@roby
Ce sera peut-être comme avec le nuage de Tchernobyl, les italiens ne sont pas du même côté des Alpes ...
Je crois que ce Rapport officiel d’une Commission d’enquête parlementaire italienne rendu public le 7 février 2018, objet du rapport : comprendre les raisons de
milliers de décès et de maladies graves chez les personnels militaires
italiens affectés à des missions à l’étranger est dans la suite des TRAVAUX DES DOCTEURS GATTI ET MONTANARI qui mettent en cause l’inocuité des nano-particules dont certaines sont contenues dans les vaccins.
Description de leurs travaux et de leur thèse :
LE SOI-DISANT « SYNDROME DES BALKANS » : UNE APPROCHE BIOLOGIQUE.
Dr Antonietta M. Gatti - Dr Stefano Montanari
C’ est un fait connu, rapporté largement par des médias, qu’un nombre
non - négligeable de vétérans de la Guerre du Golfe (1990 - 91) montre
des symptômes mutuellement non apparentés. Certains d’ entre eux peuvent
être : de violents maux de tête, par exemple, ou des troubles du
sommeil ou des troubles du comportement, de l’ étourderie, une perte de
concentration. D’ autres symptômes rapportés comme la fatigue chronique,
les douleurs musculaires ou articulaires, et la perte de capacité
respiratoire sont relativement plus difficiles à classer, mais aussi les
cancers, divers et, dans certains cas, des maladies extrêmement
inhabituelles du système reproducteur, avec une augmentation de
malformations congénitales parmi des enfants de vétérans et ainsi que
des anomalies sanguines ou des lymphomes sont manifestement dus à des
causes n’ ayant aucun rapport avec le stress. D’ autres vétérans de la
guerre du Golfe souffrent de pathologies, comme la mort soudaine ou la
maladie de Lou Gehrig ( =Sclérose Latérale Amyotrophique), maladies très
significatives. Mais le problème est malencontreusement plus large et
non limité à ce groupe de population militaire.
Les symptômes très similaires sont décrits par des soldats qui ont servi dans les Balkans pendant
les conflits de Bosnie, Serbie ou Kosovo, mais avec une incidence
exceptionnellement haute de lymphomes d’ Hodgkin ou non – Hodgkiniens. Des personnels de missions humanitaires et la population locale souffrent également des mêmes maladies.
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Ainsi,
aucune réponse n’était donnée à la question : pourquoi est-ce que les
gens vivant dans des théâtres de guerre et les soldats travaillant dans
des conditions particulières contractent ces maladies avec une fréquence
aussi alarmante ?
Notre Laboratoire de Biomaterials de L’université de Modena et Reggio Emilia (Italie) s’ est engagé en vérifiant par la bioptique et l’ autoptique des
échantillons venant de patients appartenant aux groupes décrits
ci-dessus. Il est un fait incontestable que tous les échantillons
contiennent des micro et nano particules inorganiques, tandis qu’il peut
être intéressant à observer qu’ aucun d’eux montre de trace d’uranium.
Du point de vue technique, ces très petits fragments peuvent être
analysés en utilisant une technique innovatrice de microscopie
électronique que nous développons et qui a été décrite déjà dans la
littérature scientifique. Ce que nous trouvions c’ était, en très
petites quantités, agglomérés parfois, des métaux combinés ou simples
comme : Fe-Si, Cu-Cl-Zn, Si-Ti-Fe-Al, Si-Bi, Si - Pb, Fe-Cu-Zn,
Cr-Fe-Ni, Fe-Mn et, mais juste une fois que, du Zr seul.
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Les
gens présents dans les théâtres de guerre, et étant soldat ou civils
indifféremment, respirent les micro et nano - particules tandis qu’elles
sont suspendues dans l’air comme un aérosol, mangent et boivent des
légumes et de l’eau contaminés.
Nous avons amplement démontré
avec nos recherches qu’une fois que ces particules de taille évaluée à :
10-9 à 10-5 m, entrent dans le corps, soit par l’ appareil digestif ou
le système respiratoire, elles peuvent aisément franchir les tissus
protecteurs ou même être capturées par les tissus eux-mêmes et être
transportées par le sang ou la lymphe jusqu’à ce qu’ elles finissent
leur le voyage dans un certain organe (par exemple les reins et le foie)
ou les ganglions lymphatiques, par exemple, qui sont les organes où les
lymphomes commencent et se développent. Dans tous cas pathologiques
vérifiés, nous trouvions la présence de particules inorganiques. Mais
encore dans tout autres spécimens pathologiques, nous avons eu la
possibilité d’ observer cela clairement et sans aucune exception la
présence de ces particules.
Il est important de souligner qu’aucune des particules trouvées est biodégradable.
Il est juste de confirmer l’ applicabilité de la théorie selon
laquelle le « soi-disant Syndrome Balkanique » a une origine écologique
et nanopathologique. Les particules trouvées dans les tissus malades
de soldats et civils, et les particules trouvées dans le sol des
territoires où les pathologies étaient contractées sont mutuellement
compatibles.
Si aucun uranium n’était jamais détecté, cela ne
signifie pas nécessairement qu’ il n’y en a aucune trace quelque part
dans les tissus des patients. Le fait est vraisemblablement dû à sa
quantité qui est extrêmement rare comparée aux masses énormes des
cibles. Il est aussi possible que ces particules d’uranium aient été
capturées par des tissus mais, probablement parce qu’ils n’atteignaient
pas un seuil critique, ne déclenchant pas de maladie et, par conséquent,
nous n’avions pas la chance de recevoir et d’étudier les échantillons.
En conclusion, la responsabilité de l’ Uranium Appauvri est seulement
indirecte, et ce n’est pas sa radioactivité qui est à blâmer, mais la
température très haute de ces produits d’uranium une fois que les
munitions dans lesquelles ils sont contenus frappent la cible.
Il est alors possible que le « Syndrome Balkanique » ait une origine
multi – factorielle, incluant radioactivité et vaccinations, mais la cause principale est sans tout doute nanopathologique.
http://loulou.chars.chez-alice.fr/gatti.htm