Et comment croyez-vous que ça marche en France ? quand ceux-là mêmes en charge de la pharmacovigilance admettent une sous-notification importante des effets iatrogènes dus au médicaments, vaccins compris.
Le REVAHB n’est pas une ligue anti-vaccinale et n’a aucune visée anti-vaccinaliste quelconque. [............. ]
Afin de tenter de dénombrer et de recenser au mieux tous ces effets indésirables plus ou moins connus ou reconnus, le REVAHB a
travaillé depuis février 1998 en relation avec la Pharmacovigilance
nationale (AFSSAPS), et continue depuis mai 2012 avec l’Agence Nationale
de Sécurité du Médicament (ANSM).
Cet organisme, sous la
dépendance de la DGS (Direction Générale de la Santé), est chargé de
recenser par les voies officielles tous les effets indésirables
médicamenteux ou post-vaccinaux.
Il est apparu qu’une sous
notification importante existait en matière de déclaration des
complications post-vaccinales. Lorsque nous avons croisé notre listing
avec celui de l’AFSSAPS, il existait une minorité de doublons puisque
72% des dossiers transmis par le REVAHB n’étaient pas connus de l’Agence. Les actions du REVAHB complètent
donc très efficacement le recensement officiel de ces affections
post-vaccinales afin d’aboutir progressivement à une quantification la
plus complète possible de ce problème de santé publique. Le REVAHB effectue
donc depuis des années un travail régulier et gratuit de
Pharmacovigilance avec, à ce jour, plus de 2 000 dossiers transmis.