Vous vous désespérez des ravages écologiques et sanitaires
du glyphosate, omettant déjà de préciser que la Commission européenne passe 90%
de son temps avec les lobbys industriels
(
https://www.bastamag.net/La-Commission-europeenne-passe-90-de-son-temps-avec-les-lobbys-industriels).
Pourtant, sans préjudice d’autres canevas, selon le mot de
Benoit Duteurtre (Boulez est à la musique classique, ce que le Roundup est à
l’agriculture biologique), au moins deux alternatives existent :
- à petite échelle, l’eau chaude :
https://positivr.fr/desherbant-eau-chaude-alternative-glyphosate/
- à grande échelle, la firme Osmobio (Rcs 421.780.370, 14,
rue Louis Lavergne, 22600 Loudéac) :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/osmobio-le-desherbant-breton-attend-toujours-l-autorisation-d-etre-commercialise-759281.htm
Or, cette TPE de 3 salariés est en déficit :
https://www.verif.com/bilans-gratuits/OSMOBIO-421780370/
Il y a à cela une explication : depuis sa création en 1999,
malgré des essais amplement satisfaisants auprès des collectivités locales, de
la division réseau de la SNCF, etc., tous ses dossiers d’agrément, d’appel
d’offres, d’homologation, sont systématiquement refoulés. Nul besoin d’être
analyste financier pour comprendre que, tôt ou tard, cette firme, comme 42 000
autres depuis une décennie, quittera la France, afin d’inonder le monde d’une
gamme révolutionnaire de pesticides biologiques.
Une destination ? Singapour, 5 millions d’habitants, 17,2 %
de millionnaires, pas de corruption.
Ne pourriez-vous pas enfin publier des articles économiques
sortant des sentiers battus ?