A tout un chacun(e) et médecins qui voudraient se faire sa propre idée au delà de ce que nous racontent les autorités sanitaires et médias mainstream, je recommande la lecture des deux articles ci-dessous, le premier de Marc Girard, mathématicien, médecin, expert en pharmacovigilance, véritable réquisitoire à charge contre la complaisance qui a entouré la validation du vaccin Gardasil
GARDASIL : ÉLÉMENTS POUR UN VRAI DÉBAT dimanche 10 février 2019
(extraits, mise en bouche)
Efficacité
En principe – et pour autant que les médecins promoteurs de cette vaccination sachent de quoi ils parlent –, l’examen de cette phase ne devrait pas prendre beaucoup de temps : pour fondamentale qu’elle soit dans la vie d’un médicament (la plus fondamentale, en vérité), elle a été purement et simplement contournée grâce à la procédure du fast-track accordée, en 2002, par l’administration américaine (FDA) au fabricant (MSD). [...]
Dit autrement, cela signifie que les contraintes authentiquement expérimentales qui ont fini par s’imposer pour l’évaluation des nouveaux médicaments (en l’espèce : le choix de critères réalistes lors des essais, fussent-ils en double aveugle) ont été épargnées au fabricant [10]. En conséquence de quoi, et jusqu’à preuve du contraire (qui échoit aux promoteurs de cette vaccination) :
- on ne sait pas quelle proportion de filles vaccinées sont durablement protégées contre les virus censément visés par Gardasil (HPV 16 et HPV18) ;
- on sait encore moins quelle proportion de filles vaccinées sont protégées contre les lésions précancéreuses attribuées, à tort ou à raison, aux virus HPV (attendu qu’il est parfaitement possible que même SI elles étaient durablement protégées contre les HPV 16 et 18, les vaccinées soient contaminées par d’autres souches aussi cancérigènes, par une sorte de déplacement écologique dont on connaît bien d’autres exemples en infectiologie) [11] ;
- on ignore totalement la proportion de filles vaccinées qui échapperont effectivement à un vrai cancer : si les autorités ont tenu à épargner au fabricant les affres de l’attente concernant la prévention des simples lésions précancéreuses, on imagine mal qu’elles aient la cruauté de leur imposer sur un bien plus long terme l’évaluation des cancers dûment constitués [12].
lire l’article : http://www.rolandsimion.org/spip.php?article311