@Cateaufoncel
"Dans la mesure où l’Islam est intrinsèquement contraire aux valeurs de
la République, à la Déclaration universelle des droits de l’homme et à
la Constitution,..."
Je vous signale que parmi d’autres formes de régimes, dont des monarchies, il y a (a eu) différentes républiques laïques dans le
monde que l’on dit musulman (ou arabe), dont sauf erreur l’Algérie,
pays natal de notre auteur. Mais J’aurais pu citer la Turquie de Mustapha Kémal
Soit, c’est votre pensée, mais merci de publier votre démonstration sur ce qu’il y a (aurait) dans le « Coran » qui contreviendrait intrinsèquement à quelque chose de contraire aux principes de la république ?
De mon point de vue, pour autant de ce que j’en ai compris, le Coran ne définit rien de précis (l’@uteur Chems Eddine pourrait me rectifier) , et laisse donc la porte ouverte à l’imagination « humaine » sur l’organisation politique, la plus propice à une sorte d’ intérêt général « fraternel » (ce qui est le sens de la Oumma), ce qui me paraît quand même assez logique si l’on admet la Transcendance de Dieu... et la liberté - ou libre arbitre - qu’Il laisse avec Bienveillance et Magnanimité à Sa Créature « l’homme » ... (- mon raisonnement se place dans l’idée de la Foi - ).
Donc, ce qui est qualifié de « califat » (seulement dans la sunna il me semble, mais pas dans le Coran précisément) peut revêtir différentes formes politiques, variées, et adaptées aux circonstances comme à l’évolution spirituelle du moment, de l’Histoire ...