@Giordano Bruno
OUI :
"débats (...) sans censure (...), condition sine
qua non pour donner poids à une hypothèse. Une idée qui ne peut pas être
librement combattue, ne peut non plus obtenir aucune sérieuse crédibilité"
A l’auteur,
je ne souscris pas à votre analyse qui m’apparaît biaisée dans la mesure où, à
propos d’Etienne Chouard, vous omettez de rappeler :
1/ son combat, ses travaux, ses
écrits sont entièrement tournés vers la défense de l’intérêt général et les
moyens de réduire au maximum l’influence de ceux qui occupent actuellement les
positions de pouvoir et qui défendent des intérêts particuliers.
2/ son combat, ses travaux, ses
écrits tendent à remettre la vergogne au centre du jeu et à réduire au maximum
le pouvoir de nuisance de ceux qui agissent sans vergogne.
3/ l’une des méthodes qu’il
préconise est le débat d’idées SANS CENSURE (pouvez-vous entendre cela : SANS
CENSURE !) et il a eu le courage, à propos d’Alain Soral, de rester fidèles à
ses principes au lieu de courber l’échine malgré la menace de l’anathème
d’antisémitisme et alors qu’à l’époque (n’oublions pas que ça commence à dater
cette histoire) chaque personne invitée à participer au débat public était
systématiquement sommée de dire tout le mal qu’elle pensait d’Alain Soral et de
Dieudonné.
De toute évidence, vous préférez occulter ces 3 faits (faits = factuels) qui soulignent
la vertu d’Etienne Chouard pour hurler avec les loups sur son éventuel
antisémitisme refoulé....finalement basé sur des attaques par la bande (billard) et surtout
parfaitement absent de l’ensemble de ses travaux.
J’ai donc « moinssé » votre article