Le problème de l’éducation des enfants autistes (mais aussi celui des enfants handicapés) n’avance pas effectivement.
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Si la psychanalyse n’est pas recommandée pour l’autisme, comment peut-elle être recommandable pour le reste ?
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Non contente d’avoir fait
l’objet d’un rapport de l’INSERM en 2004 qui démontre qu’elle est sans
efficacité sur le plan thérapeutique, en 1980, toutes les références
freudiennes ont été retirées du DSM pour leur absence de
scientificité.
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A mon sens une erreur de la commission « autisme » de l’assemblée nationale à été de vouloir une loi discriminatoire uniquement réservée au bénéfice des enfants autistes. Comment peut-on proposer que les enfants autistes profitent des avancées scientifiques et échappe au charlatanisme psychanalytique sans le demander pour les autres ?
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Il existe de nombreuses associations se plaignant de la psychanalyse : http://www.psychomedia.qc.ca/psychologie/2013-05-17/protestation-contre-la-psychanalyse-a-l-ecole
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Il y a aussi les associations de pères : https://www.ndf.fr/poing-de-vue/08-04-2013/lettre-ouverte-a-dominique-baudis-defenseur-des-droits-pour-denoncer-les-psychanalystes-qui-nous-volent-nos-enfants/
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Suite à son lobbying sur les décisions de justice (formation des magistrats, expertises judiciaires, etc.), la
psychanalyse contribue à tuer environ 1000 pères de famille par an (1000 suicides). 20% des enfants du divorce ne voient plus du tout leur père : https://blogs.mediapart.fr/pierre-laroche/blog/121015/la-discrimination-contre-les-peres-de-famille-expliquee-aux-enfants-et-ceux-qui-decident-de-leur
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On ne compte plus les psychologues, les ouvrages et les sites internet
qui dénoncent ensemble l’absence de scientificité du freudisme et
parfois même son charlatanisme...
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Pourquoi ne constate-t-on pas encore de synergie ?