@Alina Reyes
@njama À quand remonte l’islamophobie ?
c’est très simple, à des histoires de rivalités... qui pourraient paraître presque enfantines si elles n’avaient eu des conséquences fatales.
des histoires de rivalités de conscience ou plus exactement de représentations du monde.
Il faut comprendre que l’homme depuis la nuit des temps essaie « d’ordonner le monde » à partir de ses perceptions, c’est bien le moins, il se questionne, regarde les astres,... Et nous appelons le résultat, la synthèse, une « cosmogonie » qui n’est jamais que notre représentation de l’univers, à l’instant T des sumériens, des égyptiens, des mayas,...
Nous sommes indécrottables nous ne pouvons nous empêcher n’y faire autrement, du moins une partie de nous-mêmes (tonal*) ne le peut, mais une partie aussi vitale et nécessaire que celle, « l’autre » (nagual*), qui nous anime dont ne savons à peu près fichtre rien...
La plupart du temps inconsciemment, mais il se peut consciemment aussi, nous savons très bien que cette partie (tonal) ne peut suffire à tout comprendre et expliquer. Nous en sommes conscients, au moins intuitivement, alors nous appelons « l’autre » partie (nagual), Dieu, Allah, ou autrement, bien que cela ne soit ni Dieu, ni Allah, ou autrement, car on ne peut pas poser un Nom sur cette partie de nous-mêmes.
Et qu’il en résulte qu’en l’état (de perception) nous nous ressentons d’une certaine manière « incomplet »...
tonal et nagual font référence à la façon dont un sorcier toltèque que Carlos Castaneda a fréquenté pendant des années au Mexique