@kalachnikov
Votre commentaire confirme le fait que vous avez des yeux pour lire, mais pas assez de cerveau pour comprendre par vous même.
Ainsi, dites moi où j’écris que le prédateur ne fait pas partie de la dynamique ? Tout l’article précédent parle de lui et puisque j’affirme qu’il est dans l’ordre naturel de l’humain, comment je pourrai dire le contraire ? Le plus hilarant ou désolant, c’est selon comment on voit la chose, c’est que vous reprenez exactement ce que j’écris moi même, pour me contredire. Le comble de la bêtise ou de la mauvaise foi !
Le pire, c ’est de vous voir vouloir vous faire plus intelligent en faisant ma pseudo analyse psychologique. Sauf, que cela ne masque pas votre propre faiblesse.
Je m’identifie ni à la proie ni au prédateur, mais à un être humain voulant précisément trouver l’équilibre interne à une société devenue mondiale par sa propre inertie, qui réponde aux besoins de son environnement et de sa connaissance/conscience. Sans nier la réalité des gens qui ont un naturel prédateur et d’autres n’aspirant qu’à vivre en paix relationnelles que ce soit par faiblesse ou plus sûrement par préférence, mais en domestiquant le premier, dès lors où il vit au sein de la même société que les autres. C’est à dire, une société ayant appris à sa maîtrise interne, condition pour poursuivre son évolution. Il ne s’agit donc pas de faire appel aux faibles, mais aux gens qui ne considèrent pas ou plus les rapports sociaux sur la base du rapport dominant/dominé, prédateur/proie, mais sur la base du berger, c’est à dire, celui qui maîtrise autant le prédateur que la proie, celui qui se définit en terme de responsabilité, c’est à dire, un niveau d’évolution supérieure. C’est à dire, la plus grande majorité des êtres humains.
La responsabilité est ce qui permet d’aboutir à l’équilibre et elle seule.
Sachez que je n’écris pas ou plus pour vous, mais pour le ou les lecteurs qui suivent le fil de ces commentaires.