@Gérard
Encore une fois vous me faites dire ce que je n’ai pas dit, ni suggéré.
Un test VIH peut se révéler positif chez un porteur sain, ce n’est pas pour autant que l’on peut dire qu’il serait sidaïque. Il y en aurait paraît-il rien qu’en France des milliers qui s’ignorent, à moins que ce ne serait les projections statistiques qui les auraient inventés (?)
Le sida n’est pas une maladie au sens conventionnel d’être accompagnée de symptômes caractérisés et spécifiques. Sida est un acronyme qui désigne un état d’immunodéficience acquise, certes pathologique si l’état de santé du porteur de VIH est déficient, mais qui n’en définit pas les causes, l’affaiblissement du système immunitaire pouvant résulter de diverses pathologies, une pneumonie par exemple, de maladies chroniques, de drogue, d’alcool,...
Et donc pour recoller au sujet de l’article, un résultat positif au test VIH comme au test HPV n’est rien de plus qu’un signal... qui invitera à investigations supplémentaires et vérifications.
A ce propos, vous qui êtes versé dans la littérature médicale, à votre avis comment un test VIH (Western Blot ou Élisa) pourrait conclure à un sida (immunodéficience « acquise ») ? la nécessité de corroborer dans le temps l’immunodéficience s’impose pour vérifier qu’elle est bien permanente, et donc « acquise ». Un seul test VIH pratiqué à un instant T ne saurait donc y prétendre. Mais entre temps pour celui diagnostiqué « positif » au test, VIH, ou HPV, il y a matière à flipper un peu...