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Accueil du site > Tribune Libre > Gardasil, foi, propagande ou argumentation scientifique, il faut choisir (...)

Gardasil, foi, propagande ou argumentation scientifique, il faut choisir !

De nombreux articles sur des journaux (médicaux en particulier) font allusion à nos travaux insinuant (ou plus) qu'il s'agirait de fake news. Ne pouvant leur répondre directement, car pour certains l'accès est réservé aux abonnés, nous postons ici une réponse globale à ces déclarations fausses qui au-delà des insultes éventuelles à notre égard, nuisent à l'information objective et éclairée des citoyens. Que ceux qui ont accès à ces sites leur transmettent nos réponses. Merci d'informer largement.

Foi, propagande ou argumentation scientifique, il faut choisir !

"Le doute est l'école de la vérité."

Francis Bacon

 

UNE EPOQUE DANS LAQUELLE MYTHE ET REALITES SE CONFONDENT EN PERMANENCE

 Si la phrase selon laquelle « le XXI nième siècle sera mystique ou ne sera pas » a été attribuée peut-être à tort à André Malraux, elle pose en tous cas le véritable défi de notre siècle débutant, la régression de l’esprit scientifique qui n’est plus omniprésent même en sciences, la montée en puissance du fantastique qui envahit les vidéos, les séries et les cerveaux des plus jeunes qui confondent de plus en plus fiction et réalité[1]. La chute de l’enseignement mathématique en secondaire, achevée cette année par la nouvelle réforme de Blanquer qui transforme l’enseignement mathématique en OPTION en première dès septembre 2019 et diminue largement les heures de philosophie en terminale conforte l’idée d’une destruction voulue du niveau de formation des jeunes français. Les programmes TV vont dans ce sens de transformer nos cerveaux pensants en robots obéissants, sages esclaves d’un capitalisme financier toujours plus gourmand. Et la fiction devient réalité[2]

 Ensuite la manipulation qui consiste à confondre prévisions sur simulations et résultats avérés sur population réelle est un jeu d’enfants largement utilisé en matière de sondages visant à formater une opinion dominante que chacun suivra pour ne pas être exclu du groupe (peur plus forte que la mort semble -t-il)[3].

 

 PERTE DE LA RIGUEUR SCIENTIFIQUE AU BENEFICE DES LOBBIES

La volonté du ministère de la santé (des lobbies ?) d’imposer la vaccination obligatoire par Gardasil dès les européennes passées conduit à une multiplication d’articles publicitaires tant dans les médias grand public que dans les journaux et revues destinés au public médical et soignant. Le but est de conditionner l’ensemble des acteurs, peuple et monde médical, du bien-fondé de l’obligation qui rapportera annuellement plusieurs centaines de millions à big pharma qui sera sans nul doute reconnaissant à ses affidés.

 Il est regrettable que quelques confrères peut-être mal informés participent à cette mystification. Nous leur faisons une réponse globale supplémentaire, d’autant que la plupart de ces journaux nous sont inaccessibles pour un droit de réponse, car réservés à l’entregent.

Les progrès de la science reposent de fait sur le doute fertile qui anime celui qui, remarquant une incohérence entre les faits avérés et l’opinion couramment admise, remet cette dernière en doute pour élaborer une nouvelle hypothèse plus compatible avec les faits.

La foi, elle, ne se discute pas ; elle exige la soumission au dogme et interdit tout doute qu’elle déclare hérétique. Sans le doute fertile, nous croirions toujours que la terre date de 5600 ans, qu’elle est plate et que le soleil tourne autour d’elle.

 

FUIR LA PENSEE UNIQUE DEVELOPPEE DEPUIS 40 ANS AU RISQUE DE DEPLAIRE

La science ne peut pas prospérer dans un système de pensée unique où toute observation de faits qui ne la confortent pas est niée et déclarée « fake news » comme au temps de l’Inquisition.

Elle ne peut prospérer lorsque des simulations sont présentées comme un futur certain et utilisées comme argument. Les simulations sont basées sur des hypothèses qui, si elles sont fausses, annihileront le travail des chercheurs qui ont réalisé honnêtement la simulation.
 C’est ce qui se passe avec les simulations sur la fréquence prévue du cancer du col de l’utérus an Australie ( et les déclarations médiatiques triomphantes sur la disparition de ce cancer) et la réalité du terrain disponible par tous en analysant les registres du cancer des états dont l’Australie) qui montrent une augmentation du nombre de cancer du col chez les populations vaccinées.

Nous avons détaillé cette discordance dans plusieurs tribunes.

Comment expliquer une telle discordance entre les simulations et la réalité ?

Les résultats d’une simulation dépendent directement des hypothèses retenues. Les principales hypothèses des simulations marchandes peuvent se résumer ainsi : le cancer invasif ne peut pas se produire en l’absence d’infection par un type de HPV oncogène. Le vaccin est efficace à vie et fait disparaître l’infection. Le vaccin va donc éradiquer le cancer. Mais toutes ces hypothèses sont discutables et les résultats de ces simulations ne font en fait que reproduire en chiffres la foi de leurs auteurs. La médecine n’est pas une science exacte, et la médecine via l’informatique oublie les spécificités complexes de la vie, singulièrement chez l’être humain.[4]

 

LA SCIENCE SE NOURRIT DE L’ANALYSE CRITIQUE DES FAITS AVERES. N’EN DEROGEONS JAMAIS.

Dans une revue[5] se réclamant à «  exigence universitaire et journalistique » et soutenue par des fonds publics, Michel Cogné se fait l’apôtre de la vaccination anti HPV avec pour seule démonstration les résultats de fictions et de simulations[6] et en utilisant l’argument d’autorité avec l’OMS et les positions de services de santé français ou étrangers souvent trop sensibles à leur financement[7], aux pressions politiques et au lobbying de l’industrie.

Il n’hésite pas non plus à affirmer, sans aucune preuve scientifique, que « le vaccin anti-papillomavirus évite d’autres cancers » et dans une revue[8] destinée à l’enseignement post universitaire des médecins, J. Gaudelus [9] réenchérit. Pourtant la Haute autorité de santé elle-même dans son autorisation de commercialisation du Gardasil 9[10] écrit :

« Des incertitudes concernant l’efficacité qui sera obtenue en termes de prévention des cancers dans les populations recommandées en France  ».

Car en effet, le Gardasil est efficace sur les infections liées au HPV (sans danger de fait) mais n’a jamais démontré son efficacité sur le cancer du col dans aucun essai au monde jusqu’à présent.

 

LA PLUS HAUTE AUTORITE DE SANTE FRANCAISE EMET DES DOUTES SUR L'EFFICACITE DU GARDASIL SUR LE CANCER DU COL

ET CERTAINS UNIVERSITAIRES N'EN TIENNENT PAS COMPTE. POURQUOI ?

Dans son plaidoyer, M Cogné parait ignorer les faits avérés, publiés dans les registres officiels qui montrent que, dans tous les pays qu’il cite en exemple, l’incidence du cancer du col a augmenté depuis la vaccination ! Cette augmentation a pourtant été reconnue en Grande-Bretagne et en Suède par de très fervents partisans de la vaccination[11] (et souvent très proches des fabricants et marchands de vaccins). Aussi nous les rappelons ici une nouvelle fois.

 En Suède[12] le risque de cancer du col des jeunes filles de 20 à 24 ans vaccinées pour plus de 80% d’entre elles quand elles avaient 12 à 18 ans a doublé depuis la vaccination (passant de 1.86/100000 en 2007 à 3.72/100000 en 2015). Cette augmentation est statistiquement significative à p=0.001 et ne peut pas être due au hasard. Voir sur notre site les courbes extraites directement du registre scandinave des cancers sur le diaporama consacré à la Suède (idem pour les suivants.[13]

En Grande Bretagne[14] le risque de cancer du col des jeunes filles de 20 à 24 ans (dont plus de 85% ont été vaccinées quand elles avaient 12 à 18 ans) a augmenté de 70% depuis, passant de 2.7/100000 en 2007 à 4.6/100000 en 2014. Cette augmentation est statistiquement significative.[15]

En Australie [16] citée comme exemple de succès, le risque de cancer du col a augmenté dans les groupes d’âge qui ont été vaccinés. Augmentation de 113% (de 0.7/100000 à 1.5/100000) pour femmes de 20 à 24 vaccinées à plus de 80% entre 13 and 17 ans[17]. Augmentation de 35% chez les femmes de 25 à 29 ans (de 5.9/100000 à 8/100000 p=0.05[18]) et de 33% pour celles de 30-34 (de 9.9 à 12.4 p<0.01) qui ont été soumises aux vaccinations de rattrapage avec des taux de couverture vaccinale inférieurs. Ces dernières augmentations d’incidence sont statistiquement significatives et ne peuvent pas être dues au hasard.[19]

En France pays peu vacciné, (peut-être grâce à l’alerte précoce donnée par Marie-Océane et son père à la suite de son handicap post vaccination)[20] le risque de cancer du col a continué de baisser durant cette période[21] et les dernières incidences Standardisées Monde connues sont de 6/100000 dans notre pays contre 11.49/100000 en Suède, 8,6/100000 en Grande- Bretagne et 7.4/100000 en Australie. Pourquoi le gouvernement veut-il nous aligner sur les pays très vaccinés qui voient leur incidence augmenter dans les groupes vaccinés ? Un moratoire mondial s’impose ![22]

 

 LE VRAI SCANDALE SANITAIRE EN PUISSANCE

Le scandale sanitaire n’est pas l’insuffisance de couverture vaccinale anti HPV qui protègerait nos enfants de cette augmentation de cancer, mais

1°) d’avoir accepté la mise sur le marché, avec l’indication « prévention du cancer », d’un vaccin qui n’a jamais démontré, dans aucune étude, qu’il en était capable !

2°) de conserver cette indication et ces recommandations alors que les résultats avérés actuels montrent que la vaccination est suivie d’une augmentation d’incidence de ces cancers (sans parler des nombreux effets secondaires délétères).

Comment expliquer que des universitaires puissent ainsi participer à une telle campagne de promotion marchande sans aucune preuve que les vaccins puissent éviter un seul cancer et que les résultats avérés, indiscutables des registres officiels des cancers montrent le contraire ? Foi, crédulité, ignorance, soumission ou corruption ?

Il est grand temps que nos chercheurs universitaires cessent de faire des promotions marchandes et retrouvent le goût de l’analyse des faits avérés, qu’ils recommencent à faire germer le doute fertile pour faire progresser la science.

 

DES RECHERCHES PASSIONNANTES SUR L’EFFET PARADOXAL DU GARDASIL

Et que ceux qui s’intéressent au cancer du col de l’utérus expliquent le paradoxe du contraste entre l’efficacité des vaccins contre les infections aux souches ciblées (80 à 90% de chute de leur prévalence) et l’augmentation de l’incidence du cancer (de 30% à plus de 100%) !

Ceux qui souhaiteraient des analyses plus approfondies les trouveront dans deux livres récents centrés sur ce sujet : sur le plan médical « hystérie vaccinale, Gardasil et cancer, un paradoxe »[23] et sur le plan juridique le livre américain de Mary Holland et coll[24].

Niels Bohr, qui a révolutionné la physique quantique, s’enthousiasmait lorsqu’il était confronté à un paradoxe[25]. Souhaitons qu’il ait encore quelques émules.

 

[1] Selon le Larousse, le fantastique "se dit d'une œuvre littéraire, artistique ou cinématographique qui transgresse le réel en se référant au rêve, au surnaturel, à la magie, à l'épouvante ou à la science-fiction".

https://education.toutcomment.com/article/qu-est-ce-que-le-fantastique-en-litterature-12342.html

[2] Confusion entre réalité virtuelle et réelle

« Ces modèles ne sont pas pour autant vécus comme une fiction, comme le montre le comportement des équipes. Même en cas d’erreur grave, les formateurs, qui décident en temps réel du scénario de la simulation, ne font pas mourir les patients-mannequins. Les études ont en effet montré qu’une mort même fictive affecte réellement les élèves soignants. Là se trouve peut-être la meilleure preuve de la réussite de la simulation : le leurre agit jusqu’à l’intime des psychismes. »

https://www.revmed.ch/RMS/2013/RMS-N-410/Simulations-en-medecine

 Ces constatations assez tragiques expliquent probablement l’impact des émissions télévisées sur le citoyen lambda. Triste que le personnage de telle série soit assassiné…

[3] « Tony Robbins qualifie la nécessité d’être accepté par son groupe d’appartenance comme un besoin vital.

Certains lui donnent une origine anthropologique. Du temps de nos lointains ancêtres, la vie était organisée de manière tribale. La survie d’un individu reposait sur son appartenance au groupe (nourriture, territoire, famille, guerre, …). Se retrouver exclu de sa tribu signifiait une condamnation à mort. Cette peur d’être exclu de la tribu a survécu à travers le temps. Elle reste profondément ancrée dans notre inconscient. C’est cette même peur qui régit nos comportements de tous les jours. Elle explique notre réticence à nous exposer au risque de rejet de l’autre.

http://www.etre-meilleur.com/developpement-personnel/en-finir-avec-la-peur-d-etre-rejete.html&nbsp ;

Ajoutons que cette peur est particulièrement intense chez les adolescents avec le risque d’embrigadement dans des groupes toxiques de différentes natures, pour ne pas être « exclus ». A nous adultes de le mettre en garde.

[4] docteur.nicoledelepine.fr/information-grand-public-exigeons-des-medias-quils-precisent-leurs-sources-simulations-versus-resultats-reels/

[5] Michel Cogné L’insuffisante vaccination contre le papillomavirus, un futur scandale sanitaire La Conversation 4 mars 2019.

[6] De plus biaisées (car basées sur des hypothèses fausses)

[7] Financement de l’OMS : les contributions non fléchées des états membres ne couvrent qu’un peu plus de 20% du budget. Les 80% du reste sont assurées par des contributions volontaires publiques et privées assorties de conditions fléchant leur utilisation et qui déterminent ainsi en grande partie la politique générale de l’Organisation. En 2016, ceux qui ont donné le plus à l'OMS sur une base volontaire sont les Etats-Unis (plus de 310 millions de francs), la fondation Bill & Melinda Gates (280 millions), puis la Grande-Bretagne (près de 140 millions de francs). En quatrième position se trouve GAVI Alliance (près de 55 millions de francs), dont le principal financeur est la Fondation Bill & Melinda Gates et le Rotary International. Association également financée en partie par la Fondation Bill & Melinda Gates. L’importance des contributions Bill Gates explique en grande partie l’orientation vaccinolâtre de l’OMS et ses campagnes démesurées de vaccination contre la poliomyélite alors que l’hygiène (distribution d’eau potable et traitement des eaux usées permettraient à coup sûr d’éradiquer cette maladie qui se transmet uniquement par contact féco-oral.

[8] Gaudelus Vaccination contre le papillomavirus : bilan et nouvelles extensions la revue du Praticien Vol. 69 _ Janvier 2019 9

[9] Très lié à Astra Zeneca, GSK, Novartis, Pfizer et Sanofi-Pasteur

[10] « Compte-tenu : de l’efficacité de GARDASIL dans la prévention des lésions précancéreuses de haut grade dues aux HPV 6, 11, 16 et 18, du faible surcroit d’efficacité de GARDASIL 9 par rapport à GARDASIL, limité aux HPV additionnels 31, 33, 45, 52 et 58 (réduction absolue de l’incidence de 0,2 pour 100 personnes-années à 43 mois de suivi), des incertitudes concernant l’efficacité qui sera obtenue en termes de prévention des cancers dans les populations recommandées en France, la Commission considère que GARDASIL 9 n’apporte pas d’amélioration du service médical rendu (ASMR V) par rapport à GARDASIL dans la prévention des lésions ano-génitales précancéreuses et cancéreuses liées à certains HPV (cf. paragraphe 06), dans les populations recommandées par le HCSP. » Avis CT HAS Septembre 2017.

[11] Castanon A. Sasieni P. Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in England a cause for concern ? Preventive Medicine 107 (2018) 21–28

[15] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-invasif-du-col-de-luterus-en-grande-bretagne-depuis-la-vaccination-par-gardasil/

[16] Australian Institute of Health and Welfare (AIHW) 2017 Australian Cancer Incidence and Mortality (ACIM) books : cervical cancer Canberra : https://www.aihw.gov.au/reports/cancer/acim-books/contents/acim-books

[17] Mais, comme les chiffres bruts sont petits, cette augmentation n’est pas statistiquement significative dans cette tranche d’âge).

[18] P est la probabilité de croire à la réalité d’une différence due au hasard

[21] Jéhannin-Ligier K, Dantony E, Bossard N, Molinié F, Defossez G, Daubisse-Marliac L, Delafosse P,

Remontet L, Uhry Z. Projection de l’incidence et de la mortalité par

[22] docteur.nicoledelepine.fr/gardasil-8-deputes-veulent-imposer-une-vaccination-qui-augmente-le-risque-de-cancer-au-lieu-de-le-diminuer/

[23] Fauves éditions 2018 G et N Delépine

[24] The HPV Vaccine on Trial : Seeking Justice for a Generation Betrayed

by Mary Holland, Kim Mack Rosenberg and Eileen Lorio

Published October 18, 2018 | Vaccination, Risk & Failure Report

“Rédigé en langage clair, le livre est pour tous les intéressés – parents, patients, médecins, infirmières, scientifiques, organismes de soins de santé, fonctionnaires gouvernementaux et écoles. En fin de compte, ce livre n'est pas seulement sur le vaccin contre le HPV, mais sur la façon dont l'industrie, le gouvernement, et les autorités médicales peuvent mettre les enfants du monde en danger »

https://www.hpvvaccineontrial.com.

[25] «  How wonderful that we have met with a paradox. Now we have some hope of making progress ». Read more at : https://www.brainyquote.com/quotes/niels_bohr_124673

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112 réactions à cet article    


  • njama njama 7 mars 2019 09:09

    En fait de Gardasil 9 cette version 2.0 serait un Gardasil 6

    Le Gardasil 9 est inadapté au marché français

    « Le vaccin 9 valent sera modérément utile en France car il ne contient pas les 3ème, 6ème et 7ème génotypes qui sont les plus fréquents chez nous qui sont les HPV 51, 56 et 53  » avait déclaré Isabelle Heard (chercheuse en rétrovirologie moléculaire) de l’Institut Pasteur au site médical Medscape, en 2014.

    source :Cancer du col de l’utérus : le nouveau vaccin Gardasil-9® ne protègera pas davantage

    https://www.e-sante.fr/cancer-du-col-de-luterus-le-nouveau-vaccin-gardasil-9r-ne-protegera-pas-davantage/breve/615456

    https://research.pasteur.fr/fr/member/isabelle-heard/

    Vouloir généraliser urbi et orbi un vaccin de peu d’efficacité et aussi peu universel à l’échelle de la planète comme le souhaiterait le messianisme de l’OMS*, cela peut-il avoir du sens ?

    * OMS : Guide d’introduction du vaccin anti-PVH dans les programmes nationaux de vaccination Date de publication février 2017

    https://www.who.int/immunization/documents/ISBN_9789241549769/fr/


    • njama njama 8 mars 2019 09:39

      A tout un chacun(e) et médecins qui voudraient se faire sa propre idée au delà de ce que nous racontent les autorités sanitaires et médias mainstream, je recommande la lecture des deux articles ci-dessous, le premier de Marc Girard, mathématicien, médecin, expert en pharmacovigilance, véritable réquisitoire à charge contre la complaisance qui a entouré la validation du vaccin Gardasil

      GARDASIL : ÉLÉMENTS POUR UN VRAI DÉBAT dimanche 10 février 2019
      (extraits, mise en bouche)

      Efficacité
      En principe – et pour autant que les médecins promoteurs de cette vaccination sachent de quoi ils parlent –, l’examen de cette phase ne devrait pas prendre beaucoup de temps : pour fondamentale qu’elle soit dans la vie d’un médicament (la plus fondamentale, en vérité), elle a été purement et simplement contournée grâce à la procédure du fast-track accordée, en 2002, par l’administration américaine (FDA) au fabricant (MSD). [...]
      Dit autrement, cela signifie que les contraintes authentiquement expérimentales qui ont fini par s’imposer pour l’évaluation des nouveaux médicaments (en l’espèce : le choix de critères réalistes lors des essais, fussent-ils en double aveugle) ont été épargnées au fabricant [10]. En conséquence de quoi, et jusqu’à preuve du contraire (qui échoit aux promoteurs de cette vaccination) :

      - on ne sait pas quelle proportion de filles vaccinées sont durablement protégées contre les virus censément visés par Gardasil (HPV 16 et HPV18) ;
      - on sait encore moins quelle proportion de filles vaccinées sont protégées contre les lésions précancéreuses attribuées, à tort ou à raison, aux virus HPV (attendu qu’il est parfaitement possible que même SI elles étaient durablement protégées contre les HPV 16 et 18, les vaccinées soient contaminées par d’autres souches aussi cancérigènes, par une sorte de déplacement écologique dont on connaît bien d’autres exemples en infectiologie) [11] ;
      - on ignore totalement la proportion de filles vaccinées qui échapperont effectivement à un vrai cancer : si les autorités ont tenu à épargner au fabricant les affres de l’attente concernant la prévention des simples lésions précancéreuses, on imagine mal qu’elles aient la cruauté de leur imposer sur un bien plus long terme l’évaluation des cancers dûment constitués [12].

      lire l’article : http://www.rolandsimion.org/spip.php?article311


    • Gérard 8 mars 2019 10:09

      @njama

      Qui est Marc Girard (alias rolandsimon) dont njama nous offre une mise-en-bouche ?

      Extrait :
      « Le Dr Marc Girard, mathématicien de formation initiale (DEA de mathématiques, 1976, Orsay), a obtenu son diplôme de médecine en 1983 (Faculté Necker-E.M). Il exerce en tant que psychothérapeute d’inspiration freudienne et est également critique littéraire et auteur.

      Il se dit expert en pharmaco-vigilance, faisant référence à l’AEXEA (Association des EXperts Européens Agréés) créée en 1990 au Grand Duché du Luxembourg, cependant il ne figure pas (ou plus) sur leur liste d’experts.

      [...] »

      Attention, si vous faites des recherches sur « Marc Girard » qu’il existe un homonyme qui fait de la varie science, lui.

      elle a été purement et simplement contournée grâce à la procédure du fast-track accordée, en 2002, par l’administration américaine (FDA) au fabricant (MSD)

      Il ne faut pas lire bien loin votre texte pour identifier de la désinformation. Le fait d’utiliser la procédure fast-track ne signifie pas que la procédure a été contournée ou bâclée. Elle a simplement été accélérée, dans le respect des procédures.
      Cette « théorie » est notamment soutenue par les antivax notoires que sont Christopher Shaw et Lucija Tomljnovic.


    • njama njama 8 mars 2019 10:54

      second article fort documenté, “Rien ne justifie de recommander le vaccin Gardasil contre les papillomavirus » par Vanessa Boy-Landry

      publié dans Paris-Match le 11 janv. 2019, puis retiré du Web quelques jours de publication, mais retrouvé dans la machine à remonter, le cache Google, et de nouveau re-retiré du Webcache Error 404 (Not Found) !!! Madame Anastasie serait-elle passée par là ? cachez cet article que je ne saurais voir !

      « démocratie sanitaire » qu’ils disent... qu’à cela ne tienne, rien ne disparaît jamais vraiment, l’article a été enregistré en PDF ICI, voir en bas de Page « Documents joints ».

      (Extraits déjà cités ici 15 janv. 11:38) :

      [...] Dès que Cochrane a démarré sa revue sur ces vaccins, il y a six ans, Catherine Riva, et d’autres chercheurs, ont identifié des failles éthiques et méthodologiques graves : conflits d’intérêts des auteurs de la revue Cochrane avec les fabricants des vaccins anti-HPV, insuffisances méthodologiques dans le protocole prévu, communication de résultats favorables dans les congrès, bien avant que l’analyse soit terminée et publiée... Mais surtout, Catherine Riva et ses collègues ont alerté les auteurs de la revue Cochrane sur les fameuses données d’efficacité non publiées par le laboratoire. Une « limitation essentielle » dont ils connaissaient l’existence depuis 2014 mais dont ils n’ont pas tenu compte.

      [...] Avec ses collègues (Dr Jean-Pierre Spinosa, gynécologue, et Serena Tinari, journaliste d’investigation), Catherine Riva considère que Cochrane devrait rétracter cette revue et tout reprendre depuis le début. Mais l’organisation est restée sourde aux doléances qu’ils lui ont adressées suite à la publication de la revue. Son refus d’entrer en matière est la goutte de trop qui les amène aujourd’hui à tout rendre public. Le 10 décembre, leur analyse critique de la revue Cochrane sur les vaccins anti-HPV était dévoilée sur « BMJ-EBM », une publication du prestigieux « British Medical Journal ». L’ensemble des données et des tableaux à l’appui de leurs conclusions ainsi que leurs six ans de correspondance avec Cochrane sont désormais en accès libre sur la plateforme open source Zenodo.org.

      BMJ – EBM analysis The Cochrane HPV vaccine review was incomplete and ignored important evidence of bias Free Lars Jørgensen1, Peter C Gøtzsche1, Tom Jefferson2 – https://ebm.bmj.com/content/23/5/165


    • njama njama 8 mars 2019 10:59

      @Gérard

      Attachez vous plus au contenu de l’article de Dr M. Girard que vous pourrez à loisirs critiquer si certaines de ces remarques seraient sans fondement plutôt que de faire comme à votre habitudes des intempestives attaques ad hominen pour faire diversion du sujet.


    • Gérard 8 mars 2019 11:01

      @njama

      La critique de Peter C Gøtzsche, Tom Jefferson sur la méta-analyse Cochrane a été largement exagérée.
      Cette critique a elle-même été critiquée de toutes parts par une majorité de la communauté scientifique.


    • Gérard 8 mars 2019 11:07

      @njama

      1/ Ce ne sont pas des attaques ad hominem.
      Révéler qu’un charlatan ment sur son CV n’est pas une attaque ad hominem

      2/ J’ai critiqué le passage où il évoque le fast track

      Conclusion : vous racontez des idioties.


    • njama njama 8 mars 2019 11:28

      @Gérard
      Je laisse aux lecteurs le soin de se faire leur propre idée sur le sujet ...
      Elle ne sera pas forcément la même que celle de celui qui tient la seringue smiley


    • njama njama 8 mars 2019 12:46

      Autant que les françaises soient informées que le vaccin Gardasil qu’on veut leur vendre ne les protègerait que partiellement !

      MSD et Madame Buzyn nous font la promo d’un Gardasil 9 made in US qui ne prend pas en compte en compte la variabilité de la prévalence des types d’HPV dans les différentes zones géographiques, ce qui permet de confirmer que le Gardasil 9 est peu adapté au « marché français » 

      et que cette version 2.0 serait en France au mieux un Gardasil 6 

      Pour ceux qui douteraient de ce manque d’universalité de ce vaccin on peut lire dans la notice Gardasil sur mesvaccins.net site d’information pro-vaccin :

      "L’utilisation de Gardasil chez des femmes adultes devra prendre en compte la variabilité de la prévalence des types d’HPV dans les différentes zones géographiques." https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/7-gardasil

       Or l’OMS aimerait vacciner la planète, qui plus espérer éradiquer dans quelques décennies le cancer du col, avec un vaccin qui ne prend pas en compte la prévalence des HPV sous les différentes latitudes. L’échec est couru d’avance...

      L’argument serait en soi suffisant pour que MSD revoie sa copie, et exiger un moratoire sine die sur cette vaccination. 


    • Gérard 8 mars 2019 14:05

      @njama

      La ceinture de sécurité ne permet pas à 100% de s’en sortir indemne lors d’un accident.

      Est-ce pour autant qu’il faut arrêter de mettre sa ceinture ? Bien sûr que non.

      Le vaccin anti-HPV n’est pas efficace contre tous les types de HPV. Ce n’est pas une raison valable pour rejeter cette vaccination. (#sophisme de la solution parfaite)


    • njama njama 8 mars 2019 14:29

      @Gérard

      Les françaises ont droit à une information complète sur le Gardasil, c’est juste leur dire que la réalité française ne correspondra pas à l’américaine et à ce qui est écrit sur l’emballage dixit Isabelle Heard citée plus haut :

      « Le vaccin 9 valent sera modérément utile en France car il ne contient pas les 3ème, 6ème et 7ème génotypes qui sont les plus fréquents chez nous qui sont les HPV 51, 56 et 53 »



    • njama njama 8 mars 2019 15:35

      “Rien ne justifie de recommander le vaccin Gardasil contre les papillomavirus » par Vanessa Boy-Landry

      lien vers l’archive :

      Heureusement la machine à remonter le temps n’oublie rien 


    • Gérard 12 mars 2019 10:39

      @njama

      Puisque vous semblez avoir beaucoup d’estime pour les propos du Dr Heard, je suppose que vous serez d’accord avec elle quand elle dit :

      « Au niveau du col de l’utérus, la cible
      des HPV est la zone de transformation
      squamo-cylindrique située à la jonction
      entre l’exocol et l’endocol. La plupart des
      infections cervicales ne sont pas associées
      à des anomalies cytologiques et représentent
      donc des infections latentes, inapparentes,
      asymptomatiques et transitoires
      [5]. L’infection persistante peut entraîner la
      formation de néoplasies intraépithéliales
      cervicales (CIN), qui sont mises en évidence
      par le frottis de dépistage et confirmées par
      des biopsies réalisées sous colposcopie »

      « Le frottis conventionnel
      est un test très spécifique, mais
      peu sensible [11]. Ainsi, dans une étude
      publiée au Royaume-Uni en 1996, près de la
      moitié des femmes ayant un cancer invasif
      du col âgées de moins de 70 ans avaient
      eu des frottis réguliers normaux avant [12]. »

      « L’efficacité du Gardasil® a été étudiée
      dans quatre études randomisées versus
      placebo, contrôlées, en double aveugle,
      incluant un total de 20 541 femmes âgées
      de 16 à 26 ans. Les lésions cervicales de
      haut grade étaient considérées comme
      un marqueur du cancer du col. L’analyse
      principale a été effectuée dans différentes
      populations, dont la « Per Protocol Efficacy »
      chez des femmes n’ayant jamais été en
      contact avec les quatre HPV à l’inclusion
      (femmes naïves), ayant reçu les trois doses
      et toujours naïves à la fin de la vaccination.
      Chez les femmes naïves contre les HPV
      16 et 18, l’efficacité à trois ans contre
      les CIN2-3 et les AIS liés aux HPV 16/18
      était de 99 % (intervalle de confiance, IC,
      à 95 % : 93-100) [17]. L’efficacité du Gardasil
      ® contre les condylomes a également
      été étudiée dans une étude portant sur
      5 455 femmes ; elle était de 100 % (IC
      95 % : 92-100) [18]. »

      Etc etc


    • njama njama 13 mars 2019 11:41

      @Gérard
      Les françaises ne remercieront jamais assez Isabelle Heard de l’Institut Pasteur de nous avoir signalé que le Gardasil 9 n’est qu’un Gardasil 6 pour les « gauloises », ô combien preuve du manque d’universalité de ce vaccin !

      Informons-les également grâce au Vigilant de l’Aimsib que concernant les effets indésirables les notices américaines & canadiennes, diffèrent des notices françaises et européennes le produit venant pourtant du même fabricant !
      Ainsi les risques suivants n’y apparaissent pas :
      anémie hémolytique auto-immune
      — maladie du motoneurone, paralysie
      — myélite transverse
      — embolie pulmonaire
      — pancréatite
      — décès
      ajoutons un signal de possible leucémie
      Conclusion : la liste des effets indésirables fournie dans le RCP Européen semble bien peu fiable quant à la variété des effets « réels » du produit puisque de nombreux effets indésirables n’y figurent pas. Ceux voulant vraiment s’informer sur les effets indésirables d’un produit iront plutôt lire les notices américaines.

      https://aimsib.org/2019/02/20/gardasil-9-les-francaises-plus-resistantes-que-les-americaines/


    • Gérard 13 mars 2019 11:47

      @njama

      Beh voyons, je pense surtout que vous cherry-pickez les propos du Dr Heard.

      Vous en êtes encore à chercher des « preuves » du « danger » du Gardasil dans les notices ? Vous et vos copains de Aimsib êtes d’indécrottables désinformateurs ...


    • njama njama 13 mars 2019 11:56

      @Gérard
      vous voulez dire que ce sont les notices américaines et canadiennes qui désinforment ?
      l’interprétation raisonnable de ces différences notoires irait plutôt dans le sens qu’en Europe les risques seraient minimisés.


    • Gérard 13 mars 2019 12:00

      @njama

      Ce que je veux dire c’est que l’on ne peut tirer aucune conclusion crédible en comparant des notices de Gardasil européenne, américaine, japonaise, indienne, etc etc.

      C’est vous les désinformateurs ! Vous faites dire aux notices des choses qu’elles ne disent pas.


    • njama njama 13 mars 2019 12:03

      @Gérard
      Concernant votre référence à Isabelle Heard dans un Dossier thématique Cancers induits par les papillomavirus humains colligé avec M. Favre et S. Wain-Hobson on peut lire :
      « L’infection persistante peut être à l’origine de lésions intra épithéliales de bas grade ; celles-ci vont évoluer dans environ 40 % des cas vers des lésions de haut grade, dites “lésions précancéreuses”, elles-mêmes susceptibles d’évoluer vers le cancer invasif dans environ 20 % des cas. Cette évolution est extrêmement lente, l’intervalle entre l’infection et le développement d’un cancer du col de l’utérus étant généralement de plus de 20 ans. Les marqueurs biologiques de la régression, de la persistance ou de la progression tumorale n’ont pas été identifiés. Différents facteurs liés au virus, à l’hôte ou au mode de vie influencent l’acquisition et l’évolution de l’infection par les HPV. Il est reconnu que les HPV-16 et -18 sont les agents de 50 % des lésions cervicales précancéreuses et de 70 % des cancers du col. Des données récentes suggèrent que l’infection persiste parfois sous forme latente pendant plusieurs décennies, quelques molécules d’ADN viral restant dans les cellules souches de la couche basale de l’épithélium malpighien, siège initial de l’infection. Plusieurs études ont montré une augmentation de la prévalence des HPV détectés dans le col après l’âge de 50 ans.Les conséquences cliniques de cette “réactivation” n’ont pas été évaluées (2). »
      https://www.edimark.fr/Front/frontpost/getfiles/19694.pdf

      ce que j’ai surligné en gras ne constitue pas des preuves, rien d’identifié biologiquement, la présence de quelques molécules d’ADN viral subsistant dans l’épithélium malpighien « suggèrent » ...
      quand bien même l’hypothèse serait plausible, elle n’aurait aucune valeur générale puisque la présence d’infections HPV ne se retrouve que (à la louche cf Eva Ramón Gallegos 57,2 % in women who had lesions but don’t have HPV) dans une moitié seulement de cancers cervicaux... de là à prétendre que les HPV sont cause de ce type de cancers ...  ???!!!


    • foufouille foufouille 13 mars 2019 12:08

      @njama

      c’est juste que ce sont les effets déclarés par les personnes sur le net sans vérification. il en existe un en france également.


    • njama njama 13 mars 2019 12:11

      @foufouille
      Ce sont les notices du fabricant


    • foufouille foufouille 13 mars 2019 12:14

      @njama

      qui sont différentes pour chaque pays comme pour beaucoup de médicaments. les dosages sont aussi différents parfois.


    • njama njama 13 mars 2019 12:33

      @ Gérard
      Il y a des cas rares de cancers cervicaux chez des femmes vierges, rares, en raison qu’elles sont une espèce plus rare  smiley comme quoi ni les HPV, ni la sexualité ne sont condition nécessaire à l’émergence lésions cancéreuses...

      Cervix adenocarcinoma in a virgin patient with negative human papillomavirus.
      González-Ballano I, Aragón-Sanz MA, Guardia-Dodorico L, Pérez-Ezquerra BR.
      Abstract
      Cervical cancer in virgin women is extremely rare. We present the case of a 36-year-old patient without any type of sexual contact with sensation of lump in external genitalia referring only irregular bleeding in the previous two months, finding in vaginal examination an indurated mass in vaginal introitus with result in the biopsy of adenosquamous adenocarcinoma. The evolution of the tumor was very aggressive in spite of trying palliative chemotherapy, and patient died two months after of diagnosis with lung, liver and brain metastases. Cervical human papillomavirus testing was negative. What unusual of these cases does not justify the cytology as the only method of screening for cervical cancer.

      https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26727757

      Cervical uterine cancer in a virgin young woman – Case report
      I. Pestana, A. Costa, R. Gorgal, R. Mota, R. Portugal & V.Paiva

      https://www.tandfonline.com/doi/full/10.3109/01443615.2014.992870
      Cancer of the cervix in a virgin with intact hymen
      A.F. Lash, Ph.D., M.D.a,b
      https://www.ajog.org/article/S0002-9378(40)90481-1/abstract


    • Gérard 13 mars 2019 13:13

      @njama

      "Je n’ai jamais eu de rapports sexuels

      Si vous n’avez jamais eu de relations sexuelles, votre risque d’avoir été infectée par le HPV est très faible. Toutefois, les papillomavirus humains se transmettent par simple contact au niveau des parties génitales et anales, sans qu’il y ait forcément pénétration. Il peut donc être utile, dans certains cas, de réaliser un test de dépistage. N’hésitez pas à en parler avec votre médecin ou avec une sage-femme."

      https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Se-faire-depister/Depistage-du-cancer-du-col-de-l-uterus/Etes-vous-concernee


    • Gérard 13 mars 2019 13:16

      @njama

      « ce que j’ai surligné en gras ne constitue pas des preuves »

      Très bien, merci pour cet aveu.

      Pour le reste de votre discours, c’est de l’hypothèse hypothétique à partir d’hypothèses hypothétiques.

      Pas très intéressant quoi.


    • njama njama 15 mars 2019 09:17

      @Gérard
      pareil pour le HPV soi-disant responsable du cancer du col de l’utérus, dès le début la théorie était dans l’hypothèse hypothétique à partir d’hypothèses hypothétiques ...
      Quand ce chercheur nobélisé en 2008 Harald zur Hausen débute ses recherches dans les années il pose les conclusions avant la démonstration !

      « En 1976, suivant les travaux de Nubia Muñoz il émet l’hypothèse que les papillomavirus humains (HPV) jouent un rôle important dans ce type de cancer. En 1984, il débute des recherches sur un vaccin anti-HPV. Son approche scientifique a mené au développement d’un vaccin contre le VPH qui fut mis sur le marché en 2006. » (wikipedia)

      Ceci dit rien de surprenant il est dans le droit fil du MICROBISME de l’école pasteurienne, le coupable c’est forcément un micro organisme, « le virus » HPV, et d’ailleurs dans la saga VIH/Sida de la même épopée , le raisonnement n’est guère différent, on a identifié le coupable, même pas virus, mais rétrovirus, et on se lance dans une recherche effrénée d’un vaccin... et on cherche encore après le virus fantôme


    • Gérard 15 mars 2019 09:51

      @njama

      Oui sauf qu’il y a quand même 8 années qui séparent 1976 de 1984 ... Un temps suffisant pour accréditer son hypothèse.


    • njama njama 15 mars 2019 10:57

      @Gérard
      plus de trente ans n’accrédite toujours pas l’hypothèse VIH/ Sida smiley
      Montagnier, Gallo, avaient-ils planté le réverbère au mauvais endroit  ?
      il serait peut-être temps d’explorer d’autres hypothèses, ou de changer de paradigme...


    • Gérard 15 mars 2019 11:23

      @njama

      plus de trente ans n’accrédite toujours pas l’hypothèse VIH/ Sida 

      Avec les yeux en face des trous, vous verriez les preuves. Essayez ce serait radical pour sortir de l’ornière anti-scientifique dans laquelle vous êtes lamentablement empêtré.

      Votre propension à comparer VIH et VPH pour essayer de prouver des absurdités par rapport à l’un et l’autre est juste ridicule.


    • lala rhetorique lala rhetorique 7 mars 2019 09:10

      L’intoxe est grande, et les médias n’hésitent pas à dire que les gens qui refusent les vaccins sont des assassins, ils ne parlent qu’épidémie par exemple pour la rougeole, ils nous ont atomisés avec la grippe aviaire, j’en passe. Par contre, aucun vaccin contre le sida, la trithérapie doit rapporter beaucoup plus à mon avis...


      • njama njama 7 mars 2019 11:45

        @lala rhetorique
        un vaccin contre le sida
        faudrait le client, les « à risques » il y en a peu et question contagion c’est comme l’hépatite B c’est epsilonesque
        C’est pour ça que la rougeole est mise en tête de gondole dans la promo internationale des vaccins, une tronche de rougeoleux ça fait peur, ça craint, bien que tout le monde sait cette maladie infantile bénigne, c’est vendeur, contrairement à une tête de grippé.


      • Gérard 7 mars 2019 13:00

        @njama

        Epsilonesque ?

        VIH/SIDA :

        • Plus de 35 millions de morts à ce jour
        • En 2017, 940 000 personnes sont décédées d’une ou des causes liées au VIH dans le monde.
        • Fin 2017, on comptait dans le monde environ 36,9 millions de personnes vivant avec le VIH, dont 1,8 million d’enfants.

        Hépatite B :

        • On estime que 257 millions de personnes vivent avec une infection par le virus de l’hépatite B
        • En 2015, 887 000 personnes sont décédées des suites d’une infection par l’hépatite B notamment de cirrhose ou de cancer du foie.

        Rougeole (une maladie bénigne ?) :

        • 97 millions de morts au XXème siècle
        • 2,6 millions de morts avant la vaccination
        • 372 morts par jour dans le monde en 2018
        • 187 morts en France de 1980 à 1984.
        • 1 rougeoleux sur 1000 meurt
        • 1 rougeoleux sur 4 doit être hospitalisé
        • 1 rougeoleux sur 10 fait une ou plusieurs complications

        (attention images potentiellement choquantes !)
        Un rougeoleux ressemble à ça
        Un rougeoleux avec complications ressemble à ça
        Un bébé coquelucheux ressemble à ça
        Un homme atteint du tétanos ressemble à ça
        Un rubéoleux ressemble à ça
        Le col de l’utérus d’une femme atteinte de ce cancer ressemble à ça
        La bouche d’un diphtérique ressemble à ça
        Un enfant atteint des oreillons ressemble à ça

      • spearit 7 mars 2019 21:54

        @Gérard
        Voui, voui on vous croit sur parole, la science est omnipotente...
        AMEN...


      • Gérard 8 mars 2019 08:03

        @spearit

        Je ne vous demande pas de me croire sur paroles. Je ne vous demandes rien d’ailleurs.

        La science n’est pas et ne se veut pas omnipotente.


      • njama njama 8 mars 2019 17:25

        @Gérard
        sur vos chiffres VIH/SIDA, entre projections statistiques et réalités avérées sur population réelle, vous le savez, les tests Western Blott, ou Elisa ne sont pas fiables, différentes maladies infectieuses peuvent générer des faux-positifs.

        Luc Montagnier : « C’est vrai, je le sais par expérience, que les tests qui sont chez nous à la fois très sensibles et très spécifiques, le sont moins avec des sérums africains, pour différentes raisons ; celle que vous avez citée, c’est que beaucoup de ces Africains, ont des infections intercurrentes, chroniques, comme le paludisme, et qu’ils ont ce qu’on appelle un taux anormalement élevé d’anticorps, d’hémoglobulines d’ensemble. Et donc ces anticorps peuvent donner des réactions non spécifiques et donner des faux positifs dans les tests, les tests du sida. » (28’)

        « Une étude récente faite au Zaïre par un scientifique américain, le Pr Essex, a montré que les personnes contaminées par la lèpre et non par le VIH, réagissaient positivement au test du sida. » (33’)

        « Malgré un faible taux d’infection VIH, les lépreux et les personnes en contact montrent un taux élevé inattendu de réaction faux-positif de protéines VIH-1 à la fois à WB et ELISA. Nos observations sur la corrélation entre LAM, et le moins répandu ???? PGL-1 avec les antigènes VIH-1 suggèrent que les résultats ELISA and WB pour le VIH-1 doivent être interprétés avec prudence quand ils concernent des individus infectés par tuberculosis M. ou d’autres espèces mycobactériennes. ELISA et WB pourraient ne pas suffire pour le diagnostic VIH dans les zones endémiques du sida de l’Afrique centrale où la prévalence de maladies mycobactériennes est assez élevée. » (33’-34’)
        etc...
        source : http://lucadeparis.free.fr/index/tahi_sida.htm


      • njama njama 8 mars 2019 17:58

        @Gérard
        VIH => SIDA ?

        https://www.dailymotion.com/video/x8f7sg

        HPV => cancer du col ????????????????????????


      • njama njama 8 mars 2019 21:16

        lien plus complet, vidéo de l’émission sur Arte de 49’:39

        https://www.youtube.com/watch?v=9WnJvF_hBq4


      • njama njama 9 mars 2019 15:14

        @Gérard

        Le lien de causalité VIH => SIDA n’était qu’un effet d’annonce dans lequel des tas de scientifiques se sont engouffrés, aucune étude ne l’a jamais prouvé.

        Tout laisse l’impression que le lien de causalité HPV => cancer du col de l’utérus c’est le même schéma, un effet d’annonce (du fabricant ? de l’OMS ?) sans jamais des faits ni une étude qui l’a prouvé.

        Sur le site de l’Institut Pasteur, on peut lire :
        Cause A ce jour, les chercheurs ont identifié une douzaine de papillomavirus humains (HPV) à l’origine du cancer du col de l’utérus, premier cancer à avoir été reconnu par l’OMS comme étant attribuable dans tous les cas à une infection virale.

        « attribuable » = Qu’il faut attribuer à, qui doit ou peut être attribué à...

        L’Institut Pasteur ne mouille pas sa culotte et donne allégrement et sans vergogne du grain à moudre à la rumeur

        où sont les études qui le prouvent  ?

        Pas très scientifique toussa toussa... smiley


      • njama njama 9 mars 2019 15:57

        @Gérard

        L’institut Pasteur ou Mme Buzyn nous expliqueront-ils L’EFFET PARADOXAL DU GARDASIL ? 

        "Et que ceux qui s’intéressent au cancer du col de l’utérus expliquent le paradoxe du contraste entre l’efficacité des vaccins contre les infections aux souches ciblées (80 à 90% de chute de leur prévalence) et l’augmentation de l’incidence du cancer (de 30% à plus de 100%) !"

        effet paradoxal qui ne penche pas en faveur d’un lien de causalité HPV => cancer du col

        Après un SIDAgate un HPVgate ?


      • njama njama 9 mars 2019 16:19

        Un effet d’annonce magique
        "Le 23 avril 1984, une conférence de presse convoquée par Margaret Heckler, secrétaire d’État chargée à la Santé sous la présidence de Ronald Reagan, annonce au monde entier subjugué que « la cause probable du sida a été trouvée ». Dans la foulée, un vaccin est promis pour 1986. L’événement prend la communauté médicale par surprise, d’autant qu’il n’y eut aucune publication scientifique préalable. La validité de cette découverte ne pourra de fait pas être vérifiée par des pairs comme il est d’usage dans la communauté scientifique. Du jamais vu : une conférence de presse va, pour la première fois, créer l’histoire des sciences.
        [.....] Que vient faire le qualificatif de « probable » dans une déclaration de conférence de presse concernant la cause tant attendue d’une maladie grave ? On pourrait penser à une erreur de traduction tant ce qualificatif semble incongru dans un tel contexte. Cependant, en visionnant l’enregistrement vidéo original de ce célébrissime événement médiatique, aucun doute n’est plus permis : c’est bien elle, Margaret Heckler, le brushing imperturbable sous le crépitement des flashs, qui annonce : « First, the probable cause of AIDS has been found. »
        [...] Après ce discours émouvant, Heckler s’efface pour laisser la place au héros du jour : le Pr Robert Gallo, qui, sûr de son effet face à l’enchevêtrement de micros, reproduisit pour les téléspectateurs du monde entier le miracle : « Gentlemen, we have found the cause of AIDS. »

        © NEXUS 79 mars-avril 2012 pages 19-20


      • Gérard 12 mars 2019 08:21

        @njama

        VIH = SIDA ? Le lien en serait pas prouvé selon vous.

        C’est sûr qu’en lisant Montagnier et Nexus, vous ne risquez pas d’en trouver la preuve ...


      • njama njama 7 mars 2019 09:21

        Libéralisme et vaccination (extrait d’une tribune libre de Jean-Pierre Auffret, président de LNPLV, 24 avril 2014)

        [......] La généralisation d’un vaccin relève d’abord d’une idéologie ! Nullement désintéressée !

        Malgré un habillage scientifique, il y a surtout une religion dans laquelle chaque vaccination tient lieu de baptême, puis de communion, d’allégeance au corps médical… au prix de scarifications rituelles, voire de sacrifices humains, pour conjurer la maladie, divinité maléfique. Ainsi va-t-on jusqu’à célébrer (sic) la semaine sainte de la vaccination9 ! Parmi les brebis de l’immunité grégaire, certaines trouvent dans le vaccin plutôt que la santé, le moyen d’apaiser leur angoisse de la maladie et de la mort. Et, toute religion se voulant incontestable et universelle, la France, fille aînée de l’Institut Pasteur10, comme elle le fut (l’est ?) de l’Église, est depuis toujours au premier rang de cette Croisade, de ce djihad… pour combattre, soumettre, occire les mécréants, les infidèles… les vaccino-sceptiques !

        La plus élémentaire liberté de l’individu est d’être maître de son corps et la société ne peut en disposer. Imposer ou généraliser une vaccination est d’abord une forme d’oppression, un pas vers la soumission : la promesse de la santé par la vaccination, surtout collective, n’est qu’un prétexte au service de quelques-uns !

        Il est temps que la France, fière de sa médecine libérale, rétablisse et fasse respecter la liberté en matière de vaccination, comme de tout traitement médical. Et, pas plus que lors de l’assouplissement de la pratique du BCG, notre beau pays, débarrassé de l’obligation du DTP, ne sera ravagé par la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite… n’en déplaise à MM. MONTERO [DG de Sanofi Pasteur Europe), FLORET [Comité technique des vaccinations (CTV)] et compagnie !

        Aimer et protéger ses enfants, c’est d’abord regarder à deux fois lorsqu’il est question de les vacciner !
        J.-Pierre AUFFRET

        http://www.infovaccin.fr/liberalisme_et_vaccination.html


        • Gérard 7 mars 2019 10:06

          @njama

          Que de belles affirmations non-sourcées.

          Voyons ce qu’il se passe quand on inverse les termes de cette tribune pour les faire coller à la rhétorique de l’antivaccinalisme ... Oh beh chouette alors ! Ça marche aussi tiens !

          "[......] La généralisation de l’antivaccinalisme relève d’abord d’une idéologie ! Nullement désintéressée !

          Malgré un habillage scientifique, il y a surtout une religion dans laquelle chaque acte d’anti-vaccination tient lieu de baptême, puis de communion, d’allégeance au corps anti-vaccin… au prix de rougeoles rituelles, voire de papillomavirus humains, pour conjurer les effets secondaires, divinité maléfique. Ainsi va-t-on jusqu’à célébrer (sic) la semaine sainte de l’anti-vaccination9 ! Parmi les brebis de l’inefficacité vaccinale, certaines trouvent dans l’anti-vaccinalisme plutôt que la santé, le moyen d’apaiser leur angoisse de la maladie et de la mort. Et, toute religion se voulant incontestable et universelle, la France, fille aînée de l’anti-vaccination10, comme elle le fut (l’est ?) de l’Église, est depuis toujours au premier rang de cette Croisade, de ce djihad… pour combattre, soumettre, occire les mécréants, les infidèles… les vaccinateurs !

          La plus élémentaire liberté de l’individu est d’être maître de son corps et la société ne peut en disposer. Accepter ou généraliser l’antivaccination est d’abord une forme d’oppression, un pas vers la soumission : la promesse de la santé par l’anti-vaccination, surtout collective, n’est qu’un prétexte au service de quelques-uns !

          Il est temps que la France, fière de sa médecine libérale, rétablisse et fasse respecter la liberté en matière d’anti-vaccination, comme de tout traitement médical. [...]

          Aimer et protéger ses enfants, c’est d’abord regarder à deux fois lorsqu’il est question de ne pas les faire vacciner"



        • njama njama 7 mars 2019 12:21

          @Gérard
          Vous êtes particulièrement inspiré ce matin ! Vous seriez un sous-marin du ministère ou d’un Labo que cela ne m’étonnerait pas, notez que je ne vous en veux pas et si je peux vous inspirer, vous être utile c’est gratis pro Deo je suis copyleft

          Enquête sur les vaccins (2) Comment les conflits d’intérêt et l’intransigeance des labos minent la réputation des vaccins 17 juin 2015

          Loin d’être neutres, les autorités sanitaires y participent allègrement en faveur d’un certain point de vue. Leur but : dissiper les critiques qui entourent certains vaccins, plutôt que faire avancer les connaissances sur ces sujets ! En 2013, l’Agence de sécurité du médicament (ANSM) a par exemple accordé 282 065 euros à une « action de recherche » sur les perceptions de la sécurité et de l’efficacité des vaccins en France. L’objectif ? « Développer des stratégies de communication sur les vaccins prenant en compte les opinions développées sur ces sites (anti-vaccination), pour améliorer le contenu des sites pro-vaccination (…) » [2].

          [2] « Perceptions de la Sécurité et de l’Efficacité des Vaccins dans la population en France : le rôle des sources d’information et du statut social »

          http://multinationales.org/Comment-les-conflits-d-interet-et-l-intransigeance-des-labos-minent-la


        • Gérard 7 mars 2019 13:07

          @njama

          Vous êtes particulièrement inspiré ce matin ! Vous seriez un sous-marin du ministère ou d’un Labo que cela ne m’étonnerait pas, notez que je ne vous en veux pas et si je peux vous inspirer, vous être utile c’est gratis pro Deo je suis copyleft

          Vous ne m’inspirez pas, vous me dégoûtez.
          Ce n’est pas un compliment.

          En 2013, l’Agence de sécurité du médicament (ANSM) a par exemple accordé 282 065 euros à une « action de recherche » sur les perceptions de la sécurité et de l’efficacité des vaccins en France

          A cause de vous (et de vos copains antivax) des agences publiques doivent dépenser de l’argent public pour financer des campagnes pour se demander pourquoi vous pensez à tort que les vaccins sont dangereux et inefficaces. Vous êtes une plaie pour notre société. Et ce n’est pas un compliment non plus.


        • sylvain sylvain 7 mars 2019 14:42

          @Gérard
          ben en fait non, ca marche pas du tout
          Il est temps que la France, fière de sa médecine libérale, rétablisse et fasse respecter la liberté en matière d’anti-vaccination, comme de tout traitement médical. [...]
          on n’oblige personne a se non-vacciner, et le coeur du probleme est là


        • Gérard 7 mars 2019 14:48

          @sylvain

          on n’oblige personne a se non-vacciner

          Vous avez raison sur ce point.

          et le coeur du probleme est là

          Mais vous avez tort sur celui-ci.


        • njama njama 8 mars 2019 16:04

          @Gérard
          A cause de vous (et de vos copains antivax) des agences publiques doivent dépenser de l’argent public ... 

          Les antivax ont bon dos ! Ainsi l’ANSM a dépensé presque 300.000 € d’argent public pour une « action de recherche » sur les perceptions de la sécurité et de l’efficacité des vaccins en France

          Si tant est que l’on peut supposer un peu d’objectivité à cette étude elle ne devait pas porter pas bien évidemment que sur le versant « patient » mais également sur les acteurs, professionnels de santé.

          On peut donc se poser la question sur les intentions exactes qui ont présidé à ces nouvelles dispositions d’obligations vaccinales, étaient-elles réellement du fait d’une défiance générale des français sur les vaccins ainsi que les médias nous le rapportent ? L’argument paraît assez peu crédible vu une certaine docilité générale à suivre les recommandations confirmée par des taux de couverture vaccinale élevés tant en France qu’en Europe.

          Ou était-ce, constat peu avouable publiquement, pour recadrer les médecins de moins en moins convaincus eux-mêmes par l’utilité des vaccins (de certains du moins), comme de leur sécurité ?


        • njama njama 8 mars 2019 16:19

          @Gérard
          des médecins antivax ? ou des vaccino-sceptiques ? cela faisait désordre, fallait leur remettre le doigt sur la couture du pantalon !

          Ce que les médecins pensent de la vaccination : l’enquête-choc, non publiée, de l’INPES
          un sondage BVA, une enquête auprès d’un échantillon représentatif de 400 médecins français, généralistes et pédiatres révélait...

          « (page 12 du PDF)  »D’autre part, en 2005, une étude[9] auprès d’un échantillon représentatif de 400 médecins généralistes et pédiatres montrait qu’une majorité d’entre eux (58 %) se posait des questions sur l’opportunité de certains vaccins donnés aux enfants et 31 % faisaient part de leurs craintes par rapport à la sécurité de ces produits. L’interprétation de ces données montre donc une réalité complexe. Si l’adhésion de la population à la vaccination reste globalement bonne, plusieurs témoins indiquent que s’installe depuis une dizaine d’années, à bas bruit, un questionnement autour de la politique vaccinale, peut-être plus du côté des médecins que de la population."

          La référence à cette enquête est donnée, très confidentiellement, aux praticiens dans le document de l’INPES intitulé « Vaccinations, Guide pratique pour le praticien » et est notée comme suit :

          (note 9 page 35 dans le PDF) » BVA. Étude sur les vaccins pédiatriques auprès des médecins généralistes et des pédiatres. 2005 : p. 31 – NON PUBLIÉE. »
          http://inpes.santepubliquefrance.fr/50000/OM/pdf/vaccination/09vod_guide-medecin.pdf

          source : IC https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/ce-que-les-medecins-pensent-de-la-91479


        • Gérard 12 mars 2019 08:24

          @njama

          Bonne preuve que la propagande antivax a encore de beaux jours devant elle ...


        • njama njama 7 mars 2019 10:00

          Peut-on avoir foi dans les publications de l’OMS  ?

          Ainsi par exemple dans un Bulletin de septembre 2011 « Le dépistage reste l’option la plus rentable pour lutter contre le cancer du col de l’utérus », cette Organisation écrit :« Pratiquement tous les cas de cancer du col (99%) sont liés à une infection à HPV ». https://www.who.int/bulletin/volumes/89/9/11-030911/fr/

          Il ne faut pas aller bien loin pour démonter cette affirmation, les HPV sont absents de nombreuses lésions cervicales.

          Plus récemment dans sa publication du 24 janvier 2019 « Papillomavirus humain (PVH) et cancer du col de l’utérus , Principaux faits », l’OMS nous dit dans son inventaire que « Le cancer du col de l’utérus est causé par une infection transmise par voie sexuelle et générée par certains types de PVH. » https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/human-papillomavirus-(hpv)-and-cervical-cancer

          Or si concomitance il y a entre certains cancers cervicaux et infections HPV, le lien de causalité n’a jamais été démontré jusqu’à présent. Les causes de ces types de cancer pouvant être multifactorielles, prétendre éradiquer un jour (dans quelques décennies) le cancer de l’utérus en agissant que sur un facteur plausible relève de l’utopie ou de la naïveté.

          « Un facteur de risque est quelque chose, comme un comportement, une substance ou un état, qui accroît le risque d’apparition d’un cancer...

          Des preuves convaincantes permettent d’affirmer que les facteurs suivants font augmenter votre risque de cancer du col de l’utérus.... »

          Lire : http://www.cancer.ca/fr-ca/cancer-information/cancer-type/cervical/risks/?region=on


          • Gérard 7 mars 2019 10:30

            @njama

            Il ne faut pas aller bien loin pour démonter cette affirmation, les HPV sont absents de nombreuses lésions cervicales.

            Beh si justement, allons plus loin. Où sont les sources de cette gentille affirmation, les preuves, tout ça tout ça ?

            Or si concomitance il y a entre certains cancers cervicaux et infections HPV, le lien de causalité n’a jamais été démontré jusqu’à présent.

            Vous êtes gentil. Quand il y a une accumulation de preuves considérables qui vont dans le même sens, on peut franchement penser (jusqu’à preuves du contraire) qu’il y a relation de cause à effet.
            Malheureusement, vous vous entêtez à réclamer des preuves (alors même qu’elles existent). Et quand je vous demande quelles preuves vous ferait admettre le lien causal (dans les commentaires d’autres articles agoravox), vous êtes incapable de me répondre.

            Des preuves convaincantes permettent d’affirmer que les facteurs suivants font augmenter votre risque de cancer du col de l’utérus.... »

            C’est bête, vous avez omis de mentionner le terme qui devait juste après ...
            Cofacteurs !
            Vous savez ce que cela signifie ?


          • njama njama 7 mars 2019 10:59

            @Gérard
            Quand il y a une accumulation de preuves considérables qui vont dans le même sens, on peut franchement penser (jusqu’à preuves du contraire) qu’il y a relation de cause à effet.

            Avec de tels arguments vous auriez envoyé facilement beaucoup de prévenus à l’échafaud, et jusqu’à « preuves du contraire » au cas où vous vous seriez gouré, cela ne leur remettrait pas la tête sur les épaules smiley
            Vous mélangez faits et preuves, une conjonction de faits ne constituent pas un lien de causalité, mais une corrélation. Vous devriez le savoir vous qui ne cessez de répéter que corrélation et concomitance ne sauraient prouver de lien de causalité entre vaccins et SEP, ou autres maladies auto-immunes déclenchées post-vaccination. Je ne fais que vous renvoyer à vos principes.


          • Gérard 7 mars 2019 11:36

            @njama

            Vous mélangez faits et preuves, une conjonction de faits ne constituent pas un lien de causalité, mais une corrélation.

            Vous prenez une pomme en main, vous la lâchez, la pomme tombe au sol.

            Ce sont des faits. Ça fait des millions d’année que ça fonctionne ainsi.
            Sur base de ces faits, on peut raisonnablement penser que le résultat de cette expérience sera encore identique demain, après-demain et après-après-demain.

            Mais si demain, quelqu’un fait une expérience qui montre un résultat différent (dans des conditions identiques évidemment), alors on pourra effectivement remettre en cause la pertinence de ce lien de causalité.

            Vous devriez le savoir vous qui ne cessez de répéter que corrélation et concomitance ne sauraient prouver de lien de causalité entre vaccins et SEP

            Le lien SEP — vaccin a été démonté de toutes parts par plusieurs publications de grande qualité.

            Il est clair que corrélation n’est pas forcément causalité. Les scientifiques sont conscients de ce biais potentiel évident.

            Certains s’en amusent d’ailleurs ... Regardez cette série de corrélations foireuses ...
            Par exemple, les dépenses US en matière de science et de technologie sont corrélées aux suicides par étranglement, suffocation, ...
            L’importation de pétrole norvégien par les Etats-Unis est corrélé au nombre de tués par collision avec un train.


          • njama njama 7 mars 2019 11:54

            @Gérard
            les HPV sont absents de nombreuses lésions cervicales.

            faut se répéter avec vous !
             Mexican scientist cures the Human Papilloma Virus

            « She [Eva Ramon Gallegos, a researcher from Mexicon National Polythecnic Institut (IPN)] also explained that besides eradicating HPV, the main cause béhind cervical cancer, photodynamic thérapy is also used to eliminate premalignant lesions of cervical cancer in its first satges. The results of her investigations show that she was able to eradicate HPV in 100 % of the patients who had the virus but had no premalignant lesions, 64,3 % in women with HPV and lesions, and 57,2 % in women who had lesions but don’t have HPV »

            une bonne moitié les femmes (57,2 %) qui ont des lésions cervicales mais n’ont pas de HPV...
            bon d’accord un échantillon de 449 patientes traitées, c’est peu pour généraliser mais tout de même c’est un signal qui parle ce % sans l’ombre d’un p’tit HPV ça questionne...
            suffisamment pour retoquer l’affirmation de l’OMS


          • Gérard 7 mars 2019 13:45

            @njama

            Vous trouverez ici une critique argumentée de cet article.

            La phrase qui fait trembler l’OMS et Big Pharma (lu sur plusieurs sites antivax) (« une bonne moitié les femmes (57,2 %) qui ont des lésions cervicales mais n’ont pas de HPV... ») serait due à une erreur de traduction entre l’article original espagnol et l’anglais.


          • njama njama 8 mars 2019 09:12

            @Gérard
            Je ne vais pas ergoter sur votre référence d’ailleurs bien référencée, car article de eluniversal.com.mx n’a pas la prétention à l’évidence d’être un article scientifique, c’est juste une info dont je retiens un fait notable, les HPV n’accompagnent pas certaines lésions cervicales ce qui met à bas l’allégation de l’OMS.
            Je ne savais pas que l’OMS et Big Pharma pouvaient trembler pour si peu, quoique face à des erreurs grossières de débutant que l’un ou l’autre commettrait... smiley
            Je ne vois pas d’erreur de traduction de l’article source en espagnol :
            « Los resultados de los estudiados de Eva Ramón Gallegos arrojó los siguientes resultados : se logró eliminar el VPH en el 100% de las pacientes que lo portaban sin tener lesiones pre malignas, 64,3 por ciento en las mujeres con VPH y lesiones, y el 57,2 por ciento en quienes presentaban lesiones sin VPH. »

            (trad) : « Les résultats des études d’Eva Ramón Gallegos ont donné les résultats suivants : il a été possible d’éliminer le HPV chez 100 % des patients qui le portaient sans lésions pré-malignes (ou précancéreuses), 64,3% chez les femmes atteintes de HPV et de lésions, et 57,2% chez celles qui présentaient des lésions sans HPV ».


          • Gérard 8 mars 2019 09:32

            @njama

            article de eluniversal.com.mx n’a pas la prétention à l’évidence d’être un article scientifique

            Non, mais une publication scientifique existe bien.

            c’est juste une info dont je retiens un fait notable, les HPV n’accompagnent pas certaines lésions cervicales ce qui met à bas l’allégation de l’OMS.

            Quand cela va dans votre sens, vous êtes sacrément vite convaincu dites donc (#biais de confirmation)

            Je ne savais pas que l’OMS et Big Pharma pouvaient trembler pour si peu, quoique

            Vous ne comprenez pas que ce sont les antivaccins (et complotistes en tout genre) qui font croire que l’OMS et BigPharma tremblent. Ça permet de jeter le trouble sur eux en faisant croire qu’ils ont des choses à cacher, que ces choses sont en train d’être révélées, que ces révélations sont de nature à entacher gravement leur réputation et leur crédibilité. Les joies du complotisme ...


          • njama njama 8 mars 2019 09:55

            @Gérard
            Peut-être prenez-vous Eva Ramón Gallegos pour une imbécile au point qu’elle aurait laissé publier n’importe quoi sur ses résultats (?)

            « Eva Ramón Gallegosis a Mexican scientist, professor and researcher at the Escuela Nacional de Ciencias Biológicas of the Instituto Politécnico Nacional,[1] her field of specialty is in biomedical sciences and nanobiotechnology. Her main line of research is the search for non-invasive treatments for the eradication of the uterine cervical cancer produced by the human papilloma virus (HPV), using photodynamic therapies.[2][3] »

             « Together with the researcher Elizabeth Maldonado, and after 20 years of research, Eva Ramón Gallegos developed a method by which, in an economical and efficient way, the human papillomavirus could be detected in women. The technique has a precision of 98 percent and is based on the analysis of the roughness of the skin and the modifications that occur when there are benign, premalignant, and malignant lesions.[4] The results of the research were published in 2005 in the journal Physics in Medicine and Biology.[5] »
            https://en.wikipedia.org/wiki/Eva_Ram%C3%B3n_Gallegos

            Voilà qui fait bien plus avancer la science sur le sujet et mériterait une large communication plutôt que de s’en remettre à un vaccin dont l’efficacité est toujours hypothétique...


          • Gérard 8 mars 2019 10:26

            @njama

            Peut-être prenez-vous Eva Ramón Gallegos pour une imbécile au point qu’elle aurait laissé publier n’importe quoi sur ses résultats (?)


            Je n’ai pas dit cela. Je ne l’ai même pas pensé.

            Voilà qui fait bien plus avancer la science sur le sujet

            Si cette thérapie est susceptible d’apporter un « plus », je n’ai aucun doute sur le fait que des recherches ultérieures (déjà en cours peut-être) seront faites.

            mériterait une large communication plutôt que de s’en remettre à un vaccin dont l’efficacité est toujours hypothétique...

            L’efficacité n’est pas hypothétique puisque l’on mesure déjà actuellement les premiers résultats très prometteurs de ce vaccin. Vous dites n’importe quoi.


          • njama njama 8 mars 2019 11:18

            @Gérard
            L’efficacité n’est pas hypothétique puisque l’on mesure déjà actuellement les premiers résultats très prometteurs de ce vaccin. Vous dites n’importe quoi.

            Sur cette remarque je vous renvoie aux données publiées par delepine dans cet article comme dans les précédents sur les cancers cervicaux, qui n’ont pas la même lecture que vous en faites et contredisent vos espoirs. Les chiffres de différents pays qui pratiquent cette vaccination à plus grande échelle démontrent une augmentation de l’incidence du cancer du col et anéantissent les envolées prometteuses annoncées prématurément sans démonstration par le fabricant MSD.


          • Gérard 8 mars 2019 11:29

            @njama

            Et moi je vous renvoies à l’abondante littérature scientifique qui soutient que Gardasil (et Cervarix, ne l’oublions pas) sont sûrs et efficaces.
            Cette même littérature qui contredit l’interprétation erronée des chiffres faite par les Drs Delépine.


          • njama njama 8 mars 2019 12:01

            @Gérard
            Vous ne comprenez pas que ce sont les antivaccins (et complotistes en tout genre) qui font croire que l’OMS et BigPharma tremblent.

            et c’est donc pour ça que je ferais partie avec d’autres pas alignés sur la pensée unique vaccinaliste des DIX plus grandes menaces mondiales
            https://www.who.int/fr/emergencies/ten-threats-to-global-health-in-2019

            Je vous avoue que ça m’a fait bien rire de l’apprendre smiley
            c’est du deuxième degré, presque de l’humour, l’OMS est dans de la communication,

            il faut désigner « l’hérétique », le « pas pasteurisé », ça pisse pas plus loin et lui permet peut-être au passage de justifier les échecs de ses différentes campagnes de vaccination de masse, vs c’est de la faute aux anti-vaccins ! faudrait quand même pas mettre l’efficacité des vaccins en doute !

            Certainement qu’avec le Gardasil, l’OMS, le doigt déjà sur le piston de la seringue, s’est trouvé un nouveau messianisme pour le XXI° siècle, « l’éradication des vilains HPV », une aventure pasteurienne au long cours, néo-coloniale surtout puisque 83 % des cancers du col se produisent paraît-il dans les pays en voie de développement selon l’Invs (PDF Page 5)

            http://opac.invs.sante.fr/doc_num.php?explnum_id=3243


          • Gérard 8 mars 2019 13:52

            @njama

            Vous me faites sacrément bien rire.
            Est-ce que vous diriez qu’estimer que 1+1=2, que la terre tourne autour du soleil, que l’avion permet de faire le tour de la terre en quelques heures, etc etc c’est de la pensée unique ?

            Tout le monde y croit (ou quasi). Est-ce que vous auriez l’impression d’être un mouton de la pensée unique en pensant cela ?


          • njama njama 8 mars 2019 14:11

            @Gérard

            Que vous ayez foi en l’efficacité de certains vaccins, voilà tout, mais c’est assez comique de lire combien votre foi en Gardasil, ce vaccin expérimental, est sans limites, quand même chez Sanofi Pasteur ils n’avaient et n’ont de certitudes.

            « Du côté de Sanofi Pasteur MSD, on convient que cette efficacité »globale« sur les cancers »n’a pas été formellement démontrée« . Mais le Dr Yann Leocmach, directeur médical France du laboratoire, souligne qu’ »aucune étude ne permettrait de savoir si le nombre de cancers diminuerait« . Il insiste sur l’importance de la prophylaxie : »Quand on vaccine, on prévient presque 100 % des lésions précancéreuses dues à ces papillomavirus humains, dont un cinquième se développeraient en cancer« . En somme, après vaccination au Gardasil, les jeunes femmes ne peuvent plus être atteintes de précancers dus aux HPV concernés. Mais quid des autres types ? »On surveille la situation, explique le Dr Leocmach, et pour le moment, il n’y a aucun signe de « remplacements de type » sur une période d’une dizaine d’années« . Et de se laisser aller à des projections : »On aura sans doute une baisse du nombre de cancers d’ici une vingtaine d’années.« Il ne reste qu’à espérer que ce soit bien le cas. »

            source : Cancer du col de l’utérus : polémique autour d’un vaccin
            Publié le 24/10/2011 à 08:28 | Le Point.fr

            Qui vivra, verra... toutes cobayes ?


          • njama njama 8 mars 2019 14:23

            même article

            et le Dr Leocmach d’insister : « Tout laisse penser que le Gardasil va marcher. On ne va tout de même pas attendre qu’une génération d’Américaines vaccinées apporte la preuve que le nombre de cancers diminue pour l’homologuer en France ? »

            on en reste coi !


          • Gérard 8 mars 2019 14:35

            @njama

            ce vaccin expérimental,

            Je vais peut-être vous apprendre quelque chose d’extraordinaire mais je m’y risque ... 
            ... Le Gardasil est en circulation depuis plus de 10 ans ...
            ... Les premiers résultats très satisfaisants de son efficacité s’accumulent ...

            Donc, pour le côté « expérimental », vous êtes complètement à côté de la plaque.


          • njama njama 8 mars 2019 15:22

            @Gérard
            à croire que vous lisez les graphes à l’envers ! lol
            mettons, soit pour l’efficacité pour hypothèse du raisonnement suivant dans la démarche d’accepter ou non ce vaccin car on ne peut résumer la vaccination qu’à l’efficacité du produit, une vaccination n’est pas un geste anodin, il faut voir les bénéfices et les risques liés à cet acte médical :

            or selon « L’Agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé (Afssaps), qui a dénombré 351 victimes (chiffres 2011), établit un taux (EIG) de 8,1 cas pour 100 000 vaccinations », et, « selon l’Institut national du cancer (Inca), le taux d’incidence du cancer du col de l’utérus est de 6,4 pour 100 000 femmes (chiffres 2010) ».

            incidence en baisse en France depuis de nombreuses années sans vaccin, taux d’incidence 6 en 2017. A contrario, si le taux d’EIG n’augmenterait pas, le nombre de personnes victimes d’EIG augmenterait en % du taux de couverture vaccinale.

            Voilà qui n’est pas très engageant, une femme aurait ainsi plus de risques d’être atteinte d’effets secondaires graves liés au vaccin que de développer un cancer du col de l’utérus 20 ou 40 ans plus tard ! Le Gardasil c’est plus qu’un vaccin, c’est un credo !

            et il vaut donc mieux y réfléchir à DEUX fois plutôt qu’UNE avant d’inviter la seringue pour se faire inoculer.


          • foufouille foufouille 8 mars 2019 15:37

            @njama
            tu as un risque de 0.1% de pancréatite aigüe soit 1 sur 10000 sans rien du tout comme cause. ton risque est donc imaginaire.


          • njama njama 8 mars 2019 16:44

            @foufouille

            soit 1 sur 10000 sans rien du tout comme cause.

            comme il n’y a pas d’effet sans cause(s), ça veut seulement dire que la cause n’est pas connue.

            Peut-être pourrait-elle être celle-ci :

            Notice canadienne

            Notice US

            (Gardasil 9 Package insert)


          • foufouille foufouille 8 mars 2019 17:43

            @njama
            l’effet placebo, donc sans rien du tout, est de 15% minimum. le corps biologique n’est pas une voiture, il n’y donc pas obligatoirement de cause surtout externe. chaque être vivant nait avec des défauts car crée par un mélange de gènes comportant des défauts.


          • njama njama 8 mars 2019 21:13

            @foufouille
            Je ne prétends pas pour autant qu’il existerait un lien de causalité « pancréatite » vs vaccins... assez marginal peut-on supposer et je l’espère... je suggère simplement qu’en l’absence de causes avérées on aille un plus loin que de se contenter par suppositions (ou par fainéantise) d’un risque avéré... pour se caler sur du risque réel.
            Le risque avéré est uniquement statistique.

            Plus globalement là où la science ne peut répondre la génétique a bon dos sans la moindre preuve... phénomène récent dans les annales de la médecine puisque jusque dans 70 début 80 ces hypothèses, vu leur inconsistance scientifique n’avaient que peu de valeur scientifique


          • foufouille foufouille 9 mars 2019 07:11

            @njama
            tu n’es pas une voiture produite en série sans défauts. tout le monde na pas la même taille poids, etc : tout ça est bien au hasard.
            dans certains ont trouve bien des marqueurs génétique présent uniquement chez les malades. ensuite, tout le monde ne vieillit pas à la même vitesse, j’ai eu des rides après 40 ans.
            c’est pareil pour tes organes internes donc avec un ou deux défauts au pancréas, tu auras plus de chance de devenir diabétique par exemple car ton pancréas se seras usé plus vite que les autres.
            tous les gros ne sont pas diabétique donc le surpoids est juste un facteur probable même si 80% des diabétique sont gros et ont un certain âge.
            si tu supprime la partie tous les gros ne sont pas : c’est de la faute du surpoids.
            quand c’est une statistique de 0.1% ou moins de 1%, c’est forcément bidon.


          • Gérard 12 mars 2019 08:31

            @njama

            Les effets secondaires des notices de vaccin ne permettent pas de prouver un quelconque lien de causalité avec le vaccin.


          • sagesse 7 mars 2019 10:20

            En attendant, les labos se frottent les mains….. Et puis si il y a des « dommages » collatéraux, pas grave, jamais condamnés, jamais responsables. Les victimes du Levothyrox viennent d’en faire les frais…..

            « Mais un nouveau décret, rentré en vigueur le 1er mars 2019, vient d’étendre la réalisation des examens jusqu’aux 18 ans de l’enfant. Désormais les 20 vaccins seront répartis différemment : 14 seront obligatoires au cours des 3 premières années, 3 de la 4ème à la 6ème année et les 3 derniers de la 7ème à la 18ème année. » https://www.magicmaman.com/examens-medicaux-obligatoires-de-l-enfant-un-nouveau-planning-devoile,


            • njama njama 7 mars 2019 11:30

              pas 20 vaccins, 11 sont obligatoires entre 2 mois et 18 mois_2 ans

              le 17° Au cours de la sixième année ;

              pour vérifier que les 11 vaccins obligatoires ont été dûment inoculés

              pour les examens suivants, vérification probable du suivi des rappels de vaccins « recommandés », et une fenêtre ouverte (ou offerte ?) aux médecins pour promouvoir le Gardasil (?) faut créer les opportunités...
              le 18° Entre 8 et 9 ans ;
              le 19° Entre 11 et 13 ans ;
              le 20° Entre 15 et 16 ans.


            • Julot_Fr 7 mars 2019 21:44

              Aux USA, la resistance contre les vaccins s’organise autour du theme « informes et consentants », avec l’aide de docteurs integres qui font face a l’argent et aux « pressions » de big pharma.

              https://www.youtube.com/watch?v=4wiq7tdaP6k


              • Gérard 8 mars 2019 09:14

                @Julot_Fr

                Aux USA, la resistance contre les vaccins s’organise autour du theme « informes et consentants », avec l’aide de docteurs integres qui font face a l’argent et aux « pressions » de big pharma.

                ... Et qui propagent un sacré paquet de mensonges ...


              • njama njama 8 mars 2019 13:02
                On n’en plus à une contradiction près, ce vaccin n’était « expressément » préconisé à ses débuts que pour les jeunes filles avant qu’elles n’aient l’âge de relations sexuelles, désormais la FDA (Food and Drug Administration) vient d’approuver en octobre 2018 son utilisation jusqu’à l’âge de 45 ans !

                S’agirait-il de convaincre les mères pour vacciner les filles ? ou d’élargir le marché (?) vers un vaccin Gardasil universel, (filles, garçons, mères et pères) futur graal des ... investisseurs ?
                La Presse française suit béatement sans ciller cette nouvelle orientation atlantiste comme un petit caniche ! si la FDA l’a dit ...
                Contre le papillomavirus, se vacciner jusqu’à 45 ans Ouest-France-10 oct. 2018

                Papillomavirus : aux Etats-Unis, les femmes sont vaccinées jusqu’à 45 ... Parents.fr-12 oct. 2018

                Vaudrait mieux tout de même pour les candidates à une vaccination tardive de faire un frottis au préalable, vu que le Gardasil « n’a pas d’effet sur les infections HPV en cours ni sur des maladies cliniques préexistantes dues aux HPV. Gardasil n’a pas démontré d’effet thérapeutique ». (source mesvaccins.net)


                • Gérard 8 mars 2019 14:01

                  @njama

                  Les femmes de 45 ans sont exemptées de souffrir du cancer du col de l’utérus ?!!!!?

                  Vous m’en apprenez une bonne.


                • Duke77 Duke77 9 mars 2019 09:15

                  @Gérard Que pensez-vous du fait (puisque vous aimez les faits scientifiques) que l’aluminium ait été retiré des vaccins pour chat et qu’il soit un neurotoxique ?

                  Source : https://m.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8


                • foufouille foufouille 9 mars 2019 09:25

                  @Duke77
                  tu veux une vidéo youtube de star trek donc star trek est vrai ?
                  c’est une histoire de dose limite ......


                • Gérard 12 mars 2019 08:53

                  @Duke77

                  Scoop : nous ne sommes pas des chats.


                • njama njama 9 mars 2019 10:26

                  @foufouille c’est une histoire de dose limite ......

                  La toxicité de dizaines de substances serait sous-évaluée !
                  Une vaste étude conteste les fondements de la toxicologie en pointant les effets à faible dose de produits chimiques
                  tribune du Journal Le Monde du 26 mars 2012 signée Stéphane Foucart
                  [...]Les auteurs ont passé en revue plus de 800 études distinctes menées sur l’homme, sur l’animal ou sur des cultures cellulaires. « Nous avons voulu considérer cette littérature dans son ensemble, indique la biologiste Laura Vandenberg (Tufts University à Boston), premier auteur de cette analyse. Il ressort, en résumé, que les molécules qui imitent ou bloquent les hormones ont des effets négatifs à très faibles doses, c’est-à-dire à des doses généralement considérées comme sûres chez l’homme. »

                  Ces effets sont difficiles ou impossibles à mettre en évidence avec les données de la toxicologie classique – sur lesquelles s’appuient les agences d’évaluation des risques.

                  Pourquoi ? D’abord, les effets de ces perturbateurs endocriniens battent en brèche un principe central de la toxicologie. « Les études de toxicologie classique partent du principe que « la dose fait le poison », c’est-à-dire que plus on augmente la dose du produit que l’on veut tester, plus l’effet est important », explique Daniel Zalko, chercheur à l’unité de toxicologie alimentaire de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), à Toulouse. « Or, à plus faibles doses, et parfois à des doses inférieures à un niveau où la toxicité du produit semble avoir disparu, on retrouve des effets importants, d’une nature parfois différente », ajoute M. Zalko.

                  La suite est réservée aux abonnés.
                  https://www.lemonde.fr/planete/article/2012/03/26/la-toxicite-de-dizaines-de-substances-sous-evaluee_1675700_3244.html


                  • njama njama 9 mars 2019 10:27

                    Endocrine Reviews Published 2012 Mar 14.
                    Hormones and Endocrine-Disrupting Chemicals : Low-Dose Effects and Nonmonotonic Dose Responses
                    Laura N. Vandenberg, Theo Colborn, Tyrone B. Hayes, Jerrold J. Heindel, David R. Jacobs, Jr., Duk-Hee Lee, Toshi Shioda, Ana M. Soto, Frederick S. vom Saal, Wade V. Welshons, R. Thomas Zoeller, and John Peterson Myers
                    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3365860/#


                  • foufouille foufouille 9 mars 2019 10:32

                    @njama
                    ton zalko écrit des grosses conneries. certaines substances sont bien toxiques à très faible dose ou/et pas avec une dose importante.
                    je prend le cas de la digitaline pour exemple ou de la radioactivité qui est largement sous la dose limite.
                    https://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2215


                  • Gérard 12 mars 2019 09:02

                    @njama

                    Dans l’étude que vous fournissez, il n’est ni fait mention de l’aluminium, ni des vaccins d’ailleurs.


                  • njama njama 9 mars 2019 10:35

                    @foufouille c’est une histoire de dose limite ......

                    L’hormèse c’est compliqué, une science balbutiante ...

                    https://fr.wikipedia.org/wiki/Horm%C3%A8se

                    dire que « c’est la dose qui fait le poison » est un raccourci scientifiquement dépassé avec les perturbateurs endocriniens

                    Le degré de toxicité d’une substance et son incidence sur l’organisme dépendent pour beaucoup de la façon dont celle-ci est absorbée (ingérée, inoculée, respirée) et des possibilités relatives pour l’organisme suivant le cas de l’éliminer.

                    L’aluminium ingéré ou l’aluminium injecté qui passe dans le sang c’est pas pareil...

                    d’autre part les toxicités séparées de différentes substances si on les combinent, des effets toxiques peuvent apparaître avec des doses très en dessous des seuils pour chacune des substances combinées.


                    • foufouille foufouille 9 mars 2019 10:39

                      @njama
                      non les trucs ne se combinent pas à petite dose minime. la petite quantité d’alu est sans danger sinon je serais malade avec mes 6 vaccins.


                    • njama njama 10 mars 2019 13:02

                      « Et que ceux qui s’intéressent au cancer du col de l’utérus expliquent le paradoxe du contraste entre l’efficacité des vaccins contre les infections aux souches ciblées (80 à 90% de chute de leur prévalence) et l’augmentation de l’incidence du cancer (de 30% à plus de 100%) ! »

                      Hypothèse
                      Le vaccin est efficace contre les HPV ciblés (HPV 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52, 58) mais agit comme un perturbateur du système immunitaire contre l’immunité naturelle déjà latente avant le début de la sexualité, puisque dans plus de 90 % des cas, la présence de HPV est anodine, les HPV étant éliminés naturellement, et que la plupart des infections ne sont pas persistantes.

                      HPV à faible risque - contagieux
                      Sérotypes 6, 11 - 90 % des cas / Autres 40, 42,43, 44, 54, 61, 70, 72, 81
                      Lésions de type condylome
                      Lésions de bas grade

                      HPV à haut risque - Faiblement contagieux
                      Sérotypes : 16, 18, 31, 33, 45 - 80 % des cas / Autres 35, 39, 51, 52, 56, 58, 59, 68, 73, 82, 26, 53, 66
                      Lésions de bas grade
                      Évolution possible vers des lésions de haut grade ou d’un cancer
                      CIN3 : 1 à 5 ans
                      Cancer : 15 à 20 ans après

                      http://www.arcagy.org/infocancer/localisations/cancers-feminins/cancer-du-col-de-l-uterus/facteurs-de-risque/les-facteurs-environnementaux-new.html/


                      • stef 10 mars 2019 17:51

                        Fort heureusement, le cas d’Océane est suffisamment explicite POUR NE JAMAIS FAIRE CE VACCIN 


                        • Gérard 12 mars 2019 10:03

                          @stef

                          Le cas d’Océane Bourguignon est tragique. Aucun doute là-dessus.

                          Cependant, d’autres pistes que celle de la vaccination HPV peuvent expliquer son cas. Et par ailleurs, des études de très grandes ampleur portant sur des millions de femmes n’ont révélé aucune différence statistiquement significative au sujet de maladies démyélinisantes entre vaccinées et non vaccinées.

                          Le vaccin Gardasil n’est pas en cause.


                        • stef 10 mars 2019 18:18

                          LE RISQUE 0 N EXISTE PAS 

                          doit on absorber des cochonneries pour éviter EVENTUELLEMENT une autre cochonnerie ?

                          LE BON SENS ME GUIDE DANS MON CHOIX 

                          PRIMARE NON NOCENS (fondement de la médecine foulée aux pieds tous les jours) 


                          • njama njama 11 mars 2019 09:02

                            @ stef

                            La forgerie dans tout ça c’est qu’un vaccin ne protégera nullement contre les principales causes des lésions cervicales dont certaines pourraient dériver en cancer.

                            The discoveries of human papilloma viruses that cause cervical cancer and of human immunodeficiency virus (Page 7)
                            About 500,000 new cases of cervical cancer are diagnosed every year with a 10-fold higher incidence in developing countries, resulting in 250,000 deaths (39,61,62). It affects about 1 per 123 women and kills about 9 per 100,000 per year.
                            Increased development of cervical carcinoma has been associated with :
                            1) early age of sexual debut ;
                            2) multiple sexualpartners ;
                            3) poor sexual hygiene ;
                            4) poverty ;
                            5) immunosuppressed state of the host ;
                            6) carcinogenic co-factors ;
                            7) genetic background
                            8) epidemiologic data (39-41).

                            Harald zur Hausen’s discovery of a restricted number of HPV types as the aetiological cause of cervical carcinoma led to a hope for prophylactic vaccines.

                            https://www.nobelprize.org/uploads/2018/06/advanced-medicineprize2008.pdf


                            • Gérard 12 mars 2019 09:53

                              @njama

                              Dans le document que VOUS présentez, il est aussi dit ceci :

                              « Harald zur Hausen’s research team had now identified the two HPV
                              types most frequently found in cervical cancer : HPV16 and HPV18 DNA are present in 82% of the patients with invasive cervical cancer. DNA from these types was also identified in cell lines derived from various cancers of the cervix (34-38) »

                              « His most important findings were the identification and molecular cloning of the HPV16 and HPV18 genomes, and the associated demonstration that a majority of cervical cancers contained DNA that hybridized under stringent conditions to probes from HPV16 or HPV18. His observations demonstrated that ;
                              papillomaviruses were etiologically involved in this cancer and infection by more than one HPV type could result in cervical cancer. Finally he demonstrated that parts of the HPV DNA was integrated into the host genome in cervical cancer cell lines including the HPV16 and 18 viral E6 and E7 genes which were
                              preferentially retained and expressed in the tumors (47) »

                              « nfection with the HPV16, 18, 31 and 45 types are considered to give a high risk for development of cervical cancer, while HPV6, 11, 42, 43 and 44 are low risk, non-oncogenic types linked to genital warts and non-malignant lesions (39)’ »


                            • njama njama 12 mars 2019 10:36

                              @Gérard

                              « His observations demonstrated that ; papillomaviruses were etiologically involved in this cancer and infection by more than one HPV type could result in cervical cancer. »

                              (trad) :Ses observations démontrent que ; les papillomavirus ont été étiologiquement impliqués dans ce cancer et l’infection par plus d’un type de HPV pourrait entraîner un cancer du col de l’utérus.

                              Nous sommes d’accord, la présence d’infections HPV est correllée et associée à certains types de cancers cervicaux, la suite n’est que suppositions ...l’emploi du conditionnel que je surligne ne vous aura pas échappé j’imagine smiley


                            • Gérard 12 mars 2019 10:47

                              @njama

                              1 infection HPV ≠

                              1 cancer

                              1 infection HPV n’entraîne pas d’office 1 cancer.
                              D’où l’emploi du conditionnel.

                              Vous voulez un dessin ? Qu’on vous le dise en chinois ?


                            • njama njama 12 mars 2019 11:22

                              @Gérard
                              même en chinois, il n’est pas démontré que les infections HPV sont « cause de » cancers cervicaux... qu’elles fassent bon ménage avec un cancer ne prouve rien.

                              Seule à ma connaissance l’OMS dit que les infections HPV sont cause des cancer du col dans 99 % des cas  !
                              même l’Institut Pasteur ne se mouille pas et s’appuie sur la déclaration de l’OMS :
                              A ce jour, les chercheurs ont identifié une douzaine de papillomavirus humains (HPV) à l’origine du cancer du col de l’utérus, premier cancer à avoir été reconnu par l’OMS comme étant attribuable dans tous les cas à une infection virale.

                              demandez donc à l’OMS de nous en fournir la preuve...
                              Notez au passage que selon l’OMS, aucune autre infection virale n’a été reconnue « cause de cancer » auparavant.
                              Il est par conséquent abusif de dire que le vaccination contre l’hépatite B protégerait contre le cancer du foie (ex selon e-cancer.fr )
                              Pareil que pour le VIH, aucune étude n’a prouvé qu’il est la cause du Sida, qui n’est d’ailleurs pas une maladie particulière mais un état d’immunodéficience qui peut être lié à 36 sortes de pathologies diverses qui existaient déjà sauf peut-être quelques-unes comme le syndrome de kaposi lié à l’usage de drogues, de poppers et à des modes de vie sociales et sexuelles interlope 


                            • foufouille foufouille 12 mars 2019 11:34

                              @njama
                              fais donc injecter ce virus comme il est inoffensif.


                            • Gérard 12 mars 2019 14:16

                              @njama

                              Seule à ma connaissance l’OMS dit que les infections HPV sont cause des cancer du col dans 99 % des cas !

                              Faux. Le CDC l’affirme également « High-risk HPV types are detected in 99% of cervical cancers » https://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook/hpv.html

                              L’OMS (et le CDC au minimum) se basent sur la littérature scientifique pour affirmer cela. Plongez-vous y. Faites gaffe de ne pas vous noyer.


                            • njama njama 13 mars 2019 12:09

                              @Gérard
                              le CDC n’est pas sans lien d’intérêts concernant ce vaccin Gardasil

                              HPV vaccine safety : Cochrane launches urgent investigation into review after criticisms Published 09 August 2018
                              Cochrane HPV vaccine review severely compromised by conflicts of interest 17 September 2018, Elizabeth M Hart

                              The recently published Cochrane HPV vaccine review[1] is severely compromised and cannot be trusted due to the conflicts of interest of authors on the original protocol and the final review document.

                              Due to serious conflicts of interests, Cochrane should withdraw this review [The BMJ].

                              In February 2016, I challenged David Tovey, Editor in Chief of Cochrane, directly about protocol author Lauri Markowitz’s conflicts of interest.

                              Catherine Riva et al raised the problem of conflicts of interest in December 2014 in a comment on the original protocol[2], specifically pointing out the failure to properly disclose conflicts of interest by Lauri Markowitz and Marc Arbyn. Arbyn remained an author throughout all stages.

                              Lauri Markowitz is an employee of the US Centers for Disease Control and Prevention (CDC), and is involved in HPV vaccination promotion. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5711299/

                              The US Government benefits from the sale of HPV vaccine products, i.e. a letter to Dr Eric Suba from the US National Archives and Records Administration (November 2010) discusses royalties the US National Institutes of Health (NIH) receives from the sales of HPV vaccines. (See a copy of the letter via this link : http://www.vietnamcervicalcancer.org/dmdocuments/ogis%20suba%2024%20nove...)
                              [...]
                              The Bill and Melinda Gates Foundation has been very influential in promoting HPV vaccination[5]. In regards to the Cochrane HPV vaccine review, Cochrane has a conflict of interest in that it is a beneficiary of Bill and Melinda Gates Foundation funding, i.e. to « support the development of Cochrane’s next generation evidence system, with a specific focus on maternal and child health ».[6] The World Mercury Project has provided critical analysis of Cochrane’s conflicts of interest via the Bill and Melinda Gates Foundation and other organisations[7].
                              [...]


                            • Gérard 13 mars 2019 14:00

                              @njama

                              Lauri Markowitz travaille au CDC et promeut une vaccination extrêmement sûre et efficace.

                              Mais quel scandale !


                            • Gérard 13 mars 2019 14:05

                              @njama

                              L’un des rôles du CDC est celui-ci :

                              "Promoting healthy and safe behaviors, communities and environment

                              "

                              https://www.cdc.gov/about/organization/mission.htm

                              Scandaleux !


                            • Gérard 13 mars 2019 14:13

                              @njama

                              "Notre mission consistant à fournir une information accessible et fiable pour appuyer la prise de décisions éclairées n’a jamais été plus importante ou utile pour améliorer la santé au niveau global. À l’ère d’Internet, les gens ont beaucoup plus facilement accès à l’information sur la santé, mais ils ont peu de moyens de savoir si cette information est exacte et impartiale. Nous n’acceptons aucun financement commercial ou conflictuel. Cela revêt une importance vitale pour nous, afin de pouvoir générer de l’information fiable faisant autorité et de travailler librement, sans être entravés par des intérêts commerciaux et financiers.

                              "

                              https://www.cochrane.org/fr/about-us

                              Central fund for donations

                              A central fund is available into which unrestricted donations can be made. There is no prohibition on donations from any single company or type of industry but that all funding of activity in Cochrane should be in keeping with Cochrane’s principles.



                              https://community.cochrane.org/organizational-info/resources/policies/conflict-interest-policy-cochrane-groups


                            • Gérard 13 mars 2019 14:18

                              @njama

                              "The human papilloma virus is a sexually transmitted virus that causes 99 per cent of invasive cervical cancer.

                              "

                              http://www.wales.nhs.uk/sitesplus/888/news/7815

                              Le NHS aussi est corrompu ?


                            • Gérard 13 mars 2019 15:25

                              @njama

                              "Plus de 99 % des cancers du col de l’utérus sont provoqués par une infection chronique par papillomavirus.

                              « 

                              La fondation contre le cancer en Belgique aussi est corrompue ?

                              https://www.cancer.be/les-cancers/facteurs-de-risque/le-papillomavirus-quest-ce-exactement

                              ***

                               »Une infection à VPH persistante, de type à risque élevé, est la principale cause de 99 % des cancers du col utérin.

                              « 

                              https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies-infectieuses/sante-sexuelle-infections-transmissibles-sexuellement/vph-hommes-questions-reponses.html

                              L’agence de santé publique du Canada aussi ?

                              ***

                               »HPV is the cause of cervical cancer more than 99% of the time

                              "

                              https://www.cancer.nsw.gov.au/cervical-screening-nsw/cervical-cancer/about-cervical-cancer

                              L’institut du cancer en NSW aussi est corrompue ?


                            • njama njama 15 mars 2019 09:38

                              @Gérard

                              Les rumeurs circulent beaucoup plus vite que les vérités... ce n’est pas nouveau.

                              Nulle part je n’ai parlé de corruption.
                              Il pourrait y avoir un vice de raisonnement qui fait prendre des vessies pour des lanternes smiley

                              dans le droit fil du MICROBISME de l’école pasteurienne, le coupable c’est forcément un micro organisme, « le virus » HPV, et d’ailleurs dans la saga VIH/Sida de la même épopée scientifique, le raisonnement n’est guère différent, on a identifié le coupable, même pas virus, mais rétrovirus, et on se lance dans une recherche effrénée d’un vaccin...


                            • Gérard 15 mars 2019 09:48

                              @njama

                              Les rumeurs circulent beaucoup plus vite que les vérités... ce n’est pas nouveau.

                              A qui le dites-vous !

                              Il pourrait y avoir un vice de raisonnement qui fait prendre des vessies pour des lanternes 

                              Eh bien, étalez votre savoir alors autrement que par d’hypothétiques hypothèses ...
                              Je prépare le popcorn et mes zygomatiques et j’vous lis ...


                            • njama njama 11 mars 2019 11:07

                              et donc puisque les infections HPV ne seraient que des co-facteurs que l’on retrouve que dans un certain nombre de cancers cervicaux, l’imposture intellectuelle est manifestement de prétendre qu’ils en seraient la cause, à 99 % selon une page de l’OMS.

                              En restant dans le petit monde des virus et de l’histoire de la médecine il y a eu un précédent assez analogue à ce genre de boniment statistique facilement contredit par le Dr Peter Duesberg  :

                              " Si le VIH est la cause du SIDA, pourquoi des milliers de victimes du SIDA n’ont-elles jamais été infectées par le VIH ? Le courant scientifique dominant a éludé cela. Pourquoi des centaines de milliers de personnes ayant été, depuis de nombreuses années, infectées par le VIH, sont-elles demeurées en parfaite santé ? "

                              propos que l’on pourrait pasticher en :

                              " Si le HPV est la cause du cancer du col de l’utérus , pourquoi des milliers de victimes de cancers cervicaux n’ont-elles jamais été infectées par le HPV ? Le courant scientifique dominant a éludé cela. Pourquoi des centaines de milliers de personnes ayant été, depuis de nombreuses années, infectées par le HPV, sont-elles demeurées en parfaite santé ? "


                              • Gérard 12 mars 2019 09:40

                                @njama

                                En restant dans le petit monde des virus et de l’histoire de la médecine il y a eu un précédent assez analogue à ce genre de boniment statistique facilement contredit par le Dr Peter Duesberg

                                Le Dr Peter Duesberg est un négationniste du lien VIH-SIDA et partisan de théories du complot et de théories pseudoscientifiques farfelues. Ca situe déjà son niveau de crédibilité.

                                Ensuite, personne n’a jamais dit que 1 infection HPV = 1 cancer.

                                Pouet pouet pouet ............


                              • Francis, agnotologue JL 12 mars 2019 11:37

                                Hier soir sur un plateau de télé, au sujet du retour de la rougeole et du scepticisme autour de la vaccination, Michel Cymes exhortait les journalistes à ne pas inviter « les gens qui ne pensent pas comme eux » !

                                 

                                Ce monsieur développe l’idée que si en France 40% des gens doutent de la vaccination contre 20% ailleurs, c’est parce que les journalistes les invitent trop souvent.


                                 Écoutez ça, à partir de 8’50".



                                  • Michel Cogné 25 mars 2019 14:55

                                    Peut-on reprocher à l’article du Dr. Delepine son ineptie ? sans doute non, ayons pitié d’une personne qui se déshonore et se ridiculise en clamant urbi et orbi des contre-vérités ! ou qui ne sait même pas lire les articles ou les statistiques qu’elle cite (et donne ainsi comme référence de sa prétendue « augmentation des cancers HPV chez les personnes vaccinées au Royaume-Uni »... une statistique qui montre au contraire déjà leur baisse de 24% en quelques années de vaccination !!!)...

                                    Quand M. Delepine ne cite pas des références à contresens, il passe son temps à se citer lui-même dans ses divagations précédentes... ! Tout cela ne serait pas grave s’il ne s’agissait que de bêtise crasse ou de personnes se posant en gourous de leurs disciples aveugles... Par contre, derrière tout cela, il y a des parents dupés qui croient de bonne foi des propos si bien rodés et fleurant bon le complotisme et la rumeur de bas étage... Derrière tout cela, il y a des enfants que leurs parents ne protègeront pas, ne vaccineront pas, parce qu’ils auront fait confiance aux propos de celui qu’ils ont cru prendre pour un médecin ou un scientifique honorable... Derrière tout cela, il y aura des malades, des morts, des deuils, de la souffrance humaine... Il est bientôt temps que les personnes soufrant de lésions et cancers induits par l’HPV alors qu’ils auraient pu en être protégés par un vaccin, considèrent l’idée de se pourvoir en justice pour impliquer la responsabilité des influenceurs mortifères qui ont un jour conduit des parents, de bonne foi, à mettre en danger la vie et l’avenir de leurs enfants.

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