@La Baudruche négrière patronale verdie
Dites, vous savez vous exprimer autrement que par citation ? Autrement dit, avez vous une pensée qui vous soit propre ?
Surtout, il faut pas croire que citer quelqu’un est une preuve, cette dernière se fonde uniquement sur la raison et non sur le point de vue personnel.
Mais je vais faire l’effort de répondre à vos « soutient ».
Qu’est ce qui garantit le mieux la culture des pays et leur sauvegarde ?
La volonté de les conserver !
Sauf que dans une économie globalisé, dans une conscience humaine tout aussi globalisé, ce qui est déterminant, c’est la manière dont on pense les rapports humains. Soit en concurrence et alors, c’est le capitalisme avec tous les effets constatés par vos auteurs. Soit c’est la coopération, qui implique de répartir la production en fonction des besoins et ce, afin de permettre à tout un chacun de vivre et prospérer là où il vit et avec sa culture (maintenant, le modèle économique basé sur la coopération met en avant la localité et la globalité comme moyen d’assurer la prospérité locale et non l’inverse).
pour la majorité des migrants, partir est une contrainte, non une volonté. Il suffit donc d’assurer la paix et les moyens de vivre à chacun dans son pays pour qu’il n’y ait plus de migration forcé, mais uniquement volontaire, où cette dernière ne consiste pas à exporter sa culture, mais au contraire, découvrir et épouser celle du pays désiré. Faisant que ces immigrés sont alors plus souchien que n’importe quel souchien.
Le socialisation de l’économie au niveau mondial permet seule de se débarrasser du capitalisme, parce seule à pouvoir éliminer la nécessité de chefs.
Voyez vous, les auteurs que vous citez seraient à même de comprendre la subtilité de la chose, et vous ?
Maintenant, si vous considérez que toute réflexion est masturbatoire, alors, vous faites que vous masturber comme les autres !