Une simple histoire de « mots » peut-être, en guise de cache-sexe pour dominer, capitalisme, sexualité et mort et patin-couffin (?).
Faute de si peu à nous mettre sous la dent pour évaluer, disséquer et en juger, si l’on en revient à la métaphore du récit de le Genèse, on peut considérer que diverses langues l’ont dénaturé, sciemment ou non est une autre question.
« L’Éternel Dieu dit : Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui. » (Gn 2,8)
ah mais que voilà une Intention bienveillante que je ne saurais contredire tant cette grâce m’a touché personnelement. Elle anticipe la suite "Et l’homme donna des noms à tout le bétail, aux oiseaux du ciel et à
tous les animaux des champs ; mais, pour l’homme, il ne trouva point
d’aide semblable à lui."
Il est important de noter que l’homme est maitre du Verbe, il (peut) nomme(r) tout ce qui l’entoure.
Le Créateur, Ô divinement Magnanime (Il ne pourrait moins
) remédia à cette absence en faisant tomber « une torpeur sur l’homme »...
S’en suit à son réveil la stupéfaction de l’homme Adam que l’on connaît ! surgissement du Mystère, similitude, plénitude, reflet, miroir, complémentarité...