Salutations,
Pour reprendre votre observation la politique c’est de l’histoire auquel j’ajouterais à dormir debout.
Il n’y a qu’une histoire*, celle de la valeur, celle de la marchandise, l’Italie ne pourra pas inverser la tendance à la baisse générale et constante de la production de valeur, sauf peut être temporairement mais au prix de réduire le coût du travail, la portion congrue (survie), mais tout cela ne serait que temporaire un très court moment, face à la concurrence mondiale.
Face la concentration du capital, les grandes sociétés n’appartiennent plus aux nations, leurs parts sociales sont mondialisées et détenues par des sociétés étrangères et ces parts sous forme d’obligations actions etc...leurs servent également chimériquement à accroître leurs bénéfices.
C’est pour cela que des pays entiers ont basculés dans le narco-trafic (un des derniers secteur certes illégal mais hautement producteur de valeur, les fonds se retrouvent dans le système bancaire)
Concernant l’Italie, c’est l’ expérience intéressante qui permettra de démontrer grandeur nature qu’il n’y a pas de solution face la crise du capitalisme, les vieilles antiennes ne fonctionneront pas, l’histoire ne repasse pas les plats.
Le salut ne viendra pas des urnes c’est entendu une bonne fois pour toute.
La classe moyenne celle qui voit sur moins de 10 ans et plus de 9 ans c’est une chimère, le capitalisme se distingue entre autre en ce qu’il est intrinsèquement un système hautement instable.
Pour terminer on se réfère aux situationniste, le capitalisme est un spectacle permanent, qui pousse le prolétariat à croire aux comptes de fées et à l’oubli de son rôle historique.
.....certes la propriété (des moyens de productions) cours vers son auto-abolition...K. Marx.
Le rôle historique du prolétariat c’est de s’auto-abolir c’est une évidence.
*Les peuples premiers n’ont pas d’histoire.