car il ne se basait que sur des témoignages sous couvert d’anonymat.
« Le rapport ne présente personne à sanctionner. Il n’y a pas de noms, de détails, d’empreintes. Il faut se comporter en professionnel. A vrai dire, tout serait plus facile s’il y avait dans le rapport quelque chose de concrète », a déclaré Vitali Tchourkine aux journalistes après la réunion consacrée au rapport commun de la mission de l’ONU en Syrie et de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) qui s’est déroulée à huis clos.
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http://arretsurinfo.ch/attaques-chimiques-en-syrie-que-valent-les-preuves-de-lonu-sous-anonymat/