L’auteur nous avait déjà gratifié d’un inénarrable article sur le dernier livre de Jannette Bougrab : Lettre d’exil, La barbarie et nous.
Wikipedia indique que : ’’En avril 2015, à la suite de sa forte médiatisation après l’affaire de l’attentat contre Charlie Hebdo, elle est nommée par François Hollande au poste de chef du service d’action culturelle à l’ambassade de France en Finlande afin de « changer d’air après la violence et la méchanceté ». Un an plus tard, des salariés de l’institut français de Finlande écrivent au Quai d’Orsay pour se plaindre du comportement de Jeannette Bougrab, dont le management serait « brutal et aléatoire ». En 2017, elle est renouvelée en poste pour une année par arrêté du Premier ministre Edouard Philppe.
Bon, ceci étant dit, il n’est pas
contestable qu’en virant le shah d’Iran, les iranien.ne.s n’ont pas été
gagnant.es sur tous les tableaux. Avant ce départ, les iraniennes
n’avaient pas obligation de porter le voile.
Le nombre d’étudiants en Iran est de 4,8 millions (population de 79 millions d’habitants) et la moitié des étudiants iraniens sont des femmes, ce qui est un bel exemple de l’avancée de leurs droits.
Mais
ceci ne doit pas masquer que la religion est omniprésente dans ce pays,
que la liberté de création est muselée, et que nombre d’autres libertés
ne sont pas respectées. Pourtant l’Iran est loin derrière l’Arabie
Saoudite en matière de répression des droits des femmes (sans parler des
travailleurs immigrés !)
J’attends que l’auteur nous sorte le même
article sur l’Arabie Saoudite, où les droits des femmes sont bafoués
quotidiennement, mais aussi et surtout sur l’Inde, où il n’y a que
177.000.000 de Musulmans sur une population de 1,324 milliards, et où
les crimes d’honneurs, les viols collectifs, les vitriolages, sont
majoritairement le fait d’Hindouistes, qui représentent 80% de la
population.