@Alcyon
Et bien non, la libre circulation des personnes n’a pas été signée par tous les Etats membres, comme ,par exemple, la Grande Bretagne et l’Irlande.
De fort vents contraires sont contre vous. Il vous suffit d’examiner ce qui se passe à l’entrée de la Grande Bretagne et de l’Irlande pour comprendre qu’il n’y a pas de « libre circulation » de personnes avec les pays membres de l’espace Schengen. Vous montrez toutes vos défaillances mais bon, puisque vous le dîtes !
Avez vous recopiez 100 fois ’« l’Irlande et la G.B » n’appartiennent pas à l’espace Schengen ? Oui ou non ? Vous savez bien qu’au sein de l’UE certains pays n’ont pas voulu signer les accords de Schengen, vous savez bien, aussi, qu’au sein de l’UE certains pays ont refusé d’adopter l’euro.
Mais, si vous voulez développer vos arguments débiles, vous pouvez toujours écrire un article, voyez-vous. On regardera attentivement sa « notation ». Mon article sur la « frontière irlandaise » est noté à 4,44, tous des cons alors ?
Vous voudriez bien avoir l’amabilité de nous traduire ce qui vient ici après :
« La mise en œuvre des normes de l’espace Schengen implique l’élimination des contrôles frontaliers entre les membres de l’espace Schengen et un renforcement des contrôles frontaliers entre les membres de l’espace Schengen et ceux qui n’en sont pas membres (frontières dites « extérieures », c’est-à-dire les quatre États membres en attente de le mettre en œuvre, d’une part, et les États tiers, d’autre part) ».
« Tous les États de l’Union, sauf deux — l’Irlande et le Royaume-Uni — doivent, à terme, mettre en œuvre l’acquis de Schengen. »
« Deux États membres de l’Union – l’Irlande et le Royaume-Uni – négocièrent un opt-outsde l’espace Schengen et continuent d’effectuer des contrôles systématiques aux frontières avec les autres États membres de l’Union. »
La Grande Bretagne et l’Irlande font pourtant bien parti du marché unique ! Vous devriez vous faire assister et aider pour comprendre ce que vous lisez !