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Accueil du site > Tribune Libre > Croyance et propagande versus preuves scientifiques solides. Comment (...)

Croyance et propagande versus preuves scientifiques solides. Comment expliquer positions de l’OMS et INSERM sur Gardasil ?

Comment des organismes officiels tels l'OMS ou l'INSERM ont-ils pu réaffirmer l'absence de danger du Gardasil et son efficacité ? Comment ont-ils pu ignorer les appels à la prudence de la Haute Autorité de Santé dont la commission de la transparence précisait dès 2013 (avis du 20 mars) : « l’efficacité de prévention contre le cancer reste à démontrer » et sa mise à jour du 13 septembre 2017 « la Commission considère que GARDASIL 9 n’apporte pas d’amélioration du service médical rendu par rapport à Gardasil » ?

Avis partagé par M. Lowndes de la « Health Protection Agency Centre for Infections  », anglaise [7] : les incertitudes sont considérables quant à l’impact de la vaccination sur l’incidence des cancers du col dans la population. Avis qui rappelait les craintes déjà anciennes de Diane Harper[8] ex Big Pharma, devenue lanceur d’alerte.

Ces mises en garde auraient dû stimuler l’intérêt de l’OMS, de l’INSERM et du CIRC pour les résultats cancérologiques réels, avérés des vaccins tels qu’ils apparaissent dans les registres officiels du cancer. Au nom de quels intérêts omettent-ils de prendre les données scientifiques avérées en considération ? 

OMS[1], INSERM[2],CIRC, médias et certains journaux médicaux, nouvelles agences de propagande mensongères pour le Gardasil, vaccin anti HPV[3] ?

 Nouveau monde, nouveau mode de gouvernance par fake news officielles ?

 

 [email protected]

 

A l’occasion de la journée mondiale contre le cancer, (1er février 2019), des organismes, jadis indépendants dans leur pratique et leur financement, comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’Institut national pour la recherche médicale (INSERM) et le Centre international de recherche sur le cancer[4] (CIRC) ont proclamé la vaccination anti papillomavirus « sûre et indispensable pour éliminer le cancer du col de l’utérus » et dénoncé « des rumeurs sur la prétendue nocivité  ». Leur plaidoyer pour « toujours plus de vaccination » a été relayé dans le monde entier par tous les médias grand public et même dans certains journaux scientifiques[5] sensibles à l’argument d’autorité plus qu’à une démonstration scientifique totalement absente.

 

Prétendre que la vaccination est « sûre pour éliminer le cancer du col de l’utérus  » constitue pourtant un beau rêve doré (en or pour les firmes et affidés) ou un superbe exemple de Novlangue, basé seulement sur la foi en la vaccination apparemment justifiée des simulations basées sur des hypothèses très incertaines[6].

 

Comment ces organismes ont-ils pu ignorer les appels à la prudence de la Haute Autorité de Santé dont la commission de la transparence précisait dès 2013 (avis du 20 mars) : « l’efficacité de prévention contre le cancer reste à démontrer » et sa mise à jour du 13 septembre 2017 « la Commission considère que GARDASIL 9 n’apporte pas d’amélioration du service médical rendu par rapport à Gardasil » ?

Avis partagé par M. Lowndes de la « Health Protection Agency Centre for Infections  », anglaise [7] : les incertitudes sont considérables quant à l’impact de la vaccination sur l’incidence des cancers du col dans la population. Avis qui rappelait les craintes déjà anciennes de Diane Harper[8] ex vedette du Gardasil, devenue lanceur d’alerte.

 

Ces mises en garde auraient dû stimuler l’intérêt de l’OMS, de l’INSERM et du CIRC pour les résultats cancérologiques réels, avérés des vaccins tels qu’ils apparaissent dans les registres officiels du cancer. Or, lorsqu’on consulte les registres nationaux des cancers des pays qui ont lancé de grandes campagnes de vaccination, ces résultats contredisent l’optimisme des organismes précités et se révèlent très inquiétants pour les femmes vaccinées tôt et catastrophiques pour les vaccinations tardives (rattrapage). Ces constatations, certes inattendues, devraient conduire à l’étude au long cours des millions de femmes et hommes vaccinés dans le monde et dans cette attente à cesser toute vaccination, et qui plus est toute obligation. Le principe de précaution tant vanté il y a encore peu de temps et inscrit dans notre constitution s’est rapidement transformé en principe de toujours plus de dividendes…

 

Le mythe du succès australien

L’Australie a été le premier pays à organiser la vaccination systématique pour les filles de 12 -13 ans (dès avril 2007), avec vaccinations de rattrapage pour les 14-26 ans (juillet 2007), puis pour les garçons (2013). En 2014 le groupe des cibles prioritaires de la vaccination atteignaient l’âge de 19-20 ans, et celui des vaccinations de rattrapage 19-33 ans. Selon les Statistiques de l’Australian Institute of Health and Welfare[9], les femmes appartenant aux groupes d'âge vaccinés souffrent d’une augmentation d’incidence[10] des cancers invasifs atteignant 113% (de 0,7/100000 à 1,5/100000) pour les femmes âgées de 20 à 24 ans en 2015 dont la couverture vaccinale dépasse les 80%.

Les femmes qui ont subi des vaccinations tardives (de rattrapage) dont la couverture vaccinale est plus faible ont vu leur risque de cancer invasif augmenter de 36% pour le groupe 25-29 (p<0.05[11]) et 33% pour les femmes de de 30 à 34 ans (p<0.01). Ces aggravations du risque de cancer sont statistiquement significatives et ne peuvent donc pas être dues au hasard. Durant la même période les femmes plus âgées (et donc non vaccinées) ont vu leur risque de cancer continuer à diminuer.

 

La Grande-Bretagne a organisé la vaccination dès 2008 pour les filles de 12 à 13 ans, avec un rattrapage pour les 14-18 ans. Le Public Health England[12] indique que la couverture vaccinale complète des filles âgées de 13 à 14 ans à 3 injections atteignait 86.7% en 2013/14. D’après l’une des apôtres de la vaccination, A Castanon[13] : « en 2016, les statistiques nationales ont montré une augmentation brutale et importante du taux de cancer du col utérin. Les femmes de 20 à 24 ans vaccinées pour plus de 85% d’entre elles, alors qu’elles avaient entre 14 et 18 ans, ont vu leur risque de cancer augmenter de 70% en 2 ans et celles de 25 à 29 ans qui avaient de 17 à 21 ans au moment de la campagne de vaccination ont vu leur risque de cancer doubler entre 2007 et 2015 (de 11 à 22). » Ces augmentations sont statistiquement très significatives et ne peuvent donc pas être dues au hasard. Selon l’Office National des Statistiques[14], et de Cancer Research United Kingdom[15], les femmes de 25 à 34 ans, moins vaccinées, ont vu leur incidence augmenter de seulement 18% (passant de 17 en 2007 à 20 en 2014), les femmes plus âgées, non vaccinées, bénéficiant d'une incidence stable ou décroissantes (-13% pour 65-79, 10% après 80 ans).

 

MÊME PHÉNOMÈNE PARADOXAL EN SUÈDE

En Suède, le Gardasil a été utilisé depuis 2006, et le programme de vaccination déployé en 2010, avec une couverture vaccinale des filles de 12 ans approchant 80%. En 2012-2013, avec un programme de rattrapage, presque toutes les filles de 13 à 18 ans ont été vaccinées. Dans ce pays, l'incidence normalisée monde[16] du cancer du col utérin a augmenté de façon constante depuis la vaccination de 9,6 par 100000 en 2006 à 9,7 en 2009, 10,3 en 2012 et 11,49 en 2015. Cette augmentation est principalement attribuable à l'augmentation de l'incidence des cancers invasifs chez les femmes âgées de 20-24 ans dont l'incidence a doublé passant de 1,86/100000 en 2007 à 3.72 en 2015 (cc[17] = 0,89 ; p < 0,001). L'incidence du cancer invasif du col de l'utérus a augmenté de 24% chez les femmes âgées de 25 à 34, passant de 12,44 à 15.49 (cc = 0,68 ; p = 0,05), en revanche, une diminution de l'incidence a été observée chez les femmes de plus de 50 ans. Dillner, un promoteur acharné de la vaccination[18] reconnaît l'augmentation de l'incidence du cancer dans son pays, mais l’attribue à «  une perte d’efficacité du dépistage »[19], hypothèse causale fort peu crédible.

 

France : le mauvais exemple pour Big Pharma

L'évolution de ces pays, avec une couverture vaccinale élevée, peut être comparée à la tendance observée en France métropolitaine, où la couverture vaccinale contre le VPH est très faible (environ 15%) et peut donc être considérée comme un pays de témoin. En France, l'incidence standardisée monde du cancer invasif du col utérin a diminué de façon constante, passant de 15 en 1995 à 7,5 en 2007, 6,7 en 2012 et 6 en 2017[20], soit beaucoup plus faible que les pays où la couverture vaccinale est élevée. Cette diminution de l'incidence s'est accompagnée d'une diminution de la mortalité de 5 en 1980 à 1,8 en 2012 et de 1,7 en 2017.

 

Doit-on rappeler que ce taux relatif assez bas de vaccination en France est sûrement dû en partie au courage d’une victime du Gardasil, Marie-Océane et de ses parents qui ont courageusement porté plainte et subi les sarcasmes en plus de la maladie, et aux quelques journalistes qui ont eu le courage de médiatiser ce drame[21][22]. C’est le même phénomène qui a conduit le Japon et le Danemark à rétropédaler sur la propagande sur le Gardasil. Il est important que les victimes s’expriment pendant que les médecins devraient s’intéresser au bénéfice -risque avant d’enfourcher le marketing des puissants.

 

Incompétence, crédulité ou corruption ?

Incompétence ? Difficile d’imaginer que ces organismes officiellement chargés de la protection de la santé mondiale puissent ignorer les données récentes des registres du cancer des pays qui ont depuis 12 ans largement vacciné leurs populations. Ces données sont publiques et consultables par chacun sur Internet et nous invitons d’ailleurs chacun de nos lecteurs à le faire[23].

Que l’INSERM et le CIRC, qui ont participé à la mise au point des estimations françaises ignorent l’évolution récente beaucoup favorable chez nous (incidence standardisée monde 6/100000) que dans les pays fortement vaccinés comme la Suède (incidence 11.49/100000), Grande-Bretagne (8.4/100000) ou Australie (7.4/100000) est invraisemblable.

Alors pourquoi veulent-ils nous priver de l’avantage d’être encore des Gaulois réfractaires ? Crédulité ? Soumission aux désirs de leurs bailleurs de fonds[24] ou de nos princes[25] ? Liens d’intérêts trop serrés de leurs experts avec Sanofi ? Ou corruption ordinaire ?

Ce n’est en tous cas pas ainsi qu’ils restaureront la confiance de la population en la vaccination.

 

 

[1] OMS = organisation mondiale de la santé L'Organisation mondiale de la santé est une institution spécialisée de l'Organisation des Nations unies pour la santé publique créée en 1948. Elle dépend directement du Conseil économique et social des Nations unies et son siège se situe à Genève en Suisse.

Financement : S’appuyant sur les données recueillies, pour le budget de 2010-2011 (4,5 milliards US$), il ressort que cet argent provient de deux sources distinctes : les contributions des 194 Etats membres de l’OMS et les contributions volontaires issues de certains gouvernements, des fondations, des banques d’investissement, des sociétés multinationales et des organisations non gouvernementales.

[2] INSERM : L’Institut national de la santé et de la recherche médicale, établissement public à caractère scientifique et technologique français spécialisé dans la recherche médicale, double tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation et du ministère des Solidarités et de la Santé 2018 

 Financement : 908 millions d'euros (68 % de subventions d'État et 32 % de ressources externes

[3] Human papilloma virus

[4] Communiqué de presse du Centre international de recherche sur le cancer, 4 février 2019

[5] Owen Dyer « l Cervical cancer : deaths increase as HPV vaccine is underused, says WHO » BMJ 2019 ;364:l580 doi : 10.1136/bmj.l580 (Published 6 February 2019

[7] Lowndes Vaccines for cervical cancer C. Epidemiol. Infect. (2006), 134, 1–12. f 2006 Cambridge University Press

[10] L’incidence observée : nombre annuel de nouveaux cas pour 100000 femmes

[11] P est la probabilité que l’accroissement observé puisse être dû au hasard d’après les tests statistiques

[12] Human Papillomavirus (HPV) vaccination coverage in adolescent females in England : 2016/17

[13] Alejandra Castanon, Peter Sasienia, Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in

England a cause for concern ? Preventive Medicine Volume 107, February 2018, Pages 21-28https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0091743517304802?via%3Dihub

[14] L'Office for National Statistics est une agence exécutive britannique chargée de collecter et publier les informations statistiques sur l'économie, la population et la société du Royaume

[16] Pour comparer les incidences d’un pays à l’autre on ne peut pas se baser sur l’incidence globale brute de chaque pays car celles-ci dépendent de la composition démographique de chaque population. On se base alors sur l’incidence standardisée monde qui corrige les taux pour les ramener à une population standard monde

[17] Coefficient de corrélation

[18] Dillner a déjà reçu de subventions de Merck et Sanofi Pasteur MSD pour la recherche sur le vaccin contre le VPH et a occupé des postes de conseillers auprès plusieurs firmes impliquées dans la vente des vaccins anti HPV

[19] Dillner J, Sparén P, Andrae B, Strander B.[Cervical cancer has increased in Sweden in women who had a normal cell sample. Lakartidningen. 2018 Jun 5 ;115.

[20] Jéhannin-Ligier K, Dantony E, Bossard N, Molinié F, Defossez G, Daubisse-Marliac L, Delafosse P, Remontet L, Uhry Z. Projection de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2017. Rapport technique. Saint-Maurice : Santé publique France, 2017. 80 p. www.santepubliquefrance.fr et http://www.e-cancer.fr/

[23] Pour les non anglophones, nous leur conseillons de lire les données sur notre site : entre autres :

docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-en-australie-depuis-la-vaccination-par-gardasil-de-2007-a-2014/

docteur.nicoledelepine.fr/evolution-de-lincidence-du-cancer-du-col-de-luterus-en-norvege-depuis-la-vaccination-le-programme-de-vaccination-des-filles-a-commence-durant-lannee-scolaire-2009-2010-chi/

docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-en-suede-depuis-la-vaccination-par-gardasil/

Et/ou les analyses dans « Hystérie vaccinale : Gardasil et cancer un paradoxe. N et G Delépine éditions Fauves 2018.

[24] Plus de 3/4du budget de l’OMS est assuré par des firmes privées dont les principales big pharma

[25] La ministre actuelle de la santé a beaucoup travaillé avec les entreprises du médicament et son mari ancien directeur de l'INSERM, a fait toute sa carrière dans les vaccins et dirige actuellement Aviesan, organisme chargé de faciliter les rapports public-privé

 

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148 réactions à cet article    


  • Julot_Fr 12 février 2019 09:48

    Dire que l’OMS est corrompu pour proteger l’industrie pharmaceutique est une sous evaluationde la situation, ils sont partenaires de crime.

    L’industrie de la sante est reconverti dans le business de rendre les gens malade pour le profit... mais ca va plus loin, ca rend les gens dependant de traitements pharmaceutiques de la meme facon qu’ils ont ete rendus dependant de la dette.

    On voit ici que les superstructure globaliste : OMS, EU, ONU (qui vient de nous coller le traite de Marakesh) sont utilises par les reseaux d’argent pour opprimer les peuples.


    • Julot_Fr 12 février 2019 16:39

      Ci-dessous, une video (chacun peut faire l’effort de verifier l’info) suggerant que des chercheurs mexicans ont trouve une cure au virus HPV (celui « traite » par le vaccin gardasil).. Mais biensur la profession medical n’est pas interessee a cette cure.. Une analyse de GoldmanSach explique en effet qu’une simple injection garantissant une cure n’est pas rentable contrairement a des injections recurrentes.. Ca demontre la these developpee dans la video comme quoi les structures medicales ne cherchent pas de cure mais simplement un management dans la duree des maladies... pour maximiser la rentabilite

      https://www.sgtreport.com/2019/02/they-actually-admitted-theres-no-money-in-curing-people/


    • njama njama 13 février 2019 23:44

      @Julot_Fr
      ah que voilà une information qui enrichit la prévention des cancers cervicaux par frottis, en plus d’apporter des perspectives de guérir des débuts de lésions cancéreuses.
      Mais toutefois quand je lis l’article Mexican scientist cures the Human Papilloma Virus je reste en partie dubitatif sur certains points et je me questionne sur cette déclaration autant que sur cette technique utilisée d’après ce qui en est reporté : « She [Eva Ramon Gallegos, a researcher from Mexicon National Polythecnic Institut (IPN)] also explained that besides eradicating HPV, the main cause béhind cervical cancer, photodynamic thérapy is also used to eliminate premalignant lesions of cervical cancer in its first satges. The results of her investigations show that she was able to eradicate HPV in 100 % of the patients who had the virus but had no premalignant lesions, 64,3 % in women with HPV and lesions, and 57,2 % in women who had lesions but don’t have HPV »

      et si j’ai bien compris je ne vois pas l’intérêt de « soigner » par thérapie photodynamique la présence de virus HPV (qui dans plus de 95 % des cas disparaissent d’eux-mêmes) sans lésions constatées mais note que pour une bonne moitié les femmes (57,2 %) qui ont des lésions cervicales n’ont pas de HPV, du moins ceux identifiés comme carcinogènes.


    • njama njama 13 février 2019 23:52

      @Julot_Fr

      Sur l’utilisation de la thérapie photodynamique dans le cas de lésions cervicales les Delepine oncologues pourraient peut-être mieux nous renseigner, voire nous faire un prochain article sur cette nouvelle piste qui apparaît prometteuse et à priori efficace ... 


    • njama njama 15 février 2019 09:02

      « The results of her investigations show that she was able to eradicate HPV in 100 % of the patients who had the virus but had no premalignant lesions, 64,3 % in women with HPV and lesions, and 57,2 % in women who had lesions but don’t have HPV »

      57,2 % des femmes qui ont des lésions cervicales sans l’ombre d’un petit HPV !

      Étonnant non ?

      on se demande bien alors qu’elle pourrait être l’utilité du Gardasil si ce % se vérifiait à plus grande échelle...car du coup les belles promesses d’efficacité du fabricant (on annonce 70 %) s’effondrent à 30 % environ.


    • njama njama 17 février 2019 12:32


      ben alors Gérard on prend son dimanche ?

      pas de dimanche pour les anti-vaxx smiley

      57,2 % des femmes qui ont des lésions cervicales sans l’ombre d’un petit HPV ! ça ne vous questionne pas un peu tout de même ?

      ça ne va pas redorer l’image du Gardasil déjà bien fragile s’il ne protège qu’à moitié à peine contre le cancer du col de l’utérus.




    • njama njama 18 février 2019 15:01

      @Gérard
      bah pour vos références vous critiquez Nexus, mais Cancer Health, un Magazine launched in 2017 probablement financé par big pharma pour faire la promo de traitements contre le cancer, y a mieux ! Si cette revue veut avoir une chance d’exister, elle ne peut faire autrement que de brosser dans le sens du poil...
      Dans l’article que vous citez

      « Further, 57 percent of the women showed regression of cervical lesions, though this result was not statistically significant, meaning it could have been attributable to chance. »

      (trad.) : 57% des femmes ont présenté une régression des lésions cervicales, bien que ce résultat n’ait pas été statistiquement significatif, ce qui signifie qu’il aurait pu être attribué au hasard.

      Si toutefois l’efficacité du Gardasil atteindrait un jour les 57 % (les prévisions les plus optimistes annoncées étant de 70 %, vu que le vaccin cible seulement 9 HPV), cela pourra être mis sur le compte du hasard puisque l’absence de HPV accompagne un pourcentage non négligeable de lésions cervicales.


    • Gérard 18 février 2019 15:22

      @njama

      un Magazine launched in 2017

      Et alors ? Si le magazine avait 50 ans ça changerait quoi ?

      probablement financé par big pharma

      Probablement hein ? Dès que ça cause SBM c’est suspect hein ...

      pour faire la promo de traitements contre le cancer

      Et quoi ? Vous voudriez que ça parle vitamine C ? (ironie puissance 1000)

      Si cette revue veut avoir une chance d’exister, elle ne peut faire autrement que de brosser dans le sens du poil...

      Envoyez leur un mail, je suis sûr qu’ils seront très réceptifs à vos bons conseils .......... ou pas ...


    • njama njama 18 février 2019 15:46

      @Gérard

      La vaccination HPV coûterait environ 300 millions d’€uros par tranche d’âge si 400.000 jeunes filles devaient être vaccinées, soit un coût social de 750 € par personne environ pour cette vaccination Gardasil (130 € environ par dose, auxquels il faut ajouter le coût des visites, les campagnes d’information, la vigilance sanitaire, les hospitalisations et soins suite aux inévitables % d’effets secondaires...)

      Un vaccin de luxe !!! un peu cher payé non, pour un problème de santé publique situé au dixième sous-sol ...
      prix du vaccin Infanrix Hexa 40 €
      prix de feu le vaccin DTP moins de 10 €

      Les Gilets Jaunes apprécieront !

      Un peu cher payé non pour des résultats très incertains et peu encourageants ainsi que le démontrent les dernières statistiques de pays étrangers qui se sont lancés tête baissée dans cette aventure hasardeuse ...

      Les bénéfices certains sont ceux du fabricant MSD qui essaie de se refaire une santé après le retrait mondial en 2004 de son blockbuster le Vioxx


    • Gérard 18 février 2019 16:04

      @njama

      Aussi bien en France, qu’en Belgique (analyse toute récente dans le cadre de la réflexion sur l’extension de la vaccination scolaire anti-HPV aux garçons), l’analyse coût-efficacité du vaccin anti HPV est positive.


    • Gérard 18 février 2019 16:08

      @njama

      un peu cher payé non, pour un problème de santé publique situé au dixième sous-sol ...

      Ça fera plaisir aux femmes (et aux hommes) atteints des cancers dont il est question avec la vaccination HPV.
      Pour rappel :

      Avec environ 3 000 nouveaux cas et 1 100 décès par an, le cancer du col de l’utérus représente la 12e cause de cancer et la 10e cause de mortalité par cancer chez la femme en France.


    • foufouille foufouille 18 février 2019 16:22

      @njama

      tu penses convaincre qui ? je viens de faire un méga rappel de vaccin et pas malade du tout.


    • njama njama 18 février 2019 17:44

      @Gérard
      Ça fera plaisir aux femmes (et aux hommes) atteints des cancers dont il est question avec la vaccination HPV.


      Comme ça leur ferait plaisir d’entendre que leur cancer n’a peut-être rien à voir avec les HPV, puisque le HPV n’accompagne pas certains types de lésions cervicales

      ou de savoir que le lien de causalité HPV >> cancer du col de l’utérus (qui n’est pas le cancer du « corps » de l’utérus sans lien avec HPV) n’a jamais été démontré jusqu’à présent. Concomitance, corrélation ne valent pas lien de causalité.
      Juste retour du boomerang car l’argument est toujours balancé à la figure des victimes de la vaccination.
      Si le vaccin Gardasil a une action reconnue sur certains HPV, la thèse qu’il protège « contre le cancer du col de l’utérus » est fallacieuse, au moins en partie, c’est juste un argument mass marketing


    • njama njama 18 février 2019 18:25

      @foufouille
      d’autres ont eu moins de chance... c’est un peu la roulette russe les vaccins, ou plutôt des balles perdues

      R.E.G.R.E.T. Support Group was set up by parents of Irish teenage girls who have developed serious health problems after entering secondary school. These parents are certain that the HPV vaccine (Gardasil) is the cause of their daughters’ otherwise unexplained illness.

      The primary goal of the parents in the group is to get help for their daughters who, like many girls around the world, have experienced « Reactions and Effects of Gardasil Resulting in Extreme Trauma » (R.E.G.R.E.T). Many are not receiving effective medical treatment and cannot attend school regularly due to the debilitating health conditions they still suffer from.

      Just as important to these parents is to raise awareness of the safety issues surrounding the HPV vaccine so that other parents can be in a position to make a truly informed decision on this issue. The group feels that the information provided by the HSE (Health Service Executive) is incomplete and biased, downplaying the safety issues while exaggerating its effectiveness.

      If your child has suffered health issues that you think may have been triggered by Gardasil, and you wish to get in contact with other parents who have had a similar experience, please contact us at : [email protected]
      Follow us on Twitter : Follow@REGRET_ie


    • njama njama 18 février 2019 18:29

      traduction

      Le groupe de soutien R.E.G.R.E.T a été créé par des parents d’adolescentes irlandaises qui ont développé de graves problèmes de santé après l’entrée dans l’école secondaire. Ces parents sont certains que le vaccin contre le HPV (Gardasil) est la cause de la maladie par ailleurs inexpliquée de leurs filles.

      L’objectif principal des parents du groupe est d’obtenir de l’aide pour leurs filles qui, comme beaucoup de filles dans le monde, ont subi les réactions et effets du Gardasil entraînant un traumatisme extrême (R.E.G.R.E.T). Beaucoup ne reçoivent pas de traitement médical efficace et ne peuvent pas aller à l’école régulièrement en raison de leurs problèmes de santé débilitants.

      Pour ces parents, il est tout aussi important de sensibiliser l’opinion publique aux problèmes de sécurité liés au vaccin contre le HPV afin que les autres parents puissent prendre une décision vraiment éclairée à ce sujet. Le groupe estime que les informations fournies par le HSE (Health Service Executive)sont incomplètes et biaisées, minimisant ainsi les problèmes de sécurité tout en en exagérant l’efficacité.

      Si votre enfant a souffert de problèmes de santé que Gardasil aurait provoqués et que vous souhaitez entrer en contact avec d’autres parents ayant vécu une expérience similaire, veuillez nous contacter à l’adresse suivante : [email protected]
      Follow us on Twitter : Follow@REGRET_ie


    • Gérard 19 février 2019 10:24

      @njama

      Est-ce que former une association en se disant victime du Gardasil est une preuve que le Gardasil est dangereux ?

      Évidemment que non.

      D’autant que si on jette un coup d’oeil à la partie « Research » de leur site, que trouve t’on ?

      Ô surprise,

      Une citation du Pr Dalbergue qui déclare que le Gardasil sera le plus grand scandale médical de tous les temps. Dalbergue est un ancien employé de Merck qui l’a viré. Maintenant, il vend son bouquin où il déblatère joyeusement contre BigPharma.

      Des études (et des vidéos !) de Lucija Tomljenovic et Christopher Shaw. Ce sont deux charlatans de la pire espèce. Ils ont à leur actif plusieurs publications rétractées. De lourds soupçons de fraude scientifique pèsent sur eux. Leurs études sont financées par le CMSRI. Le CMSRI est lui-même financé par la Fondation Dwoskin. Cette fondation « oeuvre » à essayer de démontrer par n’importe quel moyen (y compris la fraude et les mensonges) que la vaccination est dangereuse.

      Des vidéos de ce CMSRI

      Un article rédigé sur le site d’une station de radio (!) par Gary Null.

      Une vidéo de Suzanne Humphries, néphrologue devenue homéopathe. Elle pense que les vaccins induisent des maladies et qu’ils n’ont aucune efficacité.

      Des études auxquelles a participé notamment Peter Duesberg, négationniste du lien VIH/SIDA, charlatan patenté.


    • njama njama 19 février 2019 11:36

      @Gérard
      oui avec vous, Mme Buzyn, l’ANSM, la HAS, la Direction générale de la santé, l’INSERM, le Conseil de l’ordre,... on a compris les victimes du Gardasil n’existent pas ou elles fabulent, il faut donc vous ouvrir les yeux sur ce déni notoire comme sur les dommages collatéraux que le Gardasil a causé à des jeunes filles ou femmes en bonne santé !

      Ici, 60 témoignages choisis parmi quelques 450...
      Over Sixty Testimonies of Regret.. The following are a few select cases from 450 who have come forward as of 08/08/2017.
      http://www.regret.ie/victims_2.html

      « Our Girls Are Not Rumours » (2018, Ireland) (« Nos filles ne sont pas des rumeurs »)
      Parents, scientists and doctors from all over the world gathered at an IFICA conference in Ireland in apri 2018 to discuss the future ot the HPV vaccine injured

      13’21 en anglais, activez les sous-titres peut aider à la compréhension

      https://www.youtube.com/watch?v=vW9YhjhLvME


    • njama njama 19 février 2019 11:55

      @Gérard

      La résistance s’organise, les victimes se donnent de la visibilité, et si ça vient à casser l’image du Gardasil, c’est aux qualités douteuses du Gardasil qu’il faut s’en prendre comme à ceux qui croient aveuglément dans l’innocuité totale des vaccins.
       
      IFICA - the International Federation for Injured Children and Adults is a new international organisation based in Ireland. Our members include parents, doctors, scientists and patient organisations from all over the world. We represent those adversely affected by the HPV vaccine and wish to foster dialogue, compassion and understanding by all stakeholders, both public and private.

      (trad) : IFICA La Fédération internationale pour les enfants et les adultes blessés est une nouvelle organisation internationale basée en Irlande. Nos membres comprennent des parents, des médecins, des scientifiques et des organisations de patients du monde entier. Nous représentons les personnes touchées par le vaccin anti-HPV et souhaitons encourager le dialogue, la compassion et la compréhension de la part de toutes les parties prenantes, publiques et privées.


    • Gérard 19 février 2019 13:17

      @njama

      L’IFICA ?

      Leur seul fait d’armes semble avoir été l’organisation d’une conférence en avril 2018 avec des invités ... disons ... très controversés.
      Depuis ... plus rien.

      Je pense que le Gardasil peut franchement survivre à cette « résistance organisée ».


    • njama njama 12 février 2019 10:09

      OMS et CIRC ne sauraient avoir des positions contradictoires parce que le CIRC Centre international de recherche sur le cancer - en anglais International Agency for Research on Cancer (IAR)- est un satellite de l’OMS, qui plus est basé à Lyon en France, donc pas trop loin de Genève, siège de l’OMS.

      Au nom de quels intérêts omettent-ils de prendre les données scientifiques avérées en considération ?

      Des intérêts peut-être jugés « supérieurs », parce qu’il y a dans la science une forme de messianisme des temps modernes hérité du Positivisme d’Auguste Comte au XIX° siècle, téléologie si pas idéologie scientiste aux atours religieux qui tend dans un contexte de mondialisation à une mission universaliste, et que la lutte contre le cancer comme contre d’autres maladies infectieuses endémiques par le biais de la vaccination fait partie des croisades contemporaines de santé publique... la Science (« d’Occident ») revisitant le mythe de saint Georges de Lydda se donnant pour objectif d’éradiquer « le mal ».

      Alors, oui, le Gardasil, premier vaccin que l’on nous présente être dirigé « contre un cancer », sans en avoir établi la preuve formelle, bien au contraire comme l’attestent les récentes observations statistiques contradictoires, marque une étape dans le changement de paradigme des vertus attribuées historiquement aux vaccins qui ne combattaient que « microbes ».


      • Eric F Eric F 12 février 2019 10:28

        @njama
        "il y a dans la science une forme de messianisme des temps modernes

        « 
        Excellente formulation ! le but des autorités politiques et médicales n’est évidemment pas de nuire, mais ils pensent agir dans l’intérêt général avec une véritable »foi« dans la capacité dans la science de tout résoudre. Donc certaines informations sont occultés »pour la bonne cause« à leurs yeux. Il y a une sorte de fanatisme dans la multiplication de la vaccination tous azimuts.
        Bien sûr, il n’y a pas que des »mystiques« , mais aussi des »opportunistes" qui les manipulent pour l’intérêt de leur business.


      • Gérard 12 février 2019 10:40

        @njama
        Alors, oui, le Gardasil, premier vaccin que l’on nous présente être dirigé « contre un cancer », sans en avoir établi la preuve formelle, bien au contraire comme l’attestent les récentes observations statistiques contradictoires, marque une étape dans le changement de paradigme des vertus attribuées historiquement aux vaccins qui ne combattaient que « microbes ».

        Vous vous mordez la queue. Vous dites qu’il n’existe pas de preuve que le Gardasil permet de lutter contre le cancer, mais quand je vous demande (dans les commentaires d’autres articles d’Agoravox) quelle serait la preuve qui vous fasse admettre que le Gardasil prévient le cancer, vous ne savez pas me répondre.

        En fait, quelle que soit la preuve que l’on vous présente, il est extrêmement probable que vous la balayiez d’un revers de la main au nom de votre sacro-sainte croyance en la religion anti-vaccinale.

        Malheureusement, aux statistiques, on leur fait dire un peu ce que l’on veut. Et les Delépine s’en donnent à cœur joie dans ce domaine. J’invite le lecteur à regarder la vidéo sortie récemment et qui répond aux propos de Gérard Bapt (et qui du coup répond aussi en partie aux affirmations des Delépine), tapez « Le vaccin qui donne le cancer - Medifact #16 » dans Youtube.

        Njama évoque aussi (de manière très maladroite) l’évolution des vaccins. C’est l’occasion de tirer un coup de chapeau à la recherche médicale, qui permet à tout un chacun de se protéger contre plusieurs types de cancer.
        Mais il faut rappeler aussi que le cancer du col de l’utérus est causé par le virus du papillome humain (VPH ou HPV selon que l’on parle français ou anglais). Un virus, c’est ce que l’on peut qualifier, par ce qu’appelle improprement njama, un microbe.
        Enfin, il convient de noter que le vaccin contre le virus de l’hépatite B prévient depuis un bout de temps déjà, le cancer du foie.


      • njama njama 12 février 2019 11:06

        @Eric F
        le but des autorités politiques et médicales n’est évidemment pas de nuire, mais ils pensent agir dans l’intérêt général avec une véritable »foi« dans la capacité dans la science de tout résoudre.
        Je partage aussi ce point de vue... point de complotisme, mais un brassage sous couvert de philanthropie d’intérêts variés économiques, financiers, industriels, personnels...
        Si l’adage dit que l’amour rend aveugle, il en est souvent de même de la foi, et quand « la vaccinologie » devient avant démonstration un article de foi (exemple la couverture vaccinale) ça peut mener au scandale sanitaire comme la campagne de vaccination contre l’hépatite B (1994-1998) en France qui a fait apparaître un lien statistique fort et évident de causalité entre cette vaccination et l’augmentation du nombre de SEP (scléroses en plaques).
        Il y a aussi dans la nature même du pouvoir politique incarné hier par seigneuries, princes, rois et aujourd’hui la plupart du temps par des Institutions en plus du rôle d’administrer la « Cité » (au sens large, nations) le rôle constant de « protecteur » qui lui était dévolu par différents moyens, armées, citadelles, hôpitaux,...lesquels justifiaient leur sacralité, autorité, pouvoirs et privilèges. De ce point de vue rien n’a changé puisque l’autorité de l’État a rendu des vaccins obligatoires, mesures liberticides. D’où les mantras sans fondement scientifiques, « les vaccins protègent », « la vaccination un acte citoyen », « se vacciner c’est protéger les autres »,


      • njama njama 12 février 2019 13:11

        @Gérard
        Medifact
        Á Propos
        Description
        Chaîne de littératie* en santé.
        Maintenir et améliorer la santé est un art qui s’appuie sur une science.
        Cette science progresse à une vitesse croissante et l’écart entre les professionnels et les non professionnels se creuse.
        Cette chaîne a pour vocation de réduire cet écart au maximum possible afin de permettre à chacun de comprendre voir de participer aux problématiques de santé.

        un nouveau Decodex ? une chaîne qui prend les gens pour des demeurés !

        * Aptitude à lire, à comprendre et à utiliser l’information écrite dans la vie quotidienne


      • Gérard 12 février 2019 13:33

        @njama

        Parce que vous pensez que déceler, lire, comprendre, débunker de la désinformation antivaccinale (ou médicale) est à la portée de « n’importe qui » ?


      • njama njama 12 février 2019 13:56

        @Gérard

        La litteratie, une nouvelle science sûrement qui nous dira ce qu’il faut comprendre... ou a marketing task force (?)

        Health literacy and public health : A systematic review and integration of definitions and models

        https://bmcpublichealth.biomedcentral.com/articles/10.1186/1471-2458-12-80

        “ Health Literacy ” et éducation thérapeutique du patient

        https://hal-univ-paris13.archives-ouvertes.fr/hal-01556327/document

        Pour nous ça va, sur Agoravox on a les delepine pour nous éduquer et nous faire réfléchir... smiley


      • Gérard 12 février 2019 14:09

        @njama

        Pour nous ça va, sur Agoravox on a les delepine pour nous éduquer et nous faire réfléchir...

        Vous éduquer !?! Vous éduquer à quoi ?

        En bon mouton ... euh élève que vous êtes, j’espère au moins que vous avez dans votre bibliothèque tous les livres écrits par les Delépine.


      • njama njama 12 février 2019 15:22

        @Gérard
        comme béni oui-oui, vous êtes un sacré spécimen !


      • les Vaxxeuses les Vaxxeuses 15 février 2019 08:26

        @Gérard, personne n’est dupe ici, sauf peut être les petits conspis antivax habituels.
        L’unique raison de ces articles mensongers à répétition sur le hpv ne sont là que pour faire la propagande du dernier torchon des Delepine.
        Il faut le vendre ce bouquin.


      • Gérard 18 février 2019 12:50

        @Lancelot

        Pauvre tocard la désinformation

        Merci, enchanté, je vous retournes le compliment.

        Merci aussi de démontrer à quel point les antivax et les conspis ont autant de capacité de réflexion qu’une moule.


      • Eric F Eric F 12 février 2019 10:20

        @ l’auteur

        Bonjour, vous avez certainement vu la récente enquète sur le « complotisme » , où a été introduit un item sur la connivence entre les gouvernants et les laboratoire pharmaceutiques concernant les vaccins. Certes la question parle de « cacher délibérément la nocivité »’ ce qui est une formulation forte, mais en tout cas classer la dénonciation de cette connivence en tant que « complotisme » m’apparait gravement manipulatoire (mettre ça au même niveau que les « illuminati », il faut être sacrément gonflé !).

        Perso, j’avais déjà des réticences vis à vis des vaccinations multiples suite à des problèmes de grave réaction dans mon entourage (et un cas de paralysie et décès d’une connaissance éloignée, suite à vaccin contre l’hépatite), suite à quoi non avons renoncé avec mon épouse à la vaccination antigrippale (j’en avais auparavant tous les ans dans mon entreprise). Une collègue avait attiré mon attention sur ces problèmes, et vos articles développent les preuves et analyses. Les média relaient laborieusement la politique « de sécurité sanitaire » du gouvernement, et donc occultent les informations contradictoires, ce qui est un déni du droit au pluralisme de l’information. Le coup des 11 vaccins obligatoires a été à mes yeux la goutte qui fait déborder le vase, présentant ceux qui sont réticents comme des abrutis ou des criminels.... Il ne faut pas s’étonner que, par surréaction, les fake news foisonnent sur la toile (par exemple parlant d’intention quasi génocidaire sur les populations européennes), quand les média grand public sont aussi évidemment orientés.


        • njama njama 12 février 2019 10:25

          La bénédiction urbi et orbi de l’OMS* en faveur de la vaccination contre les (certains) papillomavirus se base sur une « méta-analyse » ** dont les qualités scientifiques attendues ne sont pas au rendez-vous !

          (liens d’intérêts de certains experts en charge du protocole d’étude et de certains organismes, biais nombreux, effets secondaires du Gardasil sous-estimés,...)

          * OMS : Guide d’introduction du vaccin anti-PVH dans les programmes nationaux de vaccination Date de publication : février 2017

          https://www.who.int/immunization/documents/ISBN_9789241549769/fr/

          (** = en gros une synthèse de la littérature publiée sur un sujet : on prend tout ce qu’on trouve d’éligible et publié sur un sujet, on mélange le tout et on essaye d’en sortir une conclusion)

          L’analyse Cochrane contestée : Prophylactic vaccination against human papillomaviruses to prevent cervical cancer and its precursors
          Version published : 09 May 2018
          https://www.cochranelibrary.com/cdsr/doi/10.1002/14651858.CD009069.pub3/full ?highlightAbstract=*hpv&highlightAbstract=vaccin&highlightAbstract=vaccination


          • Gérard 12 février 2019 10:45

            @njama

            L’analyse Cochrane contestée 

            Ce que vous ne dites pas, c’est que la contestation de cette étude est ... elle-même très contestée également.


          • njama njama 12 février 2019 11:17

            @Gérard
            Ce que vous ne dites pas, c’est que la contestation de cette étude est ... elle-même très contestée également.

            Raison de plus alors pour stopper les « expérimentations » douteuses de cette vaccination qui a déjà laissé derrière elle des morts et cohortes d’handicapés, et décider un moratoire sine die !
            d’autant qu’il n’y a absolument aucune urgence de santé publique sur ce type de cancer dont l’incidence diminuait avant vaccination et continue de diminuer avec la généralisation des frottis.
            Mais vous préférez peut-être que les filles et garçons du Grand Est et Auvergne-Rhône-Alpes servent de cobayes ?


          • Gérard 12 février 2019 11:52

            @njama

            Raison de plus alors pour stopper les « expérimentations » douteuses de cette vaccination qui a déjà laissé derrière elle des morts et cohortes d’handicapés, et décider un moratoire sine die !

            Non, aucune raison de stopper un vaccin qui contribuera à faire baisser l’incidence de plusieurs cancers.

            Des cohortes de morts et d’handicapés dites vous ? Où sont-ils ?
            Source à l’appui svp.

            d’autant qu’il n’y a absolument aucune urgence de santé publique sur ce type de cancer dont l’incidence diminuait avant vaccination et continue de diminuer avec la généralisation des frottis.


            Oui, je sais que pour vous, épargner la mort à plus de 1.000 personnes est insignifiant, mais comprenez que d’autres ont plus d’éthique que vous.


          • mac 12 février 2019 12:59

            @Gérard
            Je n’ai pas d’avis définitif sur la question mais quand vous dites « aucune raison de stopper un vaccin qui contribuera à faire baisser l’incidence de plusieurs cancers » n’est-ce pas en contradiction avec les augmentations relevées par l’auteur dans les pays où la vaccination est justement la plus forte ?
            Expliquez-nous car là, je ne comprends plus...


          • Gérard 12 février 2019 13:06

            @mac

            Non, ce n’est pas contradictoire.

            Mieux qu’un long discours, je vous invite à regarder cette vidéo de vulgarisation qui vous aidera à mieux comprendre.


          • mac 12 février 2019 16:14

            @Gérard
            J’ai regardé votre vidéo avec attention et je suis, à mon grand regret, toujours dans le doute.
            J’ai bien compris les arguments du présentateur nous expliquant, courbe à l’appui, que les augmentations étaient relatives voire inexistantes mais alors si le produit est si efficace pourquoi ne voit-on pas une nette baisse ?
            J’ai même entendu un matin une présentatrice de France Inter dire qu’en Australie la maladie avait quasiment disparue et pourtant en regardant les chiffres on s’aperçoit qu’elle est au moins aussi répandue qu’en France. Alors pourquoi dire cela ?


          • njama njama 13 février 2019 10:05

            @Gérard
            Des cohortes de morts et d’handicapés dites vous ? Où sont-ils ?

            Des chiffres en progression corrélativement à la progression de cette vaccination !
            EVENTS REPORTED TO VAERS AFTER HPV VACCINES THROUGH July 14, 2018
            Disabled : 2.773
            Deaths : 430
            Did Not Recover : 11.860
            Abnormal Pap Smear : 673
            Cervical Dysplasia : 264
            Cervical Cancer : 139
            Life Threatening : 931
            Emergency Room : 15.672
            Hospitalization : 5.894
            Extended Hospital Stay : 540
            Serious : 8.636
            Total Adverse Events : 58.936
            Même si vous contestez la validité de cette source US, pourtant très officielle, ces chiffres constituent un signal suffisamment alarmant pour un vaccin censé protéger les femmes


          • njama njama 13 février 2019 10:19

            @Gérard

            Les chiffres ANSM n’ont pas été actualisés sur leur site depuis 2014. Étant donné le taux bas de vaccination en France de l’ordre de 15 % à 20 %, ils conviendrait de les multiplier par 4 si l’objectif de couverture vaccinale de Mme Buzyn (80%) était atteint. Ce qui par projection donnerait 10.000 notifications, dont 2.000 graves !

            ANSM - 26/11/2013 - Gardasil : vaccination contre les papillomavirus humains (HPV) - Point d’information Les données actualisées en 2013 de l’ANSM font état de « 435 cas d’effets indésirables graves dont 135 de maladies auto-immunes incluant 15 cas de SEP »

            ANSM - 10/04/2014 - Gardasil : actualisation des données de sécurité sur le vaccin contre les papillomavirus humains - Point d’information

            Depuis la commercialisation en France de Gardasil et jusqu’au 20 septembre
            2013, 5,5 millions de doses ont été distribuées. 2092 notifications d’effets indésirables médicalement confirmées, dont 503 graves[3] , ont été recueillies et analysées. La majorité de ces notifications (76 %) correspond donc à des cas non graves (douleurs au site d’injection par exemple). Quant aux manifestations auto-immunes, qui ont fait l’objet d’une attention particulière dans ce nouveau bilan, leur nombre reste faible au regard de la population exposée (127 cas notifiés en France dont 17 cas de sclérose en plaques, depuis le début de la commercialisation)


          • njama njama 13 février 2019 10:31

            @Gérard 
            Un signal assez inquiétant pour une médecine qui prétend « soigner », lequel devrait inciter à la prudence, ou pour le moins à notifier et INFORMER clairement les candidat(e)s (cobayes si obligation vaccinale) au Gardasil sur les risques encourus, aléatoires il est vrai, par cette « expérimentation »  ! par rapport à des bénéfices très incertains...


          • Gérard 13 février 2019 10:41

            @njama

            Vous ne comprenez décidément pas.
            Ou plutôt, vous faites semblant de ne pas comprendre.

            Ce n’est pas moi qui conteste ces chiffres. C’est le VAERS lui-même qui émet de grosses réserves sur ces chiffres.

            Voici ce qui est dit sur son propre site web :

            "Lors de l’évaluation des données du VAERS, il est important que, pour tout événement signalé, aucune relation de cause à effet n’a été établie. Les rapports de toutes les associations possibles entre les vaccins et les événements indésirables (effets secondaires possibles) sont archivés dans le VAERS. Par conséquent, le VAERS collecte des données sur tout événement indésirable consécutif à la vaccination, qu’il s’agisse d’une coïncidence ou que c’est réellement causé par le vaccin. Le signalement d’un événement indésirable au VAERS ne constitue pas une preuve qu’un vaccin ait provoqué l’événement."

            "Un rapport au VAERS ne prouve généralement pas que le ou les vaccins identifiés ont été à l’origine de l’événement indésirable décrit. Cela ne fait que confirmer que l’événement signalé s’est produit quelques temps après l’administration du vaccin. Aucune preuve que l’événement a été causé par le vaccin n’est nécessaire pour que le VAERS accepte le rapport. Le VAERS accepte tous les rapports sans juger si l’événement a été causé par le vaccin."


          • njama njama 13 février 2019 11:40

            @Gérard
            Que ce soit le VAERS ou l’ANSM, c’est même combat pour les victimes des vaccins. La charge de la preuve d’un lien de causalité leur incombe (droit anglo-saxon ? à la victime de faire la preuve), et en fait des doubles victimes les exposant à un véritable monde kafkaïen pour déjà seulement se faire entendre, et encore plus pour obtenir une simple reconnaissance... 
            Il est notoire que de chaque côté de l’Atlantique les effets secondaires (EI), graves (EIG) ou non, liés aux vaccins sont très largement sous-notifiés auprès de la pharmacovigilance pour diverses raisons (complexités administratives dont se défaussent les médecins, délais des recours, expertises diverses,...).
            On les estime généralement à seulement 1 sur 10 de notifiés, l’avantage penchant très nettement pour les fabricants comme pour l’image de la vaccinologie, et plus largement de la médecine.
            Néanmoins, que ce soit le VAERS ou l’ANSM, ces notifications dont ces chiffres publiés attestent, existent en raison de leur recevabilité suivant moult critères de constitution des dossiers gages de crédibilité comme de la concomitance temporelle entre vaccination et EI.


          • njama njama 13 février 2019 11:58

            @Gérard

            Nulle part je n’ai écrit que je prenais la totalité de ces chiffres de l’ANSM qui par ailleurs ne détaille qu’assez pauvrement les degrés variés d’effets indésirables et leur diversité contrairement à ceux du VAERS... néanmoins, ils existent, et il est admis qu’ils sont très sous-estimés. Je ne parlais que d’un signal inquiétant concernant les EI liés au Gardasil... et si comme vous le prétendez je fais semblant de ne pas comprendre, ne faites pas l’autruche ! les EIG sont connus d’experts et des autorités sanitaires ainsi qu’en témoignent les pages 9. et 10 du « Rapport Dartigues », (Rapport définitif de la Mission d’expertise sur la politique de vaccination contre l’hépatite B en France, du 15 février 2002),
            Effets secondaires de la vaccination
            […] « Depuis le début de la campagne de vaccination contre l’hépatite B de 1994, plusieurs milliers de cas d’effets indésirables attribués au vaccin ont été notifiés. Ces cas ont tous été individuellement évalués, ce qui a amené à en rejeter une bonne partie en particulier les éventuels doublons ou les cas comportant des informations manquant de validité. Parmi les cas restants, on dénombre au 31 mars 2001, 862 atteintes neurologiques dont 71 atteintes démyélinisantes aiguës centrales. 46% des cas notifiés sont survenus dans les deux mois après la vaccination. Il s’agit de l’une des plus grande série d’effets indésirables recueillis par la pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974. Ce nombre est d’autant plus élevé qu’il existe une certitude de sous-notification, mais il doit être relativisé dans la mesure où de 22 à 29 millions de personnes ont été vaccinés en France durant cette période avec 86,5 millions de doses de vaccin vendues A la date de mars 2001, aucun cas d’affection démyélinisante aiguë n’avait été observé en France chez un enfant de moins de deux ans. ».
            https://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/024000604.pdf


          • Gérard 13 février 2019 12:00

            @njama

            Néanmoins, que ce soit le VAERS ou l’ANSM, ces notifications dont ces chiffres publiés attestent, existent en raison de leur recevabilité suivant moult critères de constitution des dossiers gages de crédibilité comme de la concomitance temporelle entre vaccination et EI.

            Faux,
            Vous ne lisez et ne tenez pas compte des éléments que je vous apporte.
            Vous êtes d’une incroyable mauvaise foi.

            La charge de la preuve d’un lien de causalité leur incombe

            Ce n’est pas l’objectif du VAERS. Point.
            Vous attribuez des compétences au VAERS qu’il ne possède pas.


          • njama njama 13 février 2019 12:32

            @Gérard

            La question qui se pose est donc à partir de combien de notifications d’EI ou d’EIG une campagne de vaccination devrait-elle être arrêtée, et COMMENT et QUEL AÉROPAGE de mamamouchis arrêterait la machinerie à vacciner ? si l’on ne veut pas reproduire le schéma de cette désastreuse campagne de vaccination contre l’hépatite B qui s’est poursuivie de 1994 à 1998. Les milliers de victimes de cette hystérie vaccinale en milieu scolaire sont très certainement la cause de cette grande défiance vis à vis des vaccins, à juste titre ! Les chiffres assez alarmants d’EIG liés au Gardasil pourraient laisser penser qu’une campagne de masse identique si elle était programmée prendrait le même chemin. La balance bénéfices-risques n’est pas en faveur de cette vaccination, de quelque côté de l’Atlantique que l’on se trouve.

            l’Afssaps , qui a dénombré 351 victimes (chiffres 2011), établit un taux (EIG) (= effets indésirables graves) de 8,1 cas pour 100 000 vaccinations (avec Gardasil) et selon l’Institut national du cancer (Inca), le taux d’incidence du cancer du col de l’utérus est de 6,4 pour 100 000 femmes (chiffres 2010). »

            Une femme aurait ainsi plus de risques d’être atteinte d’effets secondaires graves liés au vaccin que de développer un cancer du col de l’utérus !

            source : article du Point [Cancer du col de l’utérus : polémique autour d’un vaccin Publié le 24/10/2011]

            sachant que le Gardasil 9 n’apporte rien de nouveau et est peu adapté au « marché » français de l’aveu même de la HAS

            Selon la Commission de transparence de la HAS, la réduction absolue de l’incidence des cancers du col associée à la couverture des HPV additionnels 31, 33, 45, 52 et 58 ne serait que de 0,2 pour 100 personnes-années à 43 mois de suivi.
            « Le vaccin 9 valent sera modérément utile en France car il ne contient pas les 3ème, 6ème et 7ème génotypes qui sont les plus fréquents chez nous qui sont les HPV 51, 56 et 53 » avait déclaré Isabelle Heard de l’Institut Pasteur au site médical Medscape, en 2014.


          • njama njama 13 février 2019 12:50

            @Gérard
            Le principe de précaution, ça veut dire qqch pour vous ? ou vous êtes hermétique ?
            La question n’est pas nouvelle et concerne tant les vaccins existants que ceux à venir, elle était déjà posée : « How many side effects will gona be enough for this vaccine to be pulled off ? » Combien d’effets secondaires seront suffisants pour que ce vaccin (HPV) soit retiré ? : Dr. Tomljenovic’s in Vancouver, 2015. sur la base des chiffres VAERS records (2006 - Nov 2013) à 21’10 dans la VIDEO HPV Vaccine Safety and Efficacy Issues
            - 26.623 total adverse effects (effets indésirables)
            - 92 deaths (morts)
            - 534 life-threatening events (événements mettant la vie en danger)
            - 823 events resulting in permanent disability (événements entraînant une invalidité permanente)
            - 9.188 events requiring emergency hospitalization (événements nécessitant une hospitalisation d’urgence)

            VAERS - Vaccine Adverse Event Reporting System (CDC WONDER VAERS Request http://wonder.cdc.gov/vaers.html)




          • Gérard 13 février 2019 13:25

            @njama

            Savez-vous que le VAERS est co-géré par la FDA et le CDC ?

            Puisque vous aimez crier sur tous les toits en la malhonnête de ces deux institutions, expliquez-moi pourquoi ces statistiques constituent une preuve selon vous ?

            Je connais la réponse, mais je souhaite voir par quelle entourloupe vous allez essayer d’éviter d’y répondre.


          • njama njama 13 février 2019 15:05

            @Gérard
            dans quels commentaires aurais-je écrit des diatribes sur la FDA et le CDC ?

            encore une fois j’ai seulement écrit que c’est un signal inquiétant !

            Que le VAERS soit co-géré par la FDA et le CDC n’y change rien, l’importance se tient dans l’interprétation du signal lequel quoi qu’il en soit alerte !
            La FDA et le CDC n’y attachent peut-être pas plus d’importance que ça (?), car dans le droit fil de la pensée utilitariste le discours pour les minimiser est parfaitement rôdé, la fameuse balance bénéfices-risques, le nombre de millions de vaccinés, de vies sauvées et blablabla sur le miracle des vaccins... pour (seulement) quelques dizaines de milliers de victimes collatérales abandonnées pour la plupart au bord de la route...

            Comme chaque sujet, patient « potentiel » à une vaccination, est censé être informé sur les risques encourus et y consentir de son plein gré, il apparaît important de les signaler, de les rappeler.

            Vous semblez vous en offusquer, ... mais je vous comprends un peu, même s’ils sont à relativiser ils ternissent un peu et assez inévitablement l’image de l’innocuité des vaccins, de la vaccination en générale, de la médecine, de la science, et des mamamouchis qui pilotent les politiques de santé publique.


          • Gérard 13 février 2019 15:17

            @njama

            Vous semblez vous en offusquer, ... mais je vous comprends un peu, même s’ils sont à relativiser ils ternissent un peu et assez inévitablement l’image de l’innocuité des vaccins, de la vaccination en générale, de la médecine, de la science, et des mamamouchis qui pilotent les politiques de santé publique.

            Je m’offusque surtout de votre interprétation extrêmement maladroite des chiffres du VAERS.

            Ces statistiques ne ternissent en rien l’image des vaccins. C’est l’interprétation (extrêmement maladroite, je me répète) que vous en faites qui en ternit l’image.

            Mais puisque vous vous obstinez à ne pas vouloir comprendre ...
            Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.


          • njama njama 13 février 2019 17:14

            @Gérard
            Je m’offusque surtout de votre interprétation extrêmement maladroite des chiffres du VAERS.
            maladroite ?
            aux mêmes causes les mêmes effets, non ?

            Si on recoupe les chiffres du VAERS avec ceux de l’ANSM (notifications d’effets indésirables dont certains graves), on retrouve une concordance assez cohérente et proportionnelle, toutes proportions gardées, à la louche, sachant que la population des États-Unis est de 325 M. d’hab, soit 6 fois plus environ que la France, que le taux de couverture vaccinale HPV US était de 60% en 2016 (source CDC) soit 4 fois plus qu’en France.
            VAERS July 14, 2018 Total Adverse Events : 58.936, ce qui correspondrait sur la base de quelques 2.000 notifications collectées par l’ANSM en 2013 à environ 10.000 pour la France en équivalent notifications ratio population / taux de couverture vaccinale.


          • Yukimuras 14 février 2019 15:06

            @Gérard
            Oui, c’est bon, arrêtez de saouler et de jouer sur les mots. Beaucoup de vaccins et encore plus celui ci n’ont jamais été capable de montrer leur efficacité et encore plus leur innocuité.
            Et la mise en danger de millions de femmes pour juste espérer sauver 1 000 personnes. Statistiquement, il est donc plus probable du subir des effets secondaires plus ou moins graves que d’être vraiment protéger et sauver de ce cancer.
            Personnes qui d’ailleurs, pourraient être sauvés par des dépistages adéquates.
            Par ailleurs, il y a des causes de mortalités bien plus importantes qui ne sont pas ou peu combattues par nos chers gouvernements. Mais ça coûterait de l’argent et en ferait perdre aux industriels… 


          • Gérard 14 février 2019 15:35

            @Yukimuras

            Oui, c’est bon, arrêtez de saouler et de jouer sur les mots

            « Jouer sur les mots » ?!? Vous rigolez ou quoi ?
            Où joues-je sur les mots ?

            Njama diffuse des statistiques d’effets secondaires rapportés par le VAERS avec pour unique objectif d’effrayer le lecteur.
            Ce à quoi je lui réponds que les statistiques du VAERS ne sont pas fiables. Et pour affirmer cela, je m’appuie sur la mise en garde du VAERS lui-même.

            Quel est le jeu de mots que j’emploies ??

            Beaucoup de vaccins et encore plus celui ci n’ont jamais été capable de montrer leur efficacité et encore plus leur innocuité.

            Preuves ? Sources ?

            Et la mise en danger de millions de femmes pour juste espérer sauver 1 000 personnes. Statistiquement, il est donc plus probable du subir des effets secondaires plus ou moins graves que d’être vraiment protéger et sauver de ce cancer.


            Preuves ? Sources ?

            Affirmer, c’est bien, tout le monde sait le faire. Prouver, c’est autre chose hein ...


          • Yukimuras 14 février 2019 16:41

            @Gérard
            Source pourquoi faire. Njama cite beaucoup de sources et a des arguments étayés et vous faites fi de tout.
            Quelles sources ont grace à vos yeux ?


          • les Vaxxeuses les Vaxxeuses 15 février 2019 08:32

            @njama
            Le VAERS ... cette base de données déclarative où n’importe qui sans la moindre qualification médicale peut faire une entrée.
            J’ai mal à la tête après le gardasil, hop, une déclaration.
            Je me cogne l’orteil à la table basse du salon après le gardasil, hop, une déclaration.
            Je me casse une jambe au ski après le gardasil, hop, une déclaration.
            Je me fais renverser par une voiture après le gardasil, hop, une déclaration.

            Avez vous lu les petits caractères sur la page du VAERS ? On ne dirait pas :
            Please note that VAERS staff follow-up on all serious and other selected adverse event reports to obtain additional medical, laboratory, and/or autopsy records to help understand the concern raised. However, in general coding terms in VAERS do not change based on the information received during the follow-up process. VAERS data should be used with caution as numbers and conditions do not reflect data collected during follow-up. Note that the inclusion of events in VAERS data does not imply causality.
            corrélation, causalité, toujours pas ?


          • les Vaxxeuses les Vaxxeuses 15 février 2019 08:37

            @mac Il est normal qu’on ne voit pas encore de forte baisse du nombre de cas de cancers du col. Ce cancer met 20, 30 ans à s’installer. Par contre on sait que ce cancer est du à des verrues génitales qui évoluent en tumeur. Et on constate déjà une diminution de ces cas de verrues dont sait que certaines guériront spontanément, et d’autres évolueront en cancer. S’il y a moins de verrues, mathématiquement, il y aura moins de cancers. Mais c’est pour dans 10 ou 20 ans.


          • Gérard 15 février 2019 09:12

            @Yukimuras

            Source pourquoi faire. Njama cite beaucoup de sources et a des arguments étayés et vous faites fi de tout.
            Quelles sources ont grace à vos yeux ?

            Le problème de Njama (l’un des problèmes devrais-je plutôt dire), c’est qu’il ne donne que des arguments « anti », qui sont soit mauvais, soit incomplets, soit interprétés maladroitement.

            Il élude de manière tout à fait volontaire le vaste et solide ensemble de preuves qui démontre l’efficacité et la sûreté de la vaccination.
            C’est ce qu’on appelle du cherrypicking. Les antivaxx sont particulièrement doués pour utiliser cette technique.


          • njama njama 15 février 2019 09:21

            @Gérard
            Njama diffuse des statistiques d’effets secondaires rapportés par le VAERS

            C’est aux médecins américains qu’il vous faudrait adresser vos suspicions concernant leurs notifications que vous préjugez douteuses et peu fiables. "Aux États-Unis, depuis 1990, la loi fédérale oblige tous les médecins à déclarer les complications vaccinales au VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), dépendant de la FDA et du gouvernement américain."  (source  infovaccin.fr)

            avec pour unique objectif d’effrayer le lecteur.


            La peur on peut la trouver des deux côtés de cette fameuse balance bénéfices-risques qui est un deal, risques de contracter la maladie versus risques d’effets secondaires invalidants, et plus exceptionnellement mortels.
            La peur n’écarte pas le danger, mais qui s’en sert au juste ? n’est-elle vraiment que du côté des « anti-vaccins »  ?
            « Le 23 mars 1998, le Journal de 20 heures sur la 2 présenta une note interne du laboratoire Pasteur-Mérieux : « Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur... Il faut dramatiser... faire peur avec la maladie ». Cette seule publication aurait dû provoquer une remise en question du vaccin [contre l’hépatite B], puisque la « nécessité de vacciner » a été basée sur des affirmations qui relèvent du délit de publicité mensongère... » (même source)



          • Gérard 15 février 2019 09:23

            @Yukimuras

            Et j’ajoute que ce n’est parce que Njama donne beaucoup d’arguments que cela rend sa lubie antivaccinale crédible. Cela peut paraître impressionnant pour le lecteur lambda, mais citer mille arguments moisis ne constituera jamais une preuve. Ça en fera juste une somme d’arguments moisis ...


          • Gérard 15 février 2019 09:37

            @njama

            C’est aux médecins américains qu’il vous faudrait adresser vos suspicions concernant leurs notifications que vous préjugez douteuses et peu fiables

            Bah non puisque le VAERS est un système ouvert à « n’importe qui » (pas besoin d’être médecin, chercheur, ...)

            Vous êtes à côté de la plaque.

            Et pour votre jolie histoire sur le JT de Fr2 : en admettant qu’une note interne du laboratoire Pasteur ait dit cela (je ne dis pas que c’est vrai [surtout venant de Sylvie Simon], j’en sais rien, mais admettons 1 minute), est-ce que cela constitue une preuve de la prétendue inefficacité ou insécurité du vaccin ? NON !


          • njama njama 15 février 2019 09:49

            @Gérard

            Preuves ? Sources ? Affirmer, c’est bien, tout le monde sait le faire. Prouver, c’est autre chose hein ...

            demandez à Bill Gates, depuis le fantôme du H1N1 en 2009 il nous prédit une pandémie mondiale tous les 6 mois ! Entre croyance et propagande, des njama et des delepine ne sont que des petits joueurs, on n’est pas dans la même cour de récré !

            Bill Gates appelle le monde à une « guerre contre une pandémie mondiale ».
            1 février 2015

            « Le monde doit se préparer à une pandémie mondiale », prévient Bill Gates. Dialectique des Pandémies, des Cataclysmes et des Guerres

            26 février 2016

            Bill Gates redoute une pandémie mondiale d’origine terroriste

            20/02/2017

            Bill Gates met en garde contre une pandémie pouvant tuer 30 millions de personnes

            18.09.2017

            Epidémiologie : pour Bill Gates, la prochaine pandémie mondiale aura bientôt lieu 06.05.2018


          • Gérard 15 février 2019 09:57

            @njama

            Et c’est ça vos preuves ? Bill Gates ? Sérieux ???

            « Les vaccins, c’est de la merde »
            Pourquoi ?
            Beh parce que Bill Gates

            « Les vaccins n’ont jamais sauvé personne »
            Pourquoi ?
            Beh parce que Bill Gates

            « Les vaccins provoquent plein d’effets secondaires cachés »
            Pourquoi ?
            Beh parce que Bill Gates

            Crédiiiiible !!!!!!


          • njama njama 15 février 2019 10:37

            @Gérard

            pour les prédictions regardez de ce côté-là, vers ce genre d’instituts récents qui tentent de mettre la médecine en équations.
            Institute for Disease Modeling http://www.idmod.org/symposium
            Une modélisation qui prend des allures de modèle fordien 

            et de machinerie médicale Modèles compartimentaux en épidémiologie Wikipedia

            Mais est-ce encore bien de la médecine que de considérer le patient (toujours potentiel) comme une unité mathématique,en faisant abstraction de l’infinité de contextes dans lesquels ils vivent, en faisant abstraction du terrain comme disait Antoine Béchamp. Ou une (nouvelle) médecine (moderne ?) entre prédictions et science, entre fictions et réalités, entre croyance et propagande versus preuves scientifiques solides ? Est-ce bien encore de la médecine que d’obliger à consommer de la prévention en tous genres, tests de dépistage, vaccins multiples, et autres commandements de l’OMS, iodisation du sel, codex alimentarius,...
            Cette nouvelle médecine ne se dirige-t-elle pas sans freins vers le chemin de l’homme unidimensionnel tel que l’entrevoyait le philosophe Herbert Marcuse ?



          • Gérard 15 février 2019 10:41

            @njama

            Je vous l’ai déjà dit.
            Ce n’est pas parce que vous ne maîtrisez pas un domaine, que celui-ci n’est pas maîtrisé par d’autres.


          • njama njama 15 février 2019 10:47

            Il est vrai que l’OMS n’a pas manqué de faire de la dialectique du Dr Knock sa devise en santé, nous sommes tous des malades qui s’ignorent, de notre premier souffle à notre dernier.

            « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. » (sic) OMS Constitution !
            http://apps.who.int/gb/bd/PDF/bd47/FR/constitution-fr.pdf

            Il est évident qu’une définition aussi ubuesque pas très éloignée des oracles de Delphes ne pouvait qu’entraîner que des perversions de raisonnements et des dérives médicales...


          • njama njama 15 février 2019 11:03

            @Gérard
            Bah non puisque le VAERS est un système ouvert à « n’importe qui » (pas besoin d’être médecin, chercheur, ...)


            mais bien sûr, le VAERS, organisme, créé par une loi Fédérale, dépendant de la FDA et du CDC serait une auberge espagnole selon vous !!! si le ridicule tuait vous seriez déjà mort.


          • njama njama 15 février 2019 11:11

            Et comment croyez-vous que ça marche en France ? quand ceux-là mêmes en charge de la pharmacovigilance admettent une sous-notification importante des effets iatrogènes dus au médicaments, vaccins compris.

            Le REVAHB n’est pas une ligue anti-vaccinale et n’a aucune visée anti-vaccinaliste quelconque. [............. ]

             Afin de tenter de dénombrer et de recenser au mieux tous ces effets indésirables plus ou moins connus ou reconnus, le REVAHB a travaillé depuis février 1998 en relation avec la Pharmacovigilance nationale (AFSSAPS), et continue depuis mai 2012 avec l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).
             Cet organisme, sous la dépendance de la DGS (Direction Générale de la Santé), est chargé de recenser par les voies officielles tous les effets indésirables médicamenteux ou post-vaccinaux.
              Il est apparu qu’une sous notification importante existait en matière de déclaration des complications post-vaccinales. Lorsque nous avons croisé notre listing avec celui de l’AFSSAPS, il existait une minorité de doublons puisque 72% des dossiers transmis par le REVAHB n’étaient pas connus de l’Agence. Les actions du REVAHB complètent donc très efficacement le recensement officiel de ces affections post-vaccinales afin d’aboutir progressivement à une quantification la plus complète possible de ce problème de santé publique. Le REVAHB effectue donc depuis des années un travail régulier et gratuit de Pharmacovigilance avec, à ce jour, plus de 2 000 dossiers transmis.



          • njama njama 15 février 2019 11:12

            rectification :

            Il est vrai que l’OMS n’a pas manqué de faire de la dialectique du Dr Knock sa dérive en santé

             smiley


          • Gérard 15 février 2019 11:18

            @njama

            mais bien sûr, le VAERS, organisme, créé par une loi Fédérale, dépendant de la FDA et du CDC serait une auberge espagnole selon vous !!! si le ridicule tuait vous seriez déjà mort.

            Vous êtes d’une incroyable lourdeur.

            Who can report to VAERS ?
            Anyone (including healthcare professionals, patients, parents, caregivers, and others) can report to VAERS.

            Source : le site VAERS lui-même


          • Gérard 15 février 2019 11:25

            @njama

            Je vous l’ai déjà dit (parce que vous aviez déjà présenté le même argument).
            Confier la notification à l’association militante antivax REVAHB est aussi absurde que de demander à Initiative Citoyenne son avis sur l’état de la vaccination en Belgique ou demander à Age of Autism de notifier des cas d’autismes post-vaccinaux.


          • njama njama 15 février 2019 11:32

            @les Vaxxeuses
            Ce cancer met 20, 30 ans à s’installer.

            Le fabricant l’indiquera-t-il sur les boîtes de vaccins ? pour info aux consommatrices et consommateurs.du produit.

            Ceci dit vous n’avez pas dû lire correctement les graphiques publiés par les delepine, les tranches d’âges dans lesquelles se situent l’augmentation l’incidence de lésions cervicales qui se déclarent chez des jeunes femmes vaccinées.

            sinon, on n’a jamais vu un cancer s’installer du jour au lendemain, même à Tchernobyl, le cancer est une maladie silencieuse, longtemps asymptomatique comme les maladies cardio-vasculaires. 
            Nous sommes peut-être tous cancéreux (?), allez savoir, peu ou prou, depuis plus ou moins longtemps... et il faudrait distinguer les cancéreux en bonne santé dont l’organisme élimine naturellement les cellules malades, des cancéreux ayant un déficit immunitaire qui permet leur prolifération plus ou moins lente ou rapide.
            Quand bien même certains mécanismes ont été décryptés, la science du cancer est encore balbutiante.


          • njama njama 15 février 2019 12:09

            @Gérard
            Confier la notification à l’association militante antivax REVAHB...

            encore votre cynisme à l’égard des victimes ! malgré que cette vaccination hépatite B a provoqué des centaines de troubles neurologiques reconnus par l’ANSM

            Vous êtes dans un insupportable déni de la réalité, ou dans un aveuglement sans limite dans votre foi, dans vos croyances !
            Les vaccins comme les médicaments (au hasard le Vioxx™par exemple) peuvent provoquer des effets iatrogènes graves, et des morts. Ne savez-vous pas que les médicaments provoqueraient quelques 10.000 morts par an rien qu’en France, estimation basse.
            Mais non dans votre petit cerveau de Bisounours, les vaccins ne pourraient être concernés dans l’inventaire de ces dommages collatéraux de la médecine, la vaccination est un acte pur, anodin, bienfaisant, ... Pasteur est votre prophète, malgré que le principe n’est quand même pas très virginal puisqu’il consiste à inoculer des agents infectieux pour éduquer nos pauvres immunités naturelles fragiles ou défaillantes, ou plutôt supposées comme telles.


          • foufouille foufouille 15 février 2019 12:14

            @njama
            quand on pense que 20g de sel suffit à guérir une maladie, tout est simple.


          • njama njama 15 février 2019 12:34

            @Gérard
            Et c’est ça vos preuves ? Bill Gates ? Sérieux ???

            je vous répondais au sujet de la peur et, entre celle que je distillerais selon vous, et celle que Bill Gates tente d’inoculer dans les esprits par une armada mondiale de médias, il y a un gouffre abyssal

            Bill Gates n’est au fond qu’un avatar de Philippulus, la récurrence de ses oracles sur une pandémie mondiale finit par prêter à rire...

              « Oui nous aurons la peste bubonique, le choléra, ... et ce sera la fin du monde » !

            Bill Gates devrait être analysé par des psy, ... de telles angoisses pourraient être la conséquence de traumatismes subis dans son enfance ? s’il n’était aussi riche, je crois bien que plus d’un se moquerait sans retenue de ses déclarations délirantes.


          • Gérard 15 février 2019 12:46

            @njama

            Mais non dans votre petit cerveau de Bisounours, les vaccins ne pourraient être concernés dans l’inventaire de ces dommages collatéraux de la médecine, la vaccination est un acte pur, anodin, bienfaisant, ...

            La vaccination peut entraîner des effets secondaires. C’est reconnu par tout le monde je pense.
            Mais on remarque, études à l’appui, que les effets secondaires graves sont rares.

            Tellement rares qu’il est irrationnel de prendre le risque de ne pas se faire vacciner et de tomber malade plutôt que de se faire vacciner.

            Pasteur est votre prophète,


            Euh vous êtes bioen gentil de toujours en revenir à Pasteur , mais la médecine et la vaccinologie ont beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup (vraiment beaucoup) évolué depuis son temps.
            Faudrait évoluer avec votre temps.


          • Gérard 15 février 2019 12:54

            @njama

            Bill Gates devrait être analysé par des psy, ... de telles angoisses pourraient être la conséquence de traumatismes subis dans son enfance ? s’il n’était aussi riche, je crois bien que plus d’un se moquerait sans retenue de ses déclarations délirantes.

            Et votre goût chronique pour la désinformation ? C’est dû à quel traumatisme de votre enfance ? On vous a bercé trop près du mur ?


          • njama njama 15 février 2019 13:19

            @Gérard
            Et votre goût chronique pour la désinformation ? C’est dû à quel traumatisme de votre enfance ? On vous a bercé trop près du mur ?

            oui, effets iatrogènes graves suite à un vaccin j’ai connu, mais heureusement je m’en suis bien sorti... ouf ! miraculé peut-être ? ma bonne étoile ? non, j’étais en très bonne santé juste avant, et excellent en sport, ce qui m’a certainement permis de me rétablir.
            Ceci pouvant expliquer cela, et donc vous comprendrez... faut pas me la faire qu’il n’y a pas de risques à se faire vacciner... et qu’il vaut mieux y regarder à deux fois avant d’y consentir.

            Tellement rares qu’il est irrationnel de prendre le risque de ne pas se faire vacciner et de tomber malade plutôt que de se faire vacciner.

            il serait surtout irrationnel de ne pas pouvoir choisir entre bénéfices potentiels et risques potentiels. L’idée de vaccination obligatoire m’est par conséquent insupportable, simple réaction immunitaire contre le fascisme sanitaire qui ne mérite pas le nom de « médecine ». Je me calmerais lorsqu’elle sera abrogée, et en attendant le retour de la liberté thérapeutique qui mettrait fin aux hostilités je distille mes virus anti-vaxx  smiley
            Vous m’aurez encore sur le dos Gérard pendant un bon moment smiley


          • Gérard 15 février 2019 13:29

            @njama

            malgré que cette vaccination hépatite B a provoqué des centaines de troubles neurologiques reconnus par l’ANSM

            Source ?

            Vous êtes dans un insupportable déni de la réalité, ou dans un aveuglement sans limite dans votre foi, dans vos croyances !

            Pourquoi ? Parce que je ne crois en la fiabilité du VAERS ? Laissez moi rire.

            Les vaccins comme les médicaments (au hasard le Vioxx™par exemple) peuvent provoquer des effets iatrogènes graves, et des morts. 

            C’est exact. Mais se limiter à ce constat, c’est s’asseoir sur les centaines de milliers de vie que ces médicaments (dont la vaccination) permettent de sauver. Cynique disiez-vous hein ?!?


          • njama njama 15 février 2019 13:31

            et plutôt que de parler de moi qu’est-ce que vous en pensez de ça Gérard ?
            (voir dans les tous premiers commentaires du fil de discussion de l’article ma réponse à Julot_Fr) :

            « The results of her investigations show that she was able to eradicate HPV in 100 % of the patients who had the virus but had no premalignant lesions, 64,3 % in women with HPV and lesions, and 57,2 % in women who had lesions but don’t have HPV »

            57,2 % des femmes qui ont des lésions cervicales sans l’ombre d’un petit HPV !

            Étonnant non ?

            ----------

            L’hypothèse que les HPV seraient causes de cancers serait caduque alors  ?


          • njama njama 15 février 2019 13:38

            en réponse @Gérard 15 février 13:29

            Source ?

            Vous n’auriez pas un début d’Alzheimer ? votre cerveau n’imprime plus bien semble-t-il...
            faudrait p’t-être consulter ?

            réponse déjà donnée voir njama 13 février 11:58 pages 9. et 10 du « Rapport Dartigues »...


          • Gérard 15 février 2019 13:40

            @njama

            Ceci pouvant expliquer cela, et donc vous comprendrez... faut pas me la faire qu’il n’y a pas de risques à se faire vacciner... et qu’il vaut mieux y regarder à deux fois avant d’y consentir.

            Non, je ne comprendrais jamais que son cas personnel soit un prétexte pour diffamer gravement un produit qui permet de sauver des vie et qui mette la santé publique en danger.

            Est-ce que vous pensez que les personnes qui ont subi un dommage à cause de leur ceinture de sécurité lors d’un accident de la route militent contre l’obligation de mettre sa ceinture ? Ce serait parfaitement idiot.

            il serait surtout irrationnel de ne pas pouvoir choisir entre bénéfices potentiels et risques potentiels


            En sachant que la balance bénéfices-risques est positive pour tous les vaccins obligatoires, votre remarque tombe à plat ...


          • Gérard 15 février 2019 13:42

            @njama

            réponse déjà donnée voir njama 13 février 11:58 pages 9. et 10 du « Rapport Dartigues »...

            Et que vous avais-je rétorqué à votre message du 13 février 11:58 ...

            Allez un petit effort.


          • Gérard 15 février 2019 13:51

            @njama

            et plutôt que de parler de moi qu’est-ce que vous en pensez de ça Gérard ?

            Vous avez Google (ou autre moteurs de recherche, attention si vous utilisez Bing, peut-être Bill Gates vous surveille t’il), servez-vous en (avec intelligence pour une fois).


          • njama njama 15 février 2019 14:09

            @Gérard
            J’peux plus rien pour vous, vous êtes indécrottable, tant pis si vous ne comprenez pas que l’on peut estimer s’en passer, que c’est à chacun de l’évaluer, et d’y consentir ou non.

            relisez la p’tite histoire de carottes suivant qu’on vit dans la cave ou au grenier ...

            après si vous êtes personnelement adepte de pratiques sexuelles « progressistes », ce qui serait bien votre liberté, vaut p’t-être mieux 3 doses de Gardasil pour vous prémunir de conséquences potentiellement fâcheuses ! comme pour prémunir votre (vos) partenaire(s) voir les conseils Avis du HCSP du 16 février 2016

            Les zones de risques ne sont pas les mêmes pour tout le monde, c’est trop compliqué à comprendre pour vous ?.

            Quant à m’accuser de « diffamer » un produit, le Gardasil (je suppose), comme vous y allez ! ce sont « vos » allégations... la preuve que non, je viens de vous le recommander smiley
            Les premiers bilans n’ayant rien démontré pour l’instant, ils n’ajoutent pas foi dans la confiance qu’en bon commis des Labos vous leur prêtez puisqu’ils vont à l’inverse des résultats espérés (augmentation de l’incidence des cancers cervicaux .. voir les articles de l’auteur).


          • Gérard 15 février 2019 14:22

            @njama

            J’peux plus rien pour vous, vous êtes indécrottable, tant pis si vous ne comprenez pas que l’on peut estimer s’en passer, que c’est à chacun de l’évaluer, et d’y consentir ou non.

            Vous me faites bien rire. Je ne m’appelle pas Mme Buzyn. Ce n’est pas moi qui impose les 11 vaccins. Il faut quand même rappeler que cette obligation n’est que la conséquence de votre infâme campagne de dénigrement de la vaccination (la vôtre et celle de tous vos copains antivax).

            Quant à m’accuser de « diffamer » un produit, le Gardasil (je suppose), comme vous y allez ! ce sont « vos » allégations... la preuve que non, je viens de vous le recommander 

            Après avoir craché dessus sur plusieurs dizaines de commentaires ...
            Crédiiiible !!

            Les premiers bilans n’ayant rien démontré pour l’instant

            C’est tout à fait faux !


          • Gérard 15 février 2019 14:28

            @njama

            Et franchement, si j’étais vous, j’arrêterais avec l’histoire des carottes ... Franchement hein !
            Vous me l’avez déjà servie plusieurs fois ...

            Ça vous rend d’autant plus pathétique.


          • njama njama 15 février 2019 14:36

            @Gérard
            Est-ce que vous pensez que les personnes qui ont subi un dommage à cause de leur ceinture de sécurité lors d’un accident de la route militent contre l’obligation de mettre sa ceinture ? Ce serait parfaitement idiot.

            Ce qui est très idiot et qui ruine votre argument, c’est que tout le monde ne roule pas en voiture, loin de là ! on ne voit pas bien ce que ferait un piéton d’une ceinture de sécurité, enfin jusqu’à maintenant, car sait-on jamais ce dont pourrait accoucher demain le principe de précaution à géométrie très variable, le port d’un casque pour piéton ?  smiley
            ... le dit principe de précaution invitant à adopter des mesures proportionnées visant à prévenir un risque... www.vie-publique.fr
            Vouloir vacciner tout le monde contre le HPV serait manifestement DISPROPORTIONNÉ, on comprend de suite qu’il n’y a pas matière à généraliser de l’avis même du HCSP qui recommande :
            - qu’un accès au vaccin HPV soit proposé dans les CeGIDD et dans les centres de vaccination aux hommes jusqu’à l’âge de 26 ans (limite des études de phase III) qui ont ou ont eu des relations sexuelles avec un homme. Le bénéfice de cette vaccination sera d’autant plus important que le début de l’activité sexuelle sera récent et que le nombre de partenaires passés sera faible ;
            - que cette possibilité d’accès soit relayée par des campagnes d’information adaptées.
             


          • Gérard 15 février 2019 14:47

            @njama

            Ce qui est très idiot et qui ruine votre argument, c’est que tout le monde ne roule pas en voiture

            Mon argument n’est puis ruiné, comme vous dites, c’est vous qui le comprenez mal.
            Je parlais évidemment du conducteur (ou du passager). Les piétons n’ont pas de ceinture de sécurité ...

            Vouloir vacciner tout le monde contre le HPV serait manifestement DISPROPORTIONNÉ

            Beh oui, c’est pour cela que le vaccin n’est pas conseillé à tout le monde ...


          • njama njama 15 février 2019 14:51

            @Gérard

            Et que vous avais-je rétorqué à votre message du 13 février 11:58 ...

            Allez un petit effort.

            Mais vous ne m’avez RIEN répondu au sujet de cette référence « Rapport Dartigues » que je vous présentais  ?

            dont les signataires sont Bernard Bégaud, Jean François Dartigues, Françoise Degos, François Denis, Joel Gaudelus, Olivier Gout, Jean Louis Lanoé, Daniel Levy-Bruhl, Christian Perronne, et Michel Setbon

            Je vous laisse le soin de retrouver les immenses qualités de tous ces mamamouchis experts dans le domaine qui ont colligé ce Rapport.


          • njama njama 15 février 2019 14:56

            @Gérard
            Beh oui, c’est pour cela que le vaccin n’est pas conseillé à tout le monde ...

            Vous jouez sur les mots, ou vous êtes fourbe, l’intention du gouvernement était bel et bien dans la Proposition de loi de rendre obligatoire ce vaccin... 


          • Gérard 15 février 2019 15:00

            @njama

            Vous aviez déjà présenté cette référence le 25 janvier à 22:29

            Ce à quoi, je vous ai répondu le 25 janvier à 22:49

            A force de répéter les sempiternels mêmes arguments fallacieux, voilà ce qui arrive, vous tournez en rond ....


          • Gérard 15 février 2019 15:07

            @njama

            Beh oui ça a du sens de le rendre obligatoire pour les adolescent(e)s.

            Mais les adolescent(e)s, à l’heure où l’on se parle, ce n’est pas tout le monde.


          • foufouille foufouille 15 février 2019 15:22

            @njama
            c’est vrai tu colle toujours les mêmes coms tout prêt.


          • njama njama 15 février 2019 15:25

            @Gérard
            Votre réponse 25 janvier 22:49 était une non-réponse comme souvent à votre habitude, le Guide des vaccinations 2012 n’annule en rien l’expertise publiée dans le Rapport Dartigues de 2002.

            Beh oui ça a du sens de le rendre obligatoire pour les adolescent(e)s.

            Il n’y a pas de sens, c’est un argument d’autorité qui va à l’encontre de l’éthique médicale et n’honore pas la médecine, acte d’autant plus lâche qu’il est notoire que les études sur ce vaccin Gardasil sont vérolées et pourries.


          • Gérard 15 février 2019 15:28

            @foufouille

            Oui, les antivax ne se foulent pas trop en général.
            Ils ont leur « bibliothèque » de liens antivax et ils s’amusent à les distiller là où ils peuvent, quitte à se répéter encore et encore.
            Ce n’est pas le premier antivax avec lequel je me fais cette réflexion.

            C’est pratique parce que ça peut impressionner le lecteur lambda qui voit ainsi une série d’arguments qui semblent recevables.
            Mais quand on gratte un peu, on se rend vite compte que les arguments valent du flanc et qu’ils sont « recyclés ».


          • Gérard 15 février 2019 15:35

            @njama

            Votre réponse 25 janvier 22:49 était une non-réponse comme souvent à votre habitude, le Guide des vaccinations 2012 n’annule en rien l’expertise publiée dans le Rapport Dartigues de 2002.

            1/ Vous disiez que l’ANSM reconnaît officiellement que le vaccin provoque des centaines de troubles neurologiques. C’est faux.
            2/ Officiellement, la position de l’INPES est celle présentée dans mon lien. Et elle contredit votre affirmation.


          • Gérard 15 février 2019 15:40

            @njama

            les études sur ce vaccin Gardasil sont vérolées et pourries.

            Ah oui parce qu’un type semble avoir un oignon à peler avec Cochrane, alors du coup, selon vous, toutes les études sur le Gardasil sont pourries.

            Vous êtes d’un ridicule.


          • foufouille foufouille 15 février 2019 15:50

            @Gérard
            ça fait des années que je lis njma et doctorix qui lui est trop malade. ses méthodes perlimpinpin n’ont pas fonctionné et il a été opéré d’une tumeur cardiaque.
            un jour, je lui ai collé une colle de fac de médecine : il a répondu par un copier coller de doctissimo et avec une mauvaise réponse surtout pour un médecin.


          • njama njama 15 février 2019 15:51

            @Gérard

            C’est faux vous dites  !
            Prétendriez-vous que l’ANSM créé en 1993 ne connaîtrait pas ce Rapport Dartigues de février 2002 qui faisait état « au 31 mars 2001, (de) 862 atteintes neurologiques dont 71 atteintes démyélinisantes aiguës centrales. 46% des cas notifiés sont survenus dans les deux mois après la vaccination. Il s’agit de l’une des plus grande série d’effets indésirables recueillis par la pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974. »

            Si l’INPES a été créé en mars 2002 ... il est très improbable qu’elle ne le connaitrait pas.

            Une fois de plus vous vous prenez les pieds dans le tapis... votre crédibilité sur le sujet va bientôt attendre le trente-sixième sous-sol si vous continuez comme ça


          • Gérard 15 février 2019 15:55

            @foufouille

            surtout pour un médecin.

            Je ne crois pas un seul instant que ce type est médecin.
            C’est utile de se faire passer pour un médecin pour faire figure d’autorité.


          • Gérard 15 février 2019 15:57

            @njama

            Un rapport, ce n’est pas une position officielle
            Comprendo ??

            L’INPES connaît ce rapport puisqu’elle le cite dans ses références ....


          • njama njama 15 février 2019 16:08

            @ Gérard & foufouille

            La vaccination contre les HPV pourrait-elle augmenter l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus ?

            bonne question, non ?

            Le fabricant dit que oui, mais comme on n’est pas obligé de le croire sur parole...

            éléments de réponse d’après sources officielles : Comparaison des évolutions des incidences et des couvertures vaccinales dans différents pays industrialisés

            Conclusion provisoire :

            ça questionne quand même de savoir que la France qui est vraiment très mauvaise élève en vaccination papillomavirus, « à la traine » que nous disent certains journaux, qu’elle a le taux d’incidence du cancer du col de l’utérus le plus bas à 6, en comparaison de pays qui pratiquent à grande échelle cette vaccination.

            La France devrait servir de modèle, et non l’inverse.


          • njama njama 15 février 2019 16:18

            @ Gérard & foufouille
            France : 6
            GB : 9,6
            Norvège : 7,8
            Australie : 7
            Suède:7,4


          • Gérard 15 février 2019 16:18

            @njama

            Vous êtes d’une lourdeur ............

            Le dépistage des lésions précancéreuses par la réalisation régulière d’un test de dépistage a permis de diminuer de moitié le nombre des nouveaux cas, ainsi que le nombre des décès, depuis 20 ans. La vaccination contre les principaux types de HPV pour les jeunes filles est un moyen d’agir complémentaire contre ce cancer.


          • njama njama 15 février 2019 16:32

            @Gérard
            et si on vous suit bien vous voudriez l’imposer à tout le monde ce moyen supplémentaire contre le cancer malgré que les observations qui portent sur une dizaines d’années vont à l’encontre des effets prometteurs annoncés dans un paquet d’études...

            Il y aurait peut-être matière à vous mettre en examen pour tentative de mise ne danger de la vie d’autrui
            « dans le domaine médical par l’application de traitement inadapté ou contre-indiqué. »

             smiley


          • njama njama 15 février 2019 16:52

            @Gérard

            Si des différences de point de vue nous séparent sur la théorie, l’immunologie,... au moins pourrions-nous trouver un même consensus à a lecture de bilans de ce vaccin très expérimental, sur les faits, les chiffres.

            Conseilleriez-vous le Gardasil à votre jeune fille ou petite fille ado (hypothèse) au vu de ces piètres résultats qui semblent partir à l’inverse des effets attendus ?

            Le minimum serait de lui demander ce qu’elle en pense de tout ça... parce que quand le risque (taux d’EIG aux alentours de 8/100.000 d’après l’Affaps) dépasse les bénéfices (incidence du cancer du col à 6)...

            Le minimum est de choisir le risque.

            L’histoire de bénéfices-risques est très trompeuse, puisque au final c’est choisir entre 2 risques.



          • njama njama 15 février 2019 19:08

            Telle que présentée par les pro-vaccins l’histoire de bénéfices-risques est très trompeuse, il s’agit de faux choix à vrai dire, puisque ils opposent le bénéfice de l’immunité vaccinale aux risques épidémiologiques, les risques iatrogènes étant zappés.
            Côté vaccination on a le bénéfice d’une immunité apportée par le vaccin variable parce que relative à une sensibilité personnelle aux antigènes reçus qui est différente suivant les individus, (âge, etc) d’où il résulte une immunité imprécise de durée incertaine, et de l’autre les risques iatrogènes résultant d’une vaccination lesquels sont totalement aléatoires et imprévisibles selon du receveur (réponse de son système immunitaire, groupes HLA, un même vaccin pour des individus différents, des races différentes en caractères génétiques,...).
            Côté vaccination bénéfices et risques sont indissolublement liés l’un à l’autre, on ne peut avoir l’un sans l’autre.

            Côté non-vaccination, le risque assez aléatoire d’être exposé à l’agent infectieux même dans des conditions épidémiologiques (grippe par ex.) et d’avoir une immunité naturelle fragile et insuffisante pour y répondre correctement, et de l’autre, le bénéfice de ne pas s’exposer inutilement aux risques iatrogènes possibles.
            Côté non-vaccination bénéfice et risque ne sont pas liés l’un à l’autre
            , le bénéfice étant certain, et le risque hypothétique, et peu aléatoire car dépendant en grande partie de la personne à ne pas s’exposer ou être exposée aux agents infectieux (conditions de vie, hygiène, santé,...).


          • njama njama 15 février 2019 23:00

            @Gérard
            Un rapport, ce n’est pas une position officielle Comprendo ??

            ah bon, et donc si « une posture officielle » écrase du revers de la main les voix discordantes ça vous suffit comme preuve de science, et de démocratie sanitaire, mais où va-t-on alors ? votre raisonnement ne vaut pas plus qu’un coup de goupillon du pape ou d’un autre gourou ...

            Une position officielle, n’est pas non plus toujours les conclusions « d’un rapport d’experts », mais seulement un consensus, bien plus politique la plupart du temps [pour différentes raisons étrangères à la science (...)] que réellement scientifique.

            Dans le cas du vote récent d’une obligation vaccinale, fin 2017, et ce depuis le premier vote d’une obligation vaccinale sur la population (j’exclus le monde militaire assez extra-terrestre d’untermensch... ), celle du BCG dans les années 50, de cette obligation vaccinale récente pour les enfants nés après le 1er janvier 2018, cette « position officielle » très politique ne va pas accréditer votre « science des vaccins », bien au contraire.


          • njama njama 15 février 2019 23:46

            @Gérard

            Soyons clair, ce qui nous évitera à l’un et l’autre de dépenser inutilement énergie, salive ou sueur en commentaires, fût-ce par claviers interposées.
            De mon côté je retiens que « une ligne rouge » a été franchie par cette obligation vaccinale, qui a ouvert les hostilités, et vaut déclaration de guerre en matière de liberté thérapeutique. Je pèse mes mots, actez que je ne plaisante pas... tant l’enjeu me paraît crucial à tous points de vue.
            Comme bien d’autres vous sous-estimez probablement l’ampleur et la combativité de ceux qui s’y opposent, mais pas l’OMS qui nous classe dans les DIX plus grandes menaces mondiales (lol). « Que ceux qui ont des oreilles entendent » suivant l’adage évangélique, car cette posture clairement fasciste d’obligation vaccinale va exacerber les résistances populaires que l’on prend pour des moutons dans cette histoire. Luther avait porté un coup d’estoc fatal au catholicisme dont il ne s’en est pas encore remis, l’ayant profondément affaibli durablement, avec ses seuls mots, n’oublions pas d’en tirer des leçons...

            Dans cette résistance légitime à l’oppression politico-scientiste ainsi que je la perçois, je ne suis pas prêt de lâcher du lest dans ce nouveau combat médiatique, la résistance étant une réaction naturelle et proportionnée à l’agression ... suivant les principes de l’immunologie.

            Personnellement je n’ai rien à craindre de mes prises de positions dans cette histoire de vaccins contrairement à d’autres dont par procuration tacite et implicite je me fais le porte-voix de cette minorité silencieuse.


          • foufouille foufouille 16 février 2019 08:13

            @Gérard
            si il est médecin. la charente libre a écrit un article sur lui avec son vrai nom.


          • Gérard 18 février 2019 11:03

            @njama

            et si on vous suit bien vous voudriez l’imposer à tout le monde ce moyen supplémentaire contre le cancer malgré que les observations qui portent sur une dizaines d’années vont à l’encontre des effets prometteurs annoncés dans un paquet d’études...

            Le vaccin produit déjà ses effets positifs sur les lésions pré-cancéreuses.
            Ces effets sont le signe que l’on peut très raisonnablement s’attendre à une baisse de l’incidence du cancer d’ici quelques années.

            Dans la mesure où le Gardasil (et Cervarix) est un vaccin extrêmement sûr et qu’il est certainement le médicament le plus contrôlé au monde, votre remarque sur la mise en danger d’autrui tombe lamentablement à plat ...


          • Gérard 18 février 2019 11:12

            @njama

            Telle que présentée par les pro-vaccins l’histoire de bénéfices-risques est très trompeuse, il s’agit de faux choix à vrai dire, puisque ils opposent le bénéfice de l’immunité vaccinale aux risques épidémiologiques, les risques iatrogènes étant zappés.

            Faux, les risques iatrogènes sont pris en compte. La preuve.


          • Gérard 18 février 2019 11:44

            @njama

            ah bon, et donc si « une posture officielle » écrase du revers de la main les voix discordantes ça vous suffit comme preuve de science, et de démocratie sanitaire, mais où va-t-on alors ? votre raisonnement ne vaut pas plus qu’un coup de goupillon du pape ou d’un autre gourou ...

            La « posture officielle » n’écrase pas « les voix discordantes » (je reprends vos termes). Elle les prend en compte et les analyse à la lumière d’un ensemble de sources, rapports, ... pour dégager une conclusion générale.

            Parce que même dans le rapport que vous me présentez (rapport Dartigues de 2002), il est dit notamment ceci :

            « En conclusion, aucune donnée ne permet d’affirmer que la vaccination contre l’hépatite B augmente le risque de sclérose en plaques. En revanche, on ne peut pas exclure que la vaccination puisse être un stimulus non spécifique déclenchant un Episode Aigu de Démyélinisation au même titre qu’une infection virale ou un autre vaccin. On ne peut affirmer la spécificité de cette liaison puisque la vaccination contre l’hépatite B est la seule vaccination massive proposée chez l’adulte dans la période à risque pour la sclérose en plaques (de 20 à 50 ans). Les autres vaccins et les infections virales peuvent constituer des stimulus immunologiques susceptibles d’induire les mêmes effets. »

            « Ces analyses décisionnelles montrent donc que les bénéfices de la vaccination
            restent supérieurs aux éventuels risques dans différents scénarios envisagés en fonctionde l’importante incertitude entourant certains paramètres comme le taux de sous-notification. »


          • Gérard 18 février 2019 11:49

            @njama

            De mon côté je retiens que « une ligne rouge » a été franchie par cette obligation vaccinale, qui a ouvert les hostilités, et vaut déclaration de guerre en matière de liberté thérapeutique.

            Votre rhétorique belliqueuse n’impressionnera pas grand-monde, vous savez.
            En fait, elle aurait même tendance à vous décrédibiliser.

            Les nombreux points Godwin que vous vous amusez à atteindre à quasi-chacun de vos commentaires également.


          • njama njama 12 février 2019 10:33

            “Rien ne justifie de recommander le vaccin Gardasil contre les papillomavirus » article de Vanessa Boy-Landry

            du 11 janvier publié en ligne dans ParisMatch.com qui résume très bien les failles de cette « méta-analyse » Cochrane contestée

            « Une institution indépendante de l’industrie pharmaceutique a récemment blanchi les vaccins recommandés pour prévenir le cancer du col de l’utérus, controversés depuis dix ans. Des voix qui contestent solidement l’efficacité de cette vaccination mettent aujourd’hui leurs données à la disposition du public et des médias. »

            retiré du Web sans explication ! mais retrouvé dans le cache Google :
            https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:adjD6-3ZIBcJ:https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Rien-ne-justifie-de-recommander-le-vaccin-Gardasil-contre-les-infections-au-papillomavirus-1599033+&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr&client=firefox-b-d

            On peut y lire en autres que les résultats les plus importants n’ont jamais été publiés !…

            à sauvegarder avant qu’il ne disparaisse, de l’excellent journalisme !


            • Francis, agnotologue JL 12 février 2019 10:43

              @njama
               
               ’’« Une institution indépendante de l’industrie pharmaceutique a récemment blanchi les vaccins recommandés pour prévenir le cancer du col de l’utérus, controversés depuis dix ans. Des voix qui contestent solidement l’efficacité de cette vaccination mettent aujourd’hui leurs données à la disposition du public et des médias. »

               
               Je ne comprends pas : ces deux phrases ne contredisent-elles pas ?


            • Gérard 12 février 2019 11:17

              @njama

              On peut y lire en autres que les résultats les plus importants n’ont jamais été publiés !…

              à sauvegarder avant qu’il ne disparaisse, de l’excellent journalisme !

              Bah oui et puisqu’il n’y a aucune source, c’est assez pratique pour raconter n’importe quoi.
              De l’excellent journalisme, dites vous !? Encore une fois, vous vous contentez de bien peu quand il s’agit se cracher sur les vaccins.

              C’est aussi une belle pub pour vendre leur arnaque ... euh bouquin.


            • njama njama 12 février 2019 11:36

              @JL
              En italique j’ai simplement repris le chapeau de l’article de Vanessa Boy-Landry.

              L’institution indépendante est le groupe Cochrane, ou du moins elle l’était jusqu’il y a peu car Cochrane bénéficiait du meilleur niveau de confiance mondial dans ses expertises de « méta-analyses ».
              La dernière analyse de Cochrane de mai 2018 sur le Gardasil

              souffre de nombreux biais dont les raisons sont évoqués dans l’article sur la base du « travail de recherche mené par Catherine Riva, une journaliste indépendante suisse qui enquête depuis dix ans sur les vaccins anti-HPV. Avec plusieurs médecins et chercheurs (en Suisse et au Canada), elle conteste solidement l’efficacité du vaccin […] »
              L’article rappelait aussi que Peter Gøtzsche, membre fondateur et figure tutélaire de l’organisation Cochrane, expulsé en septembre 2018 du conseil de gouvernance, avait publié une critique virulente de la synthèse Cochrane sur les vaccins anti-HPV, notamment sur la question des effets indésirables.
              BMJ – EBM analysis The Cochrane HPV vaccine review was incomplete and ignored important evidence of bias
              Free Lars Jørgensen1, Peter C Gøtzsche1, Tom Jefferson2 – https://ebm.bmj.com/content/23/5/165


            • njama njama 12 février 2019 11:42

              @JL
              et donc aujourd’hui le Gardasil bénéficie d’une aura surestimée sur la base d’une méta-analyse qui révèle de nombreux biais,..

              Le dernier bastion de la médecine indépendante dynamité
              La collaboration Cochrane, un réseau mondial de scientifiques et de médecins, s’est toujours portée garante des évaluations pharmaco-critiques des médicaments, des tests de médicaments et des vaccins. Ces dernières années, cependant, des tentatives ont été faites pour affaiblir l’indépendance de cette association. En septembre 2018, le co-fondateur, médecin et scientifique Peter C. Gøtzsche a été exclu en tant que membre de la collaboration Cochrane. Pourquoi ? Voyez vous-même…

              https://reseauinternational.net/le-dernier-bastion-de-la-medecine-independante-dynamite/


            • njama njama 12 février 2019 11:49

              @Gérard
              Vous ne savez pas lire, ou utiliser les liens dans l’article ?

              Letter – Lessons learnt on transparency, scientific process and publication ethics. The short story of a long journey to get into the public domain unpublished data, methodological flaws and bias of the Cochrane HPV vaccines review
              Catherine Riva1, Serena Tinari2, Jean-Pierre Spinosa3
              https://ebm.bmj.com/content/early/2018/12/05/bmjebm-2018-111119

              L’ensemble des données et des tableaux à l’appui de leurs conclusions ainsi que leurs six ans de correspondance avec Cochrane sont désormais en accès libre sur la plateforme open source Zenodo.org :
              https://www.re-check.ch/wordpress/wp-content/uploads/2018/12/RivaC-TinariS-SpinosaJP_List-documents-Zenodo.pdf

              La chronologie de l’enquête depuis 2008, ainsi que les liens vers les publications et l’ensemble des données, sont disponibles sur la page dédiée à la vaccination anti-HPV du site Re-Check.


            • Francis, agnotologue JL 12 février 2019 12:32

              @njama
               
               merci pour les réponses.


            • njama njama 12 février 2019 12:58

              @JL
              sur le Blog du docteurdu16 un autre résumé concernant cette éviction ainsi que les différents reproches faits par les 3 auteurs Jørgensen L, Gøtzsche P, et Jefferson T à la revue Cochrane :

              1. Presque 50 % des essais éligibles n’ont pas été pris en compte (et notamment des essais concernant le gardasil 9) qui intéressaient 120 000 femmes) et parmi ceux pris en compte il existait des biais de reporting et de méthodologie. (Par ailleurs ces mêmes 3 auteurs avaient publié un listing des études à prendre en compte : ICI)
              2. Aucun essai inclus ne comportait un vrai bras placebo, les comparateurs étant l’aluminium et/ou le vaccin contre l’hépatite.
              3. Les critères de jugement pour évaluer la survenue du cancer du col étaient un composite de critères de substitution dont certains ne sont pas corrélés à la survenue d’un cancer du col.
              4. Les effets indésirables sévères et systémiques n’ont pas été évalués de façon correcte (données manquantes, données non intégrées à la synthèse finale, données non fournies par les industriels et non exigées...)
              5. Certains risques liés à l’administration du vaccin ont été mis de côté et l’évaluation a été faite à partir d’études de tolérance communautaires, patronnées par le WHO ou par l’EMA elles-mêmes fondées sur des données industrielles.
              6. Les conflits d’intérêts ont été négligés puisque tous les essais retenus ont été réalisés sur des fonds émanant des fabricants, 14 auteurs du premier protocole avaient des liens avec l’industrie des vaccins, sur les 4 auteurs principaux de la revue, 3 présentaient des conflits d’intérêts dans les 10 ans précédents et le premier auteur « currently leads EMA’s ‘post-marketing surveillance of HPV vaccination effects in non-Nordic member states of the European Union’, which is funded by Sanofi-Pasteur-MSD that was the co-manufacturer of Gardasil. » *

              http://docteurdu16.blogspot.com/2018/09/peter-gtzsche-est-vire-de-la-cochrane.html

              * (trad.) : « dirige actuellement la surveillance post-commercialisation de l’EMA [European Medicines Agency Agence européenne des médicaments] sur les effets de la vaccination contre le VPH dans les États membres non nordiques de l’Union européenne », qui est financé par Sanofi-Pasteur-MSD qui était le co-fabricant de Gardasil."


            • Yoann Yoann 12 février 2019 10:41

              Excellent article, clair et factuel, merci et continuez !!!!!


              • Yoann Yoann 12 février 2019 23:17

                @Alcyon

                Pas mal de sources, des graphiques explicites ... Et surtout de très bons résultats dans son protocole de soin du cancer chez les enfants smiley
                Elle se bat contre la pensée unique de Big pharma, son défaut, elle refuse se suivre les sentiers battus. http://madame.lefigaro.fr/societe/nicole-delepine-guerre-declaree-070714-891823
                Et vous, à part le gruyère, des arguments ?


              • njama njama 13 février 2019 11:19

                @Alcyon
                L’expression anglaise est The moon is made of green cheese, dont l’équivalent proverbial en français serait prendre des vessies pour des lanternes.

                Il y a bien « croyance » dans le titre de l’article, mais reste à savoir de quel côté elle se situe, la « science des vaccins » étant peuplée d’hypothèses, d’incertitudes, d’effets non attendus, de dommages collatéraux divers, d’approximations, d’immunités variables et de durées très incertaines ... qui témoignent plus d’un stade « d’expérimentations vaccinales » et d’empirisme dans le droit fil des variolisations de Jenner plutôt que d’un corpus qui mériterait le nom de science.

                Quand bien même l’idée à la base de la « vaccination » (du latin vaccinus, -a, -um, « de vache ») d’améliorer des pratiques de rebouteux rapportées d’Afrique ou d’Orient au XVII° siècle semblait partir de bonnes intentions... l’immunologie semble encore loin de la compréhension de l’origine véritable de l’immunité naturelle. Et allez savoir si, ne remettant pas en cause ses prémisses dont certains sont caducs, elle ne s’en éloignerait pas davantage...
                Autant d’imprécisions devraient inspirer un peu de modestie et d’humilité chez les immunologistes et ne sauraient justifier un absolutisme doctrinal (plus politique que scientifique je crois) dont le seul fondement ne repose que sur un acte de foi borgne voire aveugle dans « la Vaccination ».


              • Gérard 13 février 2019 11:50

                @njama

                Autant d’imprécisions devraient inspirer un peu de modestie et d’humilité chez les immunologistes et ne sauraient justifier un absolutisme doctrinal (plus politique que scientifique je crois) dont le seul fondement ne repose que sur un acte de foi borgne voire aveugle dans « la Vaccination ».

                Venant de quelqu’un qui cite du Nexus et du Initiative Citoyenne ainsi que toute la clique de charlatans antivax, qui croit dur comme fer à la fiabilité des statistiques VAERS, qui nie toute efficacité vaccinale, qui remet en cause des pans entiers de la microbiologie, qui nie le lien VIH/SIDA, qui fait la promotion de remèdes magico-pseudo-scientifiques, ...

                C’est hyper crédible.
                Les immunologistes seraient pliés en deux à vous lire.


              • njama njama 13 février 2019 13:25

                @Gérard
                Les immunologistes seraient pliés en deux à vous lire.


                Vous en êtes sûr ?
                L’immunologie se base sur la production d’anticorps, et à partir de là dès qu’une « popote biologique » en contient on appelle ça « un vaccin » sans que la preuve de l’action immunisante dans la prévention de la maladie soit établie.
                Faut dire à décharge pour les immunologistes que pour la prouver il faudrait réaliser une étude clinique dans laquelle la moitié des participants choisis de manière aléatoire se verrait administrer un placebo du vaccin (un vrai) « à l’aveugle », c’est à dire sans que les sujets ni les médecins ne sachent quelle substance a été administrée.
                Ce genre d’études cliniques n’a jamais été fait pour des raisons d’éthique de la médecine conventionnelle car elle permettrait sciemment que le groupe témoin qui prend le placebo contracte la maladie au cours de l’expérimentation.

                L’efficacité des vaccins est donc seulement déduite de leur capacité à induire la production d’anticorps et de l’interprétation des statistiques sur l’incidence de la maladie après la vaccination de la population.
                Croyez-vous que les immunologistes me contrediraient ?


              • Gérard 13 février 2019 13:34

                @njama

                C’est bien ce que je disais ...

                Pliés en deux les mecs ...

                Ils encadreraient vos propos en bonne place sur leur pan de mur dédié aux perles des « sacheurs de véritude ».


              • njama njama 13 février 2019 13:45

                @Gérard
                ( suite...)
                Si l’incidence de la maladie continue à diminuer, le mérite en revient au vaccin.

                La plupart des grandes maladies infectieuses ayant fondu comme neige au soleil voire ayant disparu avant l’introduction des vaccins comme l’attestent de nombreuses données historiques, pour les raisons hautement vraisemblables d’amélioration des conditions de vie, d’hygiène, de nutrition, d’éducation entre ww1 et ww2... la relation anticorps vaccination // statistiques incidence de la maladie ne paraît pas suffisante pour être convaincante ! et laisse penser que la réputation sur l’efficacité générale des vaccins serait largement surfaite comme surmédiatisée.

                Si l’incidence de la maladie augmente, (les exemples ne manquent pas, coqueluche, rougeole, ...) on dira que c’est soit que le vaccin n’est pas administré assez souvent et qu’il faut une piqure de rappel dans le programme de vaccination, soit qu’il faut une dose supplémentaire, ou encore soit que le taux de couverture vaccinale n’est pas jugé suffisant et qu’il faut l’augmenter.


              • Gérard 13 février 2019 13:57

                @njama

                La plupart des grandes maladies infectieuses ayant fondu comme neige au soleil voire ayant disparu avant l’introduction des vaccins comme l’attestent de nombreuses données historiques, pour les raisons hautement vraisemblables d’amélioration des conditions de vie, d’hygiène, de nutrition, d’éducation entre ww1 et ww2... la relation anticorps vaccination // statistiques incidence de la maladie ne paraît pas suffisante pour être convaincante ! et laisse penser que la réputation sur l’efficacité générale des vaccins serait largement surfaite comme surmédiatisée.

                Prenez l’exemple de la varicelle aux Etats-Unis, et vous comprendrez pourquoi ce que vous dites est inexact.


              • njama njama 13 février 2019 14:19

                @Gérard suite... et fin 

                Pour pallier à ce biais phénoménal dans les études cliniques qui ne permet pas d’établir que la preuve de l’action immunisante dans la prévention de la maladie soit établie, de même que la validité des hypothèses sur lesquelles se fonde l’immunologie en raison de cet obstacle éthique de la médecine qui rend impossible des études cliniques avec administration d’un vrai placebo « à l’aveugle » sans que les sujets ni les médecins ne sachent quelle substance a été administrée, il y aurait la solution de substituer à ce protocole d’études cliniques impossible à réaliser celui de trouver des cohortes de participants volontaires qui se verraient administrer les (prototypes de) vaccins, et d’autres cohortes de volontaires en nombre égal et qualités égales, hommes, femmes, tranches d’âge...) qui s’engageraient en connaissance de cause et de risques, à ne pas se faire vacciner, la seule solution pour sortir de cette impasse sur laquelle bute l’immunologie étant de pouvoir comparer des populations de « vaccinés » avec des populations de « non-vaccinés ».
                Je veux bien me porter volontaire pour être candidat de la seconde catégorie, en bon zélote le seriez-vous Gérard pour la première... smiley

                Pour ce faire, il suffirait d’abandonner simplement cette notion d’immunité de groupe qui est un leurre avéré, comme celle d’atteindre un taux maximal et idyllique de couverture vaccinale pour attester de l’efficacité, et donc d’une façon générale de mettre entre parenthèses pour quelques décennies, une ou deux au moins, le principe d’une vaccination de masse comme condition d’efficacité, l’expérience ayant prouvé d’ailleurs dans le cas de la variole qu’elle était peu inefficace et n’avait pas permis son éradication suivant les conclusions formulées par l’OMS dans son Rapport en 1979.


              • pemile pemile 13 février 2019 14:24

                @njama "la seule solution pour sortir de cette impasse sur laquelle bute l’immunologie étant de pouvoir comparer des populations de « vaccinés » avec des populations de « non-vaccinés »."

                Ce qui est fait sur des animaux dans les labos, non ?


              • Gérard 13 février 2019 14:36

                @njama

                Pour pallier à ce biais phénoménal blabla.........


                Beh il suffit de voir ce qu’il se passe quand une population arrête de vacciner (ou vaccine moins) (ici par exemple)


              • Gérard 13 février 2019 14:37

                @Gérard

                Voici mon exemple (lien incorrect dans mon commentaire précédent)


              • njama njama 13 février 2019 15:14

                @pemile
                Ce qui est fait sur des animaux dans les labos, non ?

                Les animaux dans les labos sont tous soumis au même contexte, cadre de vie (façon de parler), même alimentation... c’est un peu léger pour comparer. L’utilisation d’animaux a ses limites expérimentales, ils ne sont pas forcément sensibles aux mêmes agents pathogènes, ou à des degrés différents.

                D’autre part, les vrais placebos (substance neutre) ne sont jamais utilisés dans les études de vaccins... ce qui est un autre biais de ces études


              • njama njama 13 février 2019 15:59

                @Gérard
                En suivant votre lien je lis « l’immunité de groupe ne fonctionne pleinement que si 95 % de la population est vaccinée, au minimum »...
                Ce dogme qui prend des allures d’axiome mathématique ne prouve rien, ou plutôt qu’il serait une réponse formulée suite à l’efficacité relative mais très idéalisée des vaccins, l’immunité apportée par la vaccination étant plus ou moins éphémère chez les sujets vaccinés, voire nulle chez des sujets non-répondeurs. Les cas sont nombreux de résurgences de petites épidémies locales de rougeole ou autre dans des populations hyper-vaccinées comme aux États-Unis ou en Chine. L’immunité conférée par la vaccination n’égalera jamais une immunité naturelle, qu’on se le dise !
                Il y a trois ou quatre décennies, les mêmes experts (les pairs de ceux d’aujourd’hui), juraient mordicus que le taux de 60 % était suffisant pour que l’immunité de groupe fonctionne, mais comme ça n’ a pas marché comme espéré ce % ne cesse d’être revu à la hausse depuis. Dans cette logique ubuesque aussi absurde qu’obsessionnelle il devrait attendre prochainement les 100 % peut-être ? ce qui serait effectivement un autre moyen de prouver l’efficacité ou non d’un vaccin mais tellement plus dispendieux en terme de moyens, d’effets secondaires induits, et assez incertain si l’on se fie aux échecs successifs de cette hypothétique immunité de groupe assez fantômatique. Comment d’ailleurs s’y retrouver avec ces vaccins à valences multiples qui pourraient révéler autant de défaillances marginales et d’inégalités d’efficacité chez les vaccinés que leur nombre de valences ...


              • Gérard 13 février 2019 16:06

                Juste pour contredire njama (et Initiative Citoyenne) par rapport à l’affirmation :

                « les vrais placebos (substance neutre) ne sont jamais utilisés dans les études de vaccins... »

                C’est faux. Une solution saline a été utilisée dans une étude sur le gardasil.

                Il y a d’autres études où un placebo à base de solution saline a été utilisé. Mais c’est une minorité.

                Cela dit, ce n’est nullement un obstacle à la bonne évaluation de l’efficacité ou de la sûreté d’un vaccin, comme veut le faire croire njama.


              • Gérard 13 février 2019 16:19

                @njama

                Les cas sont nombreux de résurgences de petites épidémies locales de rougeole ou autre dans des populations hyper-vaccinées comme aux États-Unis ou en Chine.

                La Chine excellent exemple njama ! (ça marche avec les USA aussi notez)

                « La Chine compte plus d’1 milliard d’habitants mais un milliard est un chiffre rond intéressant, je vais donc arrondir à la baisse. Avec un taux de vaccination de 95%, il reste 50 millions de personnes non vaccinées. La Californie, l’état le plus peuplé des Etats-Unis, compte environ 37 millions d’habitants. Ces 50 millions de chinois non vaccinés ne sont pas répartis de manière égale dans toute la Chine, si ils bénéficiaient de l’immunité de groupe, les taux seraient vraiment satisfaisants. Une étude réalisée en Chine a montré que près de 12% des parents qui ont déménagé de zones rurales vers la ville n’avaient pas vacciné leurs enfants.

                En réalité, la couverture vaccinale varie selon les régions géographiques et, malgré une couverture globale élevée, il existe encore des poches de population susceptibles. Ensemble, la Chine et l’Inde hébergent 33% de tous les enfants non vaccinés de la planète. Le nombre de travailleurs migrants qui ne sont pas vaccinés constitue un autre problème en Chine, ce qui fausse encore davantage les données, car ils n’étaient pas comptés à la naissance. »

                Il y a trois ou quatre décennies, les mêmes experts (les pairs de ceux d’aujourd’hui), juraient mordicus que le taux de 60 % était suffisant pour que l’immunité de groupe fonctionne, mais comme ça n’ a pas marché comme espéré ce % ne cesse d’être revu à la hausse depuis.

                C’est super cool ça njama ! Vous faites la démonstration éclatante que la science évolue, qu’elle se remet en question, qu’elle cherche constamment à s’améliorer. Bel instant de lucidité !

                Dans cette logique ubuesque aussi absurde qu’obsessionnelle il devrait attendre prochainement les 100 % peut-être ?

                Ah, l’instant de lucidité n’aura pas duré longtemps ...


              • CoolDude 13 février 2019 16:58

                @Gérard

                Une solution saline a été utilisée dans une étude sur le gardasil.

                + une solution saline avec adjuvant aluminique.

                Dommage qu’il ne distingue pas pour l’ensemble des résultats le placebo avec adjuvant et sans adjuvant.

                On aurait même pu prendre un groupe de contrôle, témoin sans injection du tout...

                Par exemple :
                29% of vaccine recipients and 31% of placebo recipients reported a new medical conditions (such as allergy, infection, neurological, musculoskeletal etc.)

                Il aurait été bien de différencier les deux placebos.

                Car si on a, par exemple 30% pour le placebo avec adjugent et 15% avec placebo sans... !!!

                Sinon, faire ce genre de tests sur des enfants de (9-15 ans) est-il très sérieux.


              • CoolDude 13 février 2019 17:02

                @Gérard

                l y a trois ou quatre décennies, les mêmes experts (les pairs de ceux d’aujourd’hui), juraient mordicus que le taux de 60 % était suffisant pour que l’immunité de groupe fonctionne, mais comme ça n’ a pas marché comme espéré ce % ne cesse d’être revu à la hausse depuis.

                C’est super cool ça njama ! Vous faites la démonstration éclatante que la science évolue, qu’elle se remet en question, qu’elle cherche constamment à s’améliorer. Bel instant de lucidité !

                Il faillait même à une époque qu’une seule dose...

                Ça s’améliore...

                Enfin question de point de vue.


              • njama njama 13 février 2019 17:57

                @Gérard
                Assurément cela atteste de cette folie dogmatique inouïe absolutiste dans laquelle s’enfonce la vaccinolâtrie pour prouver ses hypothèses d’immunologie encore bien fragiles... 100 % de la planète vaccinée nous n’en sommes plus loin, encore un peu de patience Gérard pour atteindre le nirvana, et l’extase immunologique smiley

                Le vrai miracle de la vaccination il est surtout là, il prend des allures de super martingale et à ’inverse les « anti-vaccins » de trouble-fêtes devant ces futures agapes de prébendes en perspectives parce qu’il n’est pas auto-immun ce miracle et que jackpot n’arrivera pas par l’opération du Saint-Esprit mais bien par l’aide de quelques bateleurs_investisseurs qui tirent les ficelles... 
                Le marché mondial des vaccins doublera d’ici à 2025

                Par latribune.fr | 18/03/2016 "De fait, malgré les craintes récurrentes des patients au sujet de la toxicité des vaccins, leurs ventes mondiales sont loin de reculer. Celles-ci sont passées de 26 milliards de dollars en 2011 à 32,3 milliards de dollars en 2014 et devraient avoisiner les 80 milliards de dollars en 2025, selon l’étude du cabinet Alcimed."

                La sécu n’est pas non plus un puits sans fond, toutes les fêtes ont une fin.
                Alcimed est une société de conseil et d’aide à la décision en marketing stratégique, en littératie smiley


              • njama njama 13 février 2019 18:07

                @CoolDude

                Il faillait même à une époque qu’une seule dose...

                Ça s’améliore...

                deux doses, trois doses, on sait pas si c’est de la science, mais c’est bon pour le business.

                "J’ai rencontré le comptable de l’institut Pasteur de l’époque. Il m’a expliqué qu’une dose de vaccin avec du phosphate de calcium coûtait à l’époque 30 centimes de francs de plus qu’une dose avec l’aluminium. De plus, pour obtenir l’immunisation, avec le phosphate, on n’avait besoin que de deux injections alors qu’il en fallait 3 avec l’aluminium. Mérieux a dit : « On préfère vendre 3 vaccins plutôt que 2 ». Il faut comprendre que la politique vaccinale est très déterminée par des intérêts financiers..." Romain Gherardi... répond aux questions de « L’Obs »

                source : Vaccins : « Nous ne savons pas grand-chose sur les effets de l’aluminium » L’Obs > Santé 24 sept. 2017


              • CoolDude 15 février 2019 15:36

                @Gérard

                Par exemple :
                29% of vaccine recipients and 31% of placebo recipients reported a new medical conditions (such as allergy, infection, neurological, musculoskeletal etc.)

                Vous ne remarquez pas un prob.

                1/3 des patients a eut une infection dans l’année !
                Si ils appellent une rhinopharyngite une infection, c’est gagné.

                Bref, ici aussi, il faut distinguer toutes les pathologies par rapport à un groupe contrôle sans placebo, sans rien et sur une plus longue durée.

                1/3... En 3 ans, ils sont tous malades voir on tous une ALD. Ça fait peur.

                Bref, une étude qui sent le bidonnage à plein nez !


              • njama njama 13 février 2019 18:52

                @ Gérard
                avec l’aide de quelques bateleurs_investisseurs qui tirent les ficelles... pas de complot, au final rien de secret dans ces montages pour booster artificiellement le marché des vaccins, c’est un peu comme au théâtre, ne rentre pas qui veut dans les coulisses pour y voir ce qu’il s’y passe.

                « Charity must be considered as an industry » (sic).

                (2) Outils financiers créés pour faciliter le marché du vaccin  :
                IFFIm : facilité internationale de financement pour la vaccination : Accélère la disponibilité des capitaux destinés aux programmes de santé et de vaccination en émettant un emprunt obligataire sur le marché des capitaux internationaux, dont le remboursement est assuré par les États participant à l’opération. L’IFFIm a permis de doubler les ressources financières que GAVI consacre à ses programmes de vaccination.
                ( NDLA :La Gavi Fund affilated Board est le seul administrateur de la IFFIm ( source : site de GAVI)
                AMC : Advanced Market Committments = garantie de marché. Par ce mécanisme, l’industrie pharmaceutique obtient la garantie d’achat d’un nombre déterminé de vaccins à un prix fixé à l’avance par Gavi Alliance. Avec l’AMC, les industriels sont assurés de leur futur marché.
                source : Vaccination globale et capital vertueux ou...Comment Bill Gates investit charitablement par Ramila Parks mardi 21 juillet 2009

                etc. ...


                • les Vaxxeuses les Vaxxeuses 15 février 2019 09:14

                  Ah, il semblerait que les ventes du livre mensonger des Delepine ne soient pas satisfaisantes. Un nouvel article de publicité pour ce torchon dont les auteurs font honte à leur profession.


                  • CoolDude 15 février 2019 15:30

                    @les Vaxxeuses

                    Répétez tous en cœur !!!

                    Les vaccins, c’est super bien.
                    Imposons les car c’est surper bon.

                    Et moi qui suis Pro-Vaccin, je suis super bien et super bon.

                    AMEN.

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