@Ciriaco
Il faut s’entendre sur le sens des mots. Pour ma part, il ne peut y avoir de vrai libéralisme que si elle garantie la liberté individuelle de tous et non d’une minorité propriétaire de l’économie.
Autrement dit, le libéralisme n’existe pas encore.
Ceci étant dit, ce qui est au delà des populations, c’est la dynamique de l’évolution de la vie, dans laquelle l’histoire humaine s’inscrit. Ce que l’article ici présent dit en substance, s’appuyant sur ce qui est écrit dans le premier article, c’est que, de proche en proche, la limite de l’ensemble politique est celle de la planète toute entière. Autrement dit, il s’agit de se situer dans la limite terrestre qui englobe toutes les nations, quand jusqu’à présent, la conscience posait les limites au niveau des continents.
C’est donc la prise de conscience de cette limite que vous illustrez parfaitement !
Ainsi, il existe depuis au moins 70 ans une constitution dans laquelle pratiquement tous les peuples se reconnaissent, et ce, en considérant les individus qui les constituent et non seulement leurs dirigeants. C’est la charte universelle des droits humains, à laquelle il manque juste d’y ajouter les devoirs pour être complète et applicable. Mais comme démontré dans le premier article, cette charte ne peut être appliqué que si elle détient la force et celle ci peut être que collégiale.
Voilà pourquoi certains leaders politiques font tout pour détruire l’ONU (du moins le peu qu’il en reste) censé l’incarner. Mais bien évidemment sans en avoir l’air, car personne ne peut dire ouvertement que la charte est contre leur intérêts, sans afficher sa nature anti-démocratique et amorale, sans afficher son goût pour la dictature et l’oppression des populations.
L’exercice est donc délicat pour ces gens là et qui explique pourquoi la lecture de l’actualité est si difficile aux commun des mortels.