Bonjour,
article intéressant sur une tendance actuelle de nos sociétés.
Au final, dans le domaine des nouvelles technologies et de la connectivité numérique, comme dans bien d’autres domaines, le trop est l’ennemi du bien. L’abus amène, effectivement, à des comportements addictifs, préjudiciables pour les personnes concernées et leur entourage.
Mais on peut se poser la question si le fait d’avoir des armées de consommateurs compulsifs et addictes n’est pas un but rechercher par ces multinationales du numérique nous mettant tous ces gadgets entre les mains (contre espèce sonnante et trébuchante, cela va s’en dire !). Faut bien faire marcher le commerce, nous dit-on...
Par ailleurs, j’ai relevé que vous utilisiez abusivement le terme «
digital » en lieu et place du terme « numérique ». Je vous rappel que le terme « digital » (ainsi que digitale ou digitaux) concerne les doigts ( « empreinte digitale » par exemple), ou que le terme digitale est le nom d’une plante (l
a digitale, dont le poison est employé par Agatha Christie dans ses romans, par exemple). Digital en anglais, veut justement dire « numérique ». Le fait que les termes français digital et anglais digital s’écrivent de la même façon (mais se prononcent différemment !) porte à confusion (je vous invite à écouter le terme en anglais et en français sur
google traduction, par exemple). Cette confusion est bien entretenue par beaucoup de sociétés (y compris du domaine du numérique !), car le terme « digital » fait surement plus branché que « numérique », plus « in » pourrait-on dire...