Vers un anti-pédagogisme de gauche, vers un anti-pédagogisme républicain.
ça commence bien...Le pédagogisme je vois à peu près : « on » lui reprochait d’être nocif (démagogique, utopique, source d’abaissement général du niveau scolaire...) et de gauche.Forcement.
Mais l’anti pédagogisme serait lui aussi de gauche...Va comprendre Charles.
La puissance du lobby pédagogiste (je parle des massacreurs du bon sens
Nommer « lobby » des gens que l’on à missionné me semble un poil tendancieux. Surtout venant d’un type qui visiblement aime la précision du mot et sa fonction signifiante. Vient ensuite le doux qualificatif de « massacreur » . Normal : insultons d’abord on expliquera plus tard.
Et c’est là qu’apparaît l’argument massue : le bon sens !
Et oui le bon sens c’est le COD. Aussi évident que lapidaire. Limpide et imparable.Que la langue et la nation se soient passés de cette notion des siècles importe peu. La France était alors du coté obscure. C’est bien à l’invention du COD que le pays reconnaissant doit son passage à l’ère moderne.
pour qui l’école est un outil idéologique
Là clairement c’est incontestable.
On sent bien que pour l’auteur l’école n’est pas une machine idéologique.
A moins que...
et une machine à fabriquer de la paix sociale au lieu d’instruire)
Et moi qui croyait que la paix sociale était le fruit de l’immobilisme.Que c’est le changement, nécessairement dérangeant, qui risque de provoquer la foudre des bénéficiaires d’un ordre établi.
Heureusement l’auteur est là qui nous rappelle que le prédicat c’est la paix sociale.
(Ça ne saute pas au yeux du pauvre quidam de mon acabit.)
Alors que le COD c’est son contraire. Pour être honnête je ne sais pas exactement ce qu’est ce contraire.(Révolution ? Guerre civile ?)
Et c’est sans doute sa diplomatie qui le pousse à ne pas nous révéler que des pays francophones usent de cette notion de prédicat depuis des décennies. Sans doute pour préserver la paix sociale ?
Par avance toutes mes excuses pour les fautes.