@Gérard suite... et fin
Pour pallier à ce biais phénoménal dans les études cliniques qui ne permet pas d’établir que la preuve de l’action immunisante dans la prévention de la maladie soit établie, de même que la validité des hypothèses sur lesquelles se fonde l’immunologie en raison de cet obstacle éthique de la médecine qui rend impossible des études cliniques avec administration d’un vrai placebo « à l’aveugle » sans que les sujets ni les médecins ne sachent quelle substance a été administrée, il y aurait la solution de substituer à ce protocole d’études cliniques impossible à réaliser celui de trouver des cohortes de participants volontaires qui se verraient administrer les (prototypes de) vaccins, et d’autres cohortes de volontaires en nombre égal et qualités égales, hommes, femmes, tranches d’âge...) qui s’engageraient en connaissance de cause et de risques, à ne pas se faire vacciner, la seule solution pour sortir de cette impasse sur laquelle bute l’immunologie étant de pouvoir comparer des populations de « vaccinés » avec des populations de « non-vaccinés ».
Je veux bien me porter volontaire pour être candidat de la seconde catégorie, en bon zélote le seriez-vous Gérard pour la première... 
Pour ce faire, il suffirait d’abandonner simplement cette notion d’immunité de groupe qui est un leurre avéré, comme celle d’atteindre un taux maximal et idyllique de couverture vaccinale pour attester de l’efficacité, et donc d’une façon générale de mettre entre parenthèses pour quelques décennies, une ou deux au moins, le principe d’une vaccination de masse comme condition d’efficacité, l’expérience ayant prouvé d’ailleurs dans le cas de la variole qu’elle était peu inefficace et n’avait pas permis son éradication suivant les conclusions formulées par l’OMS dans son Rapport en 1979.