Le « Brexit » et le trompe-l’oeil de la frontière irlandaise
Le "problème" de la frontière irlandaise, en relation avec le "Brexit", que les faits démentent et contredisent, mais que l'on fait semblant d'ignorer.
Le « Brexit » et le trompe-l'oeil de la frontière irlandaise
Ni le Royaume-Uni, ni la République d'Irlande, n'appartiennent à l'espace Schengen. Il existe une frontière physique entre l'Irlande du Nord, ou Ulster, et la République d'Irlande. Le passage de cette frontière a été réglé par les accords du « Vendredi saint » en 1998. Ce ne sont donc pas les règles des accords de Schengen qui s'appliquent sur cette frontière. La circulation des personnes est libre entre l'Ulster et la République d'Irlande.
En revanche, la circulation des marchandises, entre le Royaume-Uni et la République d'Irlande, est déterminée par les règles en vigueur dans l'Espace Economique Européen auquel appartiennent ces deux Etats. De ce fait, il n'existe, actuellement, aucun contrôle des marchandises entre la République d'Irlande et le Royaume-Uni.
Lorsque le « Brexit » sera consommé, le Royaume-Uni n'appartiendra plus à l'EEE et le contrôle des marchandises sera rétabli aux frontières. La circulation des marchandises, entre la République d'Irlande et l'Ulster, sera soumise à des contrôles. En revanche, la circulation des personnes restera ce qu'elle était avant le « Brexit » puisque ce sont les accords du « Vendredi Saint » , « the good Friday agreement » en langue anglaise, ou encore « Comhaontú Aoine an Chéasta » en langue irlandaise, qui régissent la circulation des personnes entre les deux pays. De ce point de vue, il n'y a strictement aucun changement.
Un retour au contrôle des marchandises semble poser un problème majeur, en relation avec le « Brexit », si l'on en croit tous les médias. Et pourtant, une telle situation existe maintenant depuis 10 ans sur le territoire européen sans que cela pose la moindre des difficultés. En effet, la Suisse, appartient à l'espace Schengen depuis le mois de décembre 2008, mais ne fait pas partie de l'Union européenne, ni de l'Espace Economique Européen. La circulation des personnes est totalement libre entre les pays membres de l'Union européenne et la Confédération helvétique. En revanche, le contrôle des marchandises est toujours effectif entre la Suisse et les pays membres de l'Union européenne. Est-ce que cela pose un problème ? Aucun ! C'est un sujet dont personne ne parle parce qu'il ne pose aucune difficulté. Et pourtant, la Suisse possède une frontière de 1852km avec 5 pays : l'Allemagne, la France, l'Italie, l'Autriche et le Liechtenstein. La frontière irlandaise, quant à elle, sépare le Royaume-Uni de la République d'Irlande sur 499 kilomètres. Ce qui est possible entre la Suisse et 4 pays de l'Union européenne, ne serait donc pas envisageable entre deux pays seulement sur une portion de frontière quatre fois plus petite ? Cela ressemble à une vaste blague.
La Suisse fonctionne en passant des accords bilatéraux avec l'Union européenne. Des conventions sectorielles ont été signées entre la Suisse et l'Union européenne. Ce qui est possible entre la Confédération helvétique et l'Union européenne ne serait donc pas envisageable entre le Royaume Uni et l'Union européenne ? Est-ce que l'on se moque du monde ? N'y aurait-il pas une part de mauvaise volonté, chez quelqu'un, pour règler cette question ?
104 réactions à cet article
-
Enfin une analyse du sujet. Ca manque, que les asseliniens se coltinent avec le réél. Mieux vaut tard que jamais.
Pour prolonger le débat, je commencerai par dire 2 choses :
- Ce ne sont pas « les médias dominants » qui « inventent » un problème inexistant, ce sont les grands Bretons, qu’ils soient d’Irlande, d’Ulster ou d’Angleterre, qui se le posent.
- S’il n’y a pas de souci avec la Suisse, c’est peut-être parce qu’il n’y a pas de conflit territorial fort avec ses voisins. Il n’y a pas de mouvement jurassien favorable à une union avec la Suisse, pas plus que Bavarois ou Tyrolien, au contraire de l’Ulster, entre les « républicains » qui veulent à terme une réunification irlandaise, et les loyalistes au Royaume Uni.
- En ce sens, la question du Brexit n’a effectivement rien à voir directement avec l’Ulster et les accords du Vendredi Saint. Et personne n’en a d’ailleurs parlé lors du référendum de 2016. Sauf que la question de souveraineté posée par le Brexit ravive indirectement la question nord irlandaise latente. C’est d’ailleurs exactement le même problème avec l’Ecosse, qui était d’accord pour rester dans le RU... mais pas forcément pour un RU hors UE.
Alors, le nationalisme écossais : un nouveau faux-problème-inventé-par-les-médias-dominants ??
-
@Olivier Perriet
Si vous lisez le contenu des accords du « vendredi saint » vous verrez, comme j’ai pu le voir, que les Irlandais de la République d’Irlande, comme les Irlandais de l’Ulster, peuvent revendiquer l’une ou l’autre de ces 2 nationalités, et même posséder les 2. Il n’y a pas plus de conflit territorial entre la République d’Irlande aujourd’hui et l’Ulster, qu’entre la Suisse et l’Autriche.
La question « Nord irlandaise » reste attachée aux accords du « vendredi saint », au delà du Brexit. Avez vous entendu quelqu’un, quelque part, évoquer ces accords du « vendredi saint » et leur remise en question ? Oui ou non ?
-
@Legestr glaz
Diplomatie magazine a fait un dossier là dessus en septembre 2018.
Les loyalistes du DUP qui soutiennent Thérésa May (je devrait dire qui lui ont permis d’avoir la majorité) n’ont pas signé ces accords.
Et les héritiers de l’IRA n’en sont pas des chauds partisans et visent toujours une réunification.
-
@Olivier Perriet
ces 2 formations politiques sont aussi les principales en Ulster il semble.
il n’y a pas beaucoup de « modérés » près à de nouveaux compromis.
-
@Olivier Perriet
Merci beaucoup pour cette information et ce lien. Je m’y suis rendu mais faut-il commander le magazine pour avoir accès à l’article en question ? Connaissez-vous le n° du magazine qui contient ce dossier sur les loyalistes du DUP ?L’information que vous communiquez, à travers cet article, pourrait permettre de faire des mises en perspective cohérentes avec ce qui se passe dans le gouvernement May.
Merci encore.
-
@Legestr glaz
c’est le n° 94,
Oui c’est un magazine assez cher même si bimensuel.Sinon je vous scanne les pages puisque je l’ai précieusement gardé chez moi
-
@Olivier Perriet
Merci pour votre proposition, mais difficile à mettre en oeuvre. Je crois bien que je vais faire une petite dépense de 9,80€ en achetant ce n° 94.
-
@Olivier Perriet
Prisonniers de la langue de bois démocratique, les Anglais cherchent n’importe quel preéexte pour ne PAS réaliser ce Brexit dont ne veulent pas les élites, mais qu’on inopinément voté leurs culs-terreux.
Ils en trouveront certainement un.... Mais on aura gaspillé des miliiards, à faire semblant d’écouter la vois du peuple... ce qu’on ne fait evidemment jamais. La voie francaise de simplement ignorer la volonté ppulaire et de jouer sur les mots semble bien plus efficace. ...PJCA
-
@Pierre JC Allard
mort de rire :
après le nationaliste breton réfugié au Sénégal
le marxiste léniniste exilé au chili,voici le Québecquois donneur de leçons aux rosbeaf !
Non mais sérieusement, vous pontifiez... du haut de quoi au juste ?
-
@Pie 3,14
Vous devriez consulter un bon ophtalmologue. Je vous livre en pièce jointe l’article 50 du T.U.E.
Vous écrivez : « la relation future avec l’UE n’a même pas commencé à être débattue ». Dans l’article 50, déclenché par le Royaume-Uni, il est spécifiquement écrit : « l’Union négocie et conclut avec cet Etat un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union ».
Est-ce que c’est du Chinois pour vous ? Vous n’y connaissez vraiment rien et vous faites le paon, c’est bien ça, n’est-ce pas Pie 3,14, vous faîtes la roue !
Article 50- Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.
- L’État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union. Cet accord est négocié conformément à l’article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Il est conclu au nom de l’Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.
- Les traités cessent d’être applicables à l’État concerné à partir de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l’État membre concerné, décide à l’unanimité de proroger ce délai.
- Aux fins des paragraphes 2 et 3, le membre du Conseil européen et du Conseil représentant l’État membre qui se retire ne participe ni aux délibérations ni aux décisions du Conseil européen et du Conseil qui le concernent.
La majorité qualifiée se définit conformément à l’article 238, paragraphe 3, point b), du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. - Si l’État qui s’est retiré de l’Union demande à adhérer à nouveau, sa demande est soumise à la procédure visée à l’article 49.
-
@Alcyon
Je pense qu’effectivement vous n’y comprenez pas grande chose.
Négocier un accord dans le cadre de ses relations futures, c’est bien « négocier » un accord qui « permettra » des relations futures. Il s’agit donc bien de mettre en place un « accord » sur lequel on s’appuiera pour des relations futures. Est-ce que vous être de langue maternelle française ?
Je suis d’accord avec vous, chaque mot à son importance. Il faudrait que vous en teniez compte !
Concernant la frontière irlandaise vous n’avez pas non plus compris grand chose. Je vous explique. Une frontière sert à contrôler des « personnes » et des « marchandises ». Vous suivez jusque là ? Le contrôle des personnes ne sera pas modifié sur la frontière irlandaise puisque les accords du « vendredi saint » continueront à s’appliquer. C’est assez clair ?
Quant au contrôle des marchandises, effectivement, après le Brexit, la G.B n’appartiendra plus à l’EEE. Il faudra donc contrôler les marchandises sur cette frontière irlandaise. Mais cela peut se faire comme cela se pratique avec la Suisse. Figurez-vous que la Suisse ne contrôle pas les personnes en provenance des pays de l’UE mais contrôle bien les marchandises. Elle fait ça depuis plus de 10 ans et cela ne pose aucun problème. Vous devriez mettre vos neurones en ordre de marche. Si vous voulez passer pour un parfait imbécile, il faut continuer comme vous le faîtes. -
@Alcyon
Et pan, les immigrés qui débarquent à lampédusa se retrouvent en Suisse. C’est dingue non ? Il faudrait mieux réfléchir Alcyon ! Savez vous que l’UE contrôle uniquement ses frontières extérieures ? Vous ne le saviez pas ? Je vous l’apprends, au moins vous n’aurez pas perdu votre temps ici.
Et bien, tu vas en Italie, tu traverses la frontière et hop, tu es en Suisse ! Purée, c’est fou comme les européistes arriveraient à expliquer que la guerre de Corée, c’est de la faute, à qui déjà ?
https://www.google.fr/maps/place/Lampedusa/@40.2511228,4.2141059,4.91z/data= !4m5 !3m4 !1s0x13043bd4ad59b6b7:0xf38312844c6b10db !8m2 !3d35.5086218 !4d12.59292
-
@Alcyon
Ce que vous ne comprenez pas, alors je l’explique à nouveau, c’est que ni l’Irlande ni la Grande Bretagne n’appartiennent à l’espace Schengen. Ces deux pays « contrôlent » donc leurs frontières extérieures. Vous comprenez ça quand même non ? Pas Schengen = contrôle aux frontières. C’est absorbé ?
La frontière irlandaise n’est pas une frontière extérieure mais une frontière intérieure ! Vous comprendre ?
Lorsque vous écrivez : « Ben oui, je suis certain que le RU sera heureux de laisser entrer tout le monde dans le RU en provenance d’Irlande », vous pas avoir compris qu’Irlande contrôler ses frontières extérieures. C’est dommage ce manque de lucidité !
Une fois sortie de l’UE, la Grande Bretagne ne sera toujours pas dans l’espace Schengen et l’Irlande, qui sera toujours dans l’UE, sera aussi toujours en dehors de l’espace Schengen. Alors la question que vous devriez vous poser, mais que vous occultez, est bien celle de savoir « d’où » viendrait tout ce monde arrivant d’Irlande pour aller en Grande Bretagne à travers la frontière irlandaise. Parce que, figurez-vous, l’Irlande, qui est hors de l’espace Schengen, contrôle ses frontières extérieures et continuera à le faire ! Vous comprendre ?
-
@Alcyon
Vous avez beaucoup de difficultés à comprendre. En quittant l’UE la frontière devient une frontière extérieure ? Ah bon ? Et bien non, elle reste ce qu’elle est de point du vue de la libre circulation des personnes parce que ce sont les accords du « vendredi saint » qui s’appliquent sur cette frontière. Et ce n’est pas en écrivant en majuscule que vous aurez raison. Vous ne comprenez pas la différence entre frontière intérieure et frontière extérieure.
Cette frontière sera une frontière contrôlée du point de vue des marchandises puisque la G.B aura quitté l’EEE. En revanche, la circulation des personnes continuera très exactement comme avant puisque ni l’Irlande ni la GB n’appartiennent à l’espace Schengen. Vous me recopierez 100 fois : l’Irlande et la G.B n’appartiennent pas à l’espace Schengen.La situation est la même qu’avec la Suisse. Pourquoi ? Parce que la Suisse appartient à l’espace Schengen ce qui garantit la « libre circulation » des personnes entre les pays membres de cet espace. Vous comprenez j’espère.
La frontière irlandaise, quant à elle, autorise la libre circulation des personnes entre la République d’Irlande et la GB grâce aux accords du « vendredi saint ».
D’un côté nous avant la libre circulation des personnes, entre les pays ayant signé les accords de Schengen, de l’autre, nous avons les pays non Schengen, où les contrôlent aux frontières existent. Mais, entre l’Irlande et l’Ulster, il y a « libre circulation » des personnes, de part les accords du « vendredi saint ». Et que la GB soit dans l’UE ou hors UE, la libre circulation des personnes consécutive aux accords du « vendredi saint » continueront de s’appliquer. Même si Alcyon ne le veut pas !
Si vous ne comprenez pas, demandez moi, je vous expliquerai encore, je suis particulièrement patient, même avec ceux qui ne comprennent pas grand chose.
-
@Alcyon
Votre mauvaise fois n’a d’égale que votre stupidité.
1°) prenez en compte que ni l’Irlande ni le Royaume-Uni n’appartiennent pas à l’espace Schengen.
2°) Ceci implique que ces deux pays contrôlent leurs frontières au regard des pays tiers en ce qui concerne la « circulation des personnes ».
3°) Qu’il existe une différence fondamentale, que vous ignorez, entre contrôle des marchandises et contrôle des personnes.
4°) Que l’Irlande et la G.B appartenant à l ’EEE ne contrôlent pas les marchandises en provenance de l’Union européenne.
5°) Mais qu’en revanche, l’Irlande et la G.B contrôlent les personnes en provenance de l’UE.Je récapitule : L’irlande et la GB contrôlent les personnes en provenance de l’UE, parce que ces deux pays ne sont pas dans Schengen. Ces deux pays contrôlent d’une façon identique des personnes en provenance de France qu’en provenance du Mali. En revanche, ces deux pays, appartenant à l’EEE, ne contrôlent pas les marchandises. Est-ce que je dois encore le répéter pour que vous le compreniez ?
Et l’article que vous me soumettez concerne la circulation de « ’marchandise » en l’occurence d’animaux. Vous êtes totalement à côté de la plaque !
Extrait de l’article traduit : « L’UE sera vigilante afin de se protéger contre une épidémie post-Brexit. Et cela impliquera un contrôle strict des mouvements d’animaux du Royaume-Uni et de tout mouvement d’animaux de la frontière irlandaise. »
-
@Alcyon
Vous écrivez : « Si le RU quitte l’UE, le RU quite l’Espace Economique Européen, gugusse. Donc contrôle des marchandises. Que si le RU quitte l’UE, elle quitte le marché unique et la libre circulation. ».
Je pense que vous ne savez même pas lire, et ça, c’est grave. Peut être même vous n’avez que survolé mon article. Parce que, en effet, est-ce que je dis autre chose que la Grande Bretagne va quitter l’EEE ? Je ne fais que dire ça, mais vous, ne l’avez même pas remarqué !
Ce que je signale c’est que le Royaume-Uni, post Brexit, ne sera plus dans l’EEE. Est-ce que vous seriez assez honnête pour le reconnaitre ? Cela veut dire que les « marchandises » seront contôlées, comme elles le sont à l’entrée du territoire suisse. Est-ce que vous comprenez ça ?
En revanche, la sortie de la G.B de l’UE n’affecte pas le contrôle des « personnes » (j’espère que vous faites la différence entre un être humain et une vache) sur la frontière irlandaise. La libre circulation des personnes restera ce qu’elle est après le Brexit, parce que les accords du « vendredi saint » continueront à s’appliquer. Cela se passera très exactement comme sur la frontière suisse. La libre circulation des « personnes » est de mise, puisque les accords de Schengen le prévoient ainsi. Le contrôle des marchandises reste effectif sur la frontière suisse. Il y aura une similitude parfaite entre les frontières suisses et l’UE et la frontière irlandaise entre la République d’Irlande et l’Ulster. Dans les 2 cas il y aura bien « contrôle des marchandises » et « libre circulation des personnes ». Si vous n’êtes pas capable de comprendre ça, Alcyon, il faut passer à autre chose, vous devriez rejoindre un club de joueurs de billes.
Je vous signale que le présent article est actuellement noté 4,25 sur 5, ce qui veut dire qu’il est assez bien documenté et circonstancié. Ecrivez donc un article pour contredire le mien, je voterai pour sa parution. Mais, il me semble bien qu’en matière d’article vous soyez encore puçeau.
-
@Alcyon
C’est seulement un fait établi et non contesté par personne. Actuellement, la circulation des personnes est libre sur la frontière irlandaise, entre la République d’Irlande et l’Ulster.C’est quel genre d’accord qui règle cette libre circulation des personnes actuellement, vous le savez ? Vous niez la réalité tout simplement !
-
@Alcyon
Répétez après moi : ni l’Irlande ni la GB ne sont dans l’espace Schengen. Ce qui implique que votre commentaire de libre circulation UE est une véritable pantalonnade !
Encore une fois, je comprends que votre bêtise l’emporte sur le reste. Vous n’êtes pas capable d’enregistrer le fait que sur la frontière irlandais les règles de l’UE pour la circulation des personnes ne s’appliquent pas. Vous êtes véritablement trop con pour avoir noté « libre circulation UE », il faut vraiment en tenir une bonne couche !
Alors, selon vous, il existe un contrôle des personnes sur la frontière irlandaise ? A nier la vérité on passe pour un débile !
Ni la Roumaine ni la Bulgarie n’appartienent à l’espace Schengen. Ces deux pays ont signé un protocole pour déterminer la manière de circuler entre la frontière de ces 2 pays. La Roumaine et la Bulgarie sont des pays membres de l’UE mais n’appartiennent ni l’un ni l’autre à l’espace Schengen mais font tous les deux partie de l’EEE ! Alors pourquoi cet accord si, comme vous le pensez (injustement) c’est la « libre circulation UE » qui s’applique ?
-
@Alcyon
Et bien si, les accords du « vendredi saint » implique la libre circulation des personnes. D’ailleurs c’est bien le cas. Ce sont aussi les accords conclus entre la Roumanie et la Bulgarie qui règlent la circulation des personnes sur cette frontière. Contrairement à ce que vous écrivez, ce ne sont pas les accords de l’UE, et pourtant, la Roumanie et la Bulgarie sont bien dans l’EEE, la Grande Bretagne et l’Irlande, sont dans l’EEE également. Pas de bol pour vous, on peut absolument comparer ce qui se passe dans ces 4 pays, pris 2 par 2 ! Ainsi :— En Roumaine et en Bulgarie, qui appartiennent tous les 2 à l’EEE, il n’y a pas de contrôle de marchandise sur la frontière. En revanche, un accord établi entre ces deux pays fixe la manière dont la circulation des personnes est contrôlée.
— En Ulster et en République d’Irlande, qui appartiennent tous les 2 à l’EEE, il n’y a pas (pour le moment) de contrôle de marchandise sur la frontière. En revanche, un accord établi entre ces deux pays, fixe la manière dont la circulation des personnes est contrôlée.
— En Suisse, pays appartenant à l’espace Schengen, la circulation des personnes est libre avec les autres pays de cet espace. En revanche, la Suisse n’appartenant pas à l’EEE, les marchandises sont contrôlées sur la frontière.
Comme je vous ai mis un lien concernant le contrôle des personnes sur la frontière roumano-bulgare, je voudrais que vous alliez expliquer aux dirigeants de ces 2 pays qu’ils sont bêtes à manger du foin pour avoir convenu d’un accord sur la circulation des personnes, alors qu’ils appartiennent tous les deux à l’EEE. Décidément, ces dirigeants roumains et bulgares sont beaucoup plus idiots que vous. Vous devriez leur écrire pour leur expliquer que ce sont les règles européennes qui s’appliquent à la circulation des personnes à la frontière roumano-bulgare. Vous n’aurez pas du tout l’air d’un con !
-
@Legestr glaz
Londres s’est engagé à ne pas réinstaurer de frontière entre l’Irlande du Nord et la République d’Irlande. En effet, la disparition de la frontière de 500 kilomètres entre les deux Irlandes, qui ont connu plus d’un demi-siècle de conflit civil et religieux, est un acquis des accords de paix du Vendredi saint, en 1998, et son retour pourrait fragiliser la paix.Mais, Alcyon, vous pouvez le contester évidemment !
-
@Alcyon
Je n’ai absolument rien à vous prouver. Par exemple, prouvez moi que les licornes n’existent pas. Gros bêta va !
-
@Alcyon
Un tâche comme moi vous peinturlure le museau et vous met le nez dans votre caca. Tout le monde se trompe mais pas vous. Je vous ai mis l’article de ’l’immonde« en ligne. Vous savez lire ?
Et vous savez pourquoi vous avez tort ? Tout simplement parce que la libre circulation des personnes est de mise depuis 1998 jusqu’à ce jour sur la frontière irlandaise. Ca, c’est un fait incontestable. Mais pour vous, c’est l’appartenance de l’Irlande et de la G.B à l’EEE qui autorise cette libre circulation des personnes. Vous êtes tellement bouché que vous n’arrivez pas à comprendre que l’appartenance à l’EEE autorise la libre circulation des »marchandises« et non des personnes. Je vous ai proposé d’examiner le cas de la Roumanie et de la Bulgarie, mais vous n’en avez rien à faire, vous restez fixé dans votre débilité.
Dans le lien que vous proposez il est écrit ceci : »(vi) reconnaître le droit de naissance de tous les citoyens d’Irlande du Nord à s’identifier et à être acceptés en tant qu’irlandais ou britanniques, à leur guise, et à confirmer en conséquence que leur droit d’être à la fois britannique et irlandais est accepté par les deux Gouvernements et ne seraient affectés par aucun changement futur du statut de l’Irlande du Nord."
Savez vous pourquoi il n’y a pas de contrôle à la frontière entre les habitants du Berry et du Limousin en France ? Parce que les habitants du Berry sont Français et que les habitants du Limousin le sont aussi. Il n’y a pas de contrôle de personne à la frontière irlandaise parce que les habitants de l’Ulster sont aussi de nationalité Irlandaise, ce qui est accepté par les 2 gouvernements.
-
@Alcyon
Est-ce qu’il vous arrive de réfléchir, même par moments ? Alors, procédons, comme avec les enfants, par étapes.
— Est-ce que, oui ou non, il existe des contrôles de personnes à la frontière irlandaise ? La réponse est non ! Il n’y a pas de contrôle physique de personne sur la frontière irlandaise !
— D’où la deuxième question. Pourquoi ? En tous les cas, ce n’est pas l’appartenance de l’Irlande ou de l’Ulster à l’EEE qui vaut ça. Parce que l’appartenance à l’EEE évite le contrôle des marchandises, pas des personnes !
Il se trouve que les personnes demeurant en République d’Irlande et les personnes habitants en Ulster, ont, à la suite des accords « du Vendredi saint », un. statut « égal » du point de vue de la nationalité. Il est donc, comme avec la frontière entre le Berry et le Limousin, totalement stupide de contrôler les personnes. Quelle preuve pourrais-je vous apporter de la libre circulation des personnes à la frontière du Berry et du Limousin, à part vous dire qu’il s’agit d’une frontière intérieure qui sépare des gens ayant la même nationalité ! C’est très exactement le cas sur la frontière irlandaise. Mais ça, vous peinez à le voir et à l’appréhender. -
@Alcyon
C’est vrai ça que les deux pays ont un accord pour éviter les contrôles en plus de la libre circulation ? Et de quel accord s’agit-il ? Par ailleurs, vous parlez de « libre circulation », plus exactement « en plus de la libre circulation », en vertu de quoi cette « libre circulation ? Dîtes le nous si vous le savez.Et qu’est-ce que j’écris depuis le début pour répondre à vos différents posts ? Qu’il n’y a pas de contrôle des personnes sur la frontières irlandaise. Vous dites très exactement la même chose que moi ! C’est totalement dingue que vous ne vous en aperceviez même pas ! Et la sortie de l’EEE de la G.B n’aura aucune incidence sur ces contrôles de personne puisque l’EEE définit une »union douanière« c’est à dire une absence de contrôle des »marchandises" mais pas des personnes !
-
@Alcyon
Mais qu’est-ce que vous êtes con pour écrire : « étant membres de l’UE, les citoyens irlandais et Nord-irlandais possèdent la libre circulation entre eux ».Vous n’avez pas de lumière à tous les étages. L’appartenance à l’UE ne signifie pas « libre circulation des personnes ». Non et non ! La libre circulation des personnes, dans les pays de l’UE, est réglée par les accords de Schengen. Vous savez ce que sont ces accords ?
Mon article « explique » que l’Irlande et la GB n’appartiennent pas à l’espace Schengen et que, pour voie de conséquence, la libre circulation des personnes prévue par les accords de Schengen ne s’applique pas dans ces 2 pays.
Dans le document joint, il y a une belle image que même un enfant pourrait comprendre. Lisez, documentez vous et revenez sur terre. Je pense que vous n’avez pas fait votre devoir de punition à savoir recopier : ni l’Irlande, ni la Grande Bretagne n’appartiennent à l’espace Schengen !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Espace_Schengen« La mise en œuvre des normes de l’espace Schengen implique l’élimination des contrôles frontaliers entre les membres de l’espace Schengen et un renforcement des contrôles frontaliers entre les membres de l’espace Schengen et ceux qui n’en sont pas membres (frontières dites « extérieures », c’est-à-dire les quatre États membres en attente de le mettre en œuvre, d’une part, et les États tiers, d’autre part) ».
« Tous les États de l’Union, sauf deux — l’Irlande et le Royaume-Uni — doivent, à terme, mettre en œuvre l’acquis de Schengen. »
Quant à votre lien, je l’ai déjà commenté en vous disant que les citoyens de l’Irlande du Nord et ceux de la République d’Irlande avaient strictement les mêmes droits et que la frontière irlandaise n’existe pas du point de vue de la circulation des personnes depuis les accords du « Vendredi saint », comme entre le Limousin et le Berry, voyez-vous ! -
@Legestr glaz
Pour vous montrer combien votre position de « libre circulation » parce que « appartenant à l’UE » est d’une débilité sans nom !
« Deux États membres de l’Union – l’Irlande et le Royaume-Uni – négocièrent un opt-outs de l’espace Schengen et continuent d’effectuer des contrôles systématiques aux frontières avec les autres États membres de l’Union. »
Wikipédia dit exactement l’inverse de vous ! Vous devriez faire modifier cette rubrique à la lueur de vos informations !
-
@Alcyon
Et bien non, la libre circulation des personnes n’a pas été signée par tous les Etats membres, comme ,par exemple, la Grande Bretagne et l’Irlande.De fort vents contraires sont contre vous. Il vous suffit d’examiner ce qui se passe à l’entrée de la Grande Bretagne et de l’Irlande pour comprendre qu’il n’y a pas de « libre circulation » de personnes avec les pays membres de l’espace Schengen. Vous montrez toutes vos défaillances mais bon, puisque vous le dîtes !
Avez vous recopiez 100 fois ’« l’Irlande et la G.B » n’appartiennent pas à l’espace Schengen ? Oui ou non ? Vous savez bien qu’au sein de l’UE certains pays n’ont pas voulu signer les accords de Schengen, vous savez bien, aussi, qu’au sein de l’UE certains pays ont refusé d’adopter l’euro.
Mais, si vous voulez développer vos arguments débiles, vous pouvez toujours écrire un article, voyez-vous. On regardera attentivement sa « notation ». Mon article sur la « frontière irlandaise » est noté à 4,44, tous des cons alors ?
Vous voudriez bien avoir l’amabilité de nous traduire ce qui vient ici après :
« La mise en œuvre des normes de l’espace Schengen implique l’élimination des contrôles frontaliers entre les membres de l’espace Schengen et un renforcement des contrôles frontaliers entre les membres de l’espace Schengen et ceux qui n’en sont pas membres (frontières dites « extérieures », c’est-à-dire les quatre États membres en attente de le mettre en œuvre, d’une part, et les États tiers, d’autre part) ».
« Tous les États de l’Union, sauf deux — l’Irlande et le Royaume-Uni — doivent, à terme, mettre en œuvre l’acquis de Schengen. »
« Deux États membres de l’Union – l’Irlande et le Royaume-Uni – négocièrent un opt-outsde l’espace Schengen et continuent d’effectuer des contrôles systématiques aux frontières avec les autres États membres de l’Union. »
La Grande Bretagne et l’Irlande font pourtant bien parti du marché unique ! Vous devriez vous faire assister et aider pour comprendre ce que vous lisez ! -
@Alcyon
Justement Alcyon, ce que vous ne savez pas c’est que la « libre circulation » c’est, évidemment, ne pas montrer « sa carte d’identité » ! La libre circulation c’est ne rien montrer du tout ! Bien sur que les Français ont accès au territoire de la Grande Bretagne, comme ils peuvent aller en Islande munis de leur titre d’identité.En matière de pitreries vous en connaissez un rayon. Au fait, demandez donc à ces migrants agglutinés à Calais pour quelles raisons ils ne vont pas en Grande Bretagne si « la libre circulation » est de mise grâce au « marché unique » ? Plus con que vous, c’est pas possible. Vu le nombre de vos posts qui continuent de proférer les mêmes âneries, il serait sage pour vous de réfléchir.
Je résume : puisque l’Irlande et la Grande Bretagne sont des îles, et que, de surcroît, ces 2 pays ne sont pas dans l’espace Schengen, les frontières maritimes, aéroportuaires et portuaires sont des frontières « extérieures ». Si vous arrivez dans ces deux pays, par ces points, vous êtes « contrôlés ». Si vous allez de France en Allemagne, ou en Italie, vous n’êtes pas « contrôlés » ! C’est enregistré Alcyon ou pas ? La frontière irlandaise est une frontière « intérieure », sur laquelle n’existe aucun contrôle. Vous pigez ? Si vous allez de Dublin à Belfast et que vous franchissez la frontière irlandaise, vous ne serez pas contrôlé. La frontière irlandaise est une frontière « intérieure ». Si vous allez de France en Belgique, vous ne serez pas controlé. La frontière franco-belge est un frontière « intérieure » à la suite des accords de Schengen. Vous comprendre ?
-
@Alcyon
Une seule question pour vous Alcyon pour montrer comme vous êtes stupide.
Si l’on doit admettre que le marché unique, auquel appartient l’Irlande et la G.B, mais aussi la France, l’Allemagne et l’Italie, à quoi servent donc les « accords de Schengen » ? A votre avis Alcyon, en présence du marché unique et de ses « 4 libertés » à quoi servent les accords de Schengen, hormis à vous faire passer pour une triple buse ?
-
@Alcyon
Pourquoi des accords Schengen alors que, selon vous, l’union douanière autorise les 4 libertés ? C’est vraiment ballot de ne pas avoir la réponse.Par ailleurs, pour vous situer les choses, durant plus de 10 années ma spécialité professionnelle était la mise en oeuvre des accords Schengen. C’est vous dire comme vous avez raison et que je n’y comprends que goutte. Pauvre Alcyon, je compatis, c’est vraiment tout ce que je peux faire pour vous.
Pourquoi parlez vous des 4 libertés liées à l’union douanière ? Si tel était le cas, si la liberté de circulation était totale dans l’union douanière, et bien il n’y aurait pas d’accords Schengen. Il se trouve que de votre propre aveu il y a des contrôles de personnes à l’arrivée sur le sol britannique et non à l’arrivée en Allemagne ? Il y a un problème avec les 4 libertés en G.B ?
Il est rare de voir quelqu’un d’aussi bouché que vous. La G.B et l’Irlande n’appartiennent pas à l’espace Schengen, les personnes qui voyagent vers ces deux pays sont contrôlées. En revanche, la frontière irlandaise est une frontière intérieure et il n’y a aucun contrôle. C’est vraiment dur à avaler pour vous n’est-ce pas ? Passer pour un con, c’est difficile, mais vous allez vous en remettre.
Si la frontière irlandaise est une frontière « intérieure » cela n’est pas dû au fait de l’union douanière. Je vais vous révéler un petit secret que vous ne répéterez pas, n’est pas : les douaniers contrôlent les marchandises, c’est leur vocation. S’ils contrôlent les personnes, c’est uniquement en lien avec les marchandises que transportent celles ci. Le contrôle des personnes est diligenté par des policiers. Vous vous coucherez moins bête ce soir, c’est déjà ça.
-
@Alcyon
Non « la libre circulation des personnes » ce n’est pas le droit d’aller en GB avec sa carte d’identité. Le fait d’aller en GB avec ou sans passeport, avec ou sans visa, est réglé par des accords de pays à pays.
La libre circulation serait donc de mise, selon vous, pour aller en Turquie, pays dans lequel la CNI est suffisante ? Je comprends que dans votre tête il y ait une véritable « confusion ».
Vous êtes tellement stupide que vous ne voyez pas que c’est ce qui dit mon article.
Je dis dans celui-ci que la frontière irlandaise est une frontière « intérieure » qui ne changera pas de statut, du point de vue du contrôle des « personnes », lorsque la G.B aura quitté l’EEE et l’union douanière. C’est le but de l’article figurez vous.Et je fais le lien avec ce qui se passe sur la frontière suisse. Le contrôle des personnes n’a pas lieu, du fait de l’appartenance de la Suisse à l’espace Schengen, la frontière suisse est une frontière intérieure, mais le contrôle des marchandises est effectif puisque la Suisse n’appartient ni à l’EEE ni à l’union douanière. Je me demande ce qui pose un problème pour vous, dans votre petite, toute petite caboche ?
Voyez vous, par votre attitude vous cherchez à affirmer que le soleil tourne autour de la terre. Malgré toutes les explications vous ne parvenez pas à faire la lumière dans votre esprit. On appelle ça « être borné » !
-
@Alcyon
Répétez après moi : la frontière irlandaise est une frontière « intérieure » pour la République d’Irlande et pour la Grande Bretagne. C’est un fait que vous ne pouvez pas contester. Si ? Vous contestez le fait que la frontière irlandaise est une frontière intérieure pour ces deux pays ? Dîtes le nous.Les frontières maritimes, portuaires et aéroportuaires sont des frontières « extérieures » pour la République d’Irlande et la Grande Bretagne. Est-ce que vous contestez ce fait ? Dîtes le nous.
Après avoir fait le point sur ces 2 situations nous pourrons reprendre notre conversation. Mais pour cela il faut que vous ayez les idées claires sur cette notion de frontière « intérieure » et « extérieure ». C’est une notion qui semble vous échapper. Il faut que je progresse doucement avec vous comme avec les enfants pour ne pas risquer l’implosion de vos neurones en plein vol, enfin, les quelques derniers qui vous restent. Mais, vous savez, vous pouvez encore faire fonctionner ces dernières cellules neuronales à votre profit. A condition de les utiliser d’une manière adéquate.
A vous lire.
P.S : le marché « unique » et ses 4 libertés. Ouvrez bien vos yeux, les deux !
« La mobilité des personnes est l’un des domaines d’intervention de l’Union européenne découlant de l’une des quatre libertés. En effet, depuis l’existence de l’espace Schengen, de nombreuses dispositions ont été prises. Parmi celles-ci se trouvent notamment le domaine de la santé avec la carte européenne d’assurance maladie, ou l’éducation,
A votre avis Alcyon, vous le »spécialiste« , qu’est-ce que sous-entend la phrase : » depuis l’existence de l’espace Schengen" ? Vous en avez une toute petite idée ?
2ème P.S :
Les normes de l’espace Schengen ont été absorbées par le droit de l’Union européenne grâce au traité d’Amsterdam en 1999, bien que l’espace comprenne aussi quatre États non-membres de l’Union européenne — Islande, Liechtenstein, Norvège, Suisse — et de facto trois micro-États européens — Monaco, Saint-Marin, et le Vatican. Tous les États de l’Union, sauf deux — l’Irlande et le Royaume-Uni — doivent, à terme, mettre en œuvre l’acquis de Schengen.
-
@Alcyon
C’est tout fait juste cette fois, vous avez mis en plein de le mille ! Bravo pour votre réponse argumentée ! -
@Alcyon
Je me dois de reconnaitre que vos arguments font mouche. Vous avez ce don naturel d’expliquer des choses compliquées. Merci pour le détail de votre argumentation. Vous avez dû beaucoup travailler pour en arriver à ce niveau de connaissance et de compétence. Régalez nous encore de vos articles si pertinents. Par avance merci. -
@Alcyon
Merci Alcyon de nous apporter ces informations capitales que beaucoup ignorait. Heureusement que vous êtes là pour nous ouvrir les yeux. C’est un vrai sacerdoce que de mettre ainsi ses spectaculaires connaissances à la portée des ignorants. Surtout ne lâchez rien, continuez à être vous même, vous êtes unique et je n’exagère pas !
-
@Alcyon
Votre dernier compliment me touche beaucoup, j’y suis très sensible parce que, vous savez, pour moi, votre parole compte énormément. Le moindre de vos propos est source d’exactitude alors, si vous le dîtes, c’est que cela doit être vrai.
Je voudrais juste connaitre vos délais pour la parution de votre prochain article, que je ne manquerai pour rien au monde. Vos argumentaires sont toujours si intéressants. -
@Alcyon
Ces éloges me vont droit au coeur. Je vois bien que vous faîtes des copiés — collés mais, ce que vous écrivez est tellement intéressant, et forgé à la source du bon sens, que cela vaut la peine de les ré-éditer. Merci encore pour votre conclusion qui démontre votre parfait sens de l’à propos et l’originalité de vos écrits. Je ne pensais pas avoir affaire à quelqu’un d’aussi inventif. Je m’étais trompé, nul n’est parfait !
-
@Alcyon
Je suis con mais pas vous, ce qui fait toute la différence n’est-ce pas ? J’aime beaucoup être « votre » con. Cela me fait vraiment plaisir. -
@Alcyon
Merci merci et encore merci pour faire vivre mon article. -
@Alcyon
C’est vrai, avec plus de 4000 vues en une semaine et un score de 4,45 sur 5, mon article est une véritable daube. En plus, si je le compare avec les vôtres, j’en deviens rouge de honte.Une fois de plus, vous avez l’argument qui fait mouche. Vous êtes irremplaçable dans de rôle de monsieur propre. Je vais, pour vous êtes agréable, tenter de m’améliorer et de me rapprocher de vos articles si pertinents. Je sais que ce n’est pas gagné, mais je vous promets d’essayer.
-
@Alcyon
Merci pour tous ses renseignements. En plus, je ne savais pas que j’étais con. Votre information est de première bourre. Encore merci. Et sachez que, même con, je suis un mec sympa. Je pourrais vous bloquer des commentaires. Voyez vous, la manière que vous avez de vous exprimer qui ne mène nulle part. Hormis ce jugement sur ma personne, vous n’apportez strictement rien au débat d’idée. -
@Alcyon
Je lis votre première phrase et je me’ marre. Retournez à l’école !
-
@Legestr glaz
Vous ferriez quand-même œuvre utile en virant ce trou du cul qui encombre le paysage mais n’apporte pas le moindre argument, que ce soit sur cet article ou sur d’autres...
Enfin, vous êtes seul maître à bord,... mais je vous garantie que je n’aurais pas les mêmes égards s’il s’agissait de mon article...
Bien à vous
-
La différence, c’est que la suisse, hormis le minuscule lichenstein, qui est un paradis fiscal, est entouré non de mers, mais de pays appartenant à L’UE. Les frontières extérieures de l’europe ne sont pas celles de la suisse, mais de sa couronne extérieure, Italie et Grèce, par exemple.
Rien de comparable avec l’Irlande du nord, qui en cas de Brexit dur serait externé totalement des accords européens, de la même nature que le royaume uni à laquelle elle appartient ; La frontière se trouve donc entre les deux Irlande, et l’Irlande du nord peut effectivement devenir une porte d’entrée ouverte des pires produits de la mondialisation sauvage, si une frontière dure n’est pas remise en place. Une façon bien sûr pour l’Angleterre d’importer des marchandises d’UE, en les faisant passer pas l’Eire, sans payer de taxes, et d’exporter de la même façon sauvage et faussement naïve, en jouant sur l’histoire : Pas question de remettre une frontière entre les deux Irlande, ce serait faire revenir le risque de conflit
Je pense que les technocrates européens ne sont pas naïfs à ce point et vont mettre les irlandais du sud devant leur responsabilité au délà de la démagogie. Toujours cette histoire de beurre et de crémière qu’on se met dans la poche.
-
@velosolex
En gros c’est la faute des îles Britanniques,
C’est la faute de l’Irlande, qui est trop près de la Grande Bretagne, avec une frontière qui la coupe en 2.
C’est la faute de l’Histoire et de la Géographie.Tout ça c’est la faute des faux naïfs.
Une solution :
déménager les Îles plus loin ?
faire payer les grecs jusqu’à ce qu’ils deviennent des allemands ?Une 3e solution moins idiote peut-être ?
-
@Olivier Perriet
Je n’ai même pas parlé du statut particulier que la suisse a avec l’europe, suite à des accords, ce qui est loin d’être acté pour les britannique.
Les britanniques ont un sentiment particulier, lié à leur histoire et à leur insularité, leur ex empire. Des choses qui ont entretenu un mirage, et l’espoir assez ridicule, qu’ils peuvent de nouveau faire revivre le commenwealth….
Cela conjugué a amené à ce calamiteux brexit. Maintenant il leur faut assumer, et c’est dur. Je ne comprend guère vos propos, qui semble suggérer que ce choix de départ leur a été imposé. -
@velosolex
Il est bien plus facile de contrôler l’accès d’un port qu’une frontière terrestre.C’est juste incroyable ce que vous dîtes. Pourquoi les « pires produits » ne rentreraient-il pas en Suisse alors qu’ils le pourraient en Ulster ou en République d’Irlande ? Pourquoi la Suisse ne livre t-elle pas des marchandises, subrepticement, sans droit de douane, à l’Italie, qui pourrait les refourger dans l’U.E ? Ce que vous dîtes ne résiste pas à une analyse rationnelle et cohérente.
C’est juste incroyable ce que vous dîtes. La G.B entourée de mers, serait plus difficilement contrôlable que la Suisse entourée de frontières terrestres ?
Le contrôle des marchandises est une affaire commerciale liée principalement à des droits de douanes. Il y a aussi l’aspect sécurité sanitaire mais les Britanniques ont déjà mis toutes les normes en place. Ceci n’est donc pas un problème. Véritablement, ce qui reste à régler c’est « qui paie quoi », qui a accès à quel marché et comment. Cette affaire a été résolue depuis longtemps entre la Suisse et l’UE alors, pourquoi ne pas copier les accords commerciaux qui lient la Suisse et l’UE ? Où est le problème ?
-
@Legestr glaz
Où est le problème ?
Le problème est que la GB a décidé souverainement de quitter l’UE. Que l’UE pour limiter les pertes financière de ce départ ont proposé un accord (je le répète sur la base de celui de la Norvege, la Suisse) qui ne plait pas aux députés anglais.
Comme l’UE n’est pas responsable du choix des anglais, elle n’est pas obligé de leur proposer un accord. Qu’ils assument leur choix -
@Legestr glaz
Il faudrait sans doute poser la question aux britanniques. A priori ce sont eux qui se sont foutus dans ce merdier, et qui ne parviennent pas à s’entendre entre eux sur le moindre accord commercial.
Si pas d’accord, et c’est bien parti pour, Le problème des deux Irlande, l’un dans l’ue, et l’autre dans le marché dérégulé britannique, exige évidemment le retour d’une frontière physique, pour une raison de contrôle évidente.
A priori plus d’un stratège, politicien, ou amateur d’énigme, s’est essayé sur le coup avec le résultat qu’on connait.
Le climat politique actuel, très europhobe en Angleterre, et le parti pris d’une course en avant, avec des projets « Singapour », avec économie dérégulée, amène forcément les européens à la prudence et à la circonspection.
Les solutions raisonnables existent certainement, mais il semble que les gens ne le soient pas toujours. -
@velosolex
Vous savez, les Britanniques sont très attachés à leur parlementarisme.
Il se trouve que dans l’Union européenne, le parlement, pour lequel nous allons bientôt voter, ne possède pas le pouvoir de l’initiative législative, lequel appartient « exclusivement » à la Commission européenne. Une fois ceci posé, on peut, légitimement, se poser la question de la « gouvernance » de l’UE, système « supranational », dont les décisions s’imposent aux pays membres et dont les traités, qui renferment des dispositions économiques non négociables et non discutables, s’imposent tout autant.
J’ai retenu cette petite phrase de Valéry Giscard d’Estaing : « Le parlement européen n’est pas important, son rôle est simplement de vérifier que les textes proposés par la Commission européenne sont conformes aux dispositions des traités ». Il vaut mieux entendre ça que d’être sourd, mais quand même....
Dans l’Union européenne, les traités ont fait en sorte d’éloigner la prise de décision des instances nationales et des élus du peuple. Le pouvoir est maintenant « hors sol » et il appartient à une élite « financière » et « technocratique ». Inutile de souligner qu’une juste répartition de la richesse produite dans l’Union européenne ne pourra jamais être redistribuée vers les Peuples. Le système a bien été pensé depuis son tout début. Même Jean Monnet, dans ses « mémoires », indique que la construction européenne n’est pas une fin en soi et qu’il faut tendre vers une gouvernance « mondiale ». Jean Monnet n’était pas un « européen convaincu » il était, lui aussi, hors sol, au service de la grande finance.
-
@Legestr glaz
L’UE est certainement perfectible, mais je ne fais pas partie de ceux qui réclameraient un FREXIT....Bien sûr ça ferait plaisir à la chine, qui cherche en ce moment à cliver, à Trump qui supporte pas une monnaie courante, et à Poutine pour des raisons tout aussi évidentes
La grande bretagne, c’est pas un scoop n’a adhéré à L’UE, au mieux que pour des raisons économiques, au pire, pour la torpiller. Le projet du Brexit était de cliver les pays de L’UE, en les faisant sauter à l’eau, après elle. Ca n’a pas marché...Quant au résultat, c’est un champ de ruines, des britanniques divisés, avec une perte d’influence indéniable à venir, au niveau économique, et bien sûr au niveau culturel, Les continentaux découvrent la réalité d’un pays qui est nostalgique de son passé, perdu dans des songes creux. Ce qui n’étonnera pas plus d’un anglais, et j’en connais pas mal, qui vivent en France, et qui ont précisément quitté leur pays, en partie pour ces raisons. -
@velosolex
La Construction européenne a, depuis ses débuts, été une entreprise de démolition des Nations afin d’ouvrir un grand marché économique ouvert à tous les vents.
Il n’est jamais été question « d’Europe sociale » ou de quelque chose de cette nature. Pour le savoir il suffit juste d’interroger un moteur de recherche et même Wikipédia en tapant « Mouvement européen international » et ACUE (comité américain pour une Europe unie). Il est alors possible de comprendre les tenants et aboutissants de la construction européenne. Celle-ci n’a jamais, au grand jamais, été une construction « noble », faite afin de faire le poids devant les USA ou la Chine. Ceci est juste une légende, une vaste supercherie. La construction européenne a été financée par les USA qui y voyaient un intérêt certain. L’idée des « pères fondateurs » procède du mythe bien diffusé !
Le livre « l’Europe sociale n’aura pas lieu », 8 euros, 120 pages explique tout.
« En seulement 120 pages, Messieurs Denord et Schwartz nous comptent l’établissement de l’UE à partir de 1948. Plus de 200 références sourcées font de cet ouvrage un très bon outil de recherche pour qui veut un peu mieux comprendre les enjeux de ces alliances, bénéfiques pour une élite, alors que la masse populaire ne fait finalement que subir des changements, suite à des traités (même après refus d’un d’entre eux par référendum), et qui ne contribuent aucunement au rapprochement et à la compréhension des peuples concernés. » « Je recommande ce livre à tout ceux qui attendent ou attendaient comme moi l’Europe sociale.
Comme indiqué sur le quatrième de couverture, il dissipe bien des illusions et une Europe libérale ne saurait, comme par magie, se muer en Europe sociale.
L’Europe sociale n’aura pas lieu le titre est parfait. »Les origines de la construction européenne sont facilement identifiables dans les deux structures que vous retrouvez ci-après. Ceci fait partie de l’histoire et non de la légende !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mouvement_européen_internationalhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Comité_américain_pour_une_Europe_unie
-
@Legestr glaz
Bon, on comprend mieux l’intention de votre article. Décrédibiliser l’UE, en passant pas la suisse et l’Irlande.
Il me serait facile de faire moi aussi l’avocat des différentes parties, en reprenant les arguments qui arrangent, en cachant ceux qui dérangent.
Pour de mystérieuses raisons, sans doute, à vos yeux, la Grèce, malgré la crise qu’elle a connu ne veut pas entendre parler d’une sortie de L’UE
Pas plus que les portugais d’ailleurs, ni les espagnols.
Etrange. La pratique ne suit pas la théorie de la détestation, plus vérifiable quand on évoque Macron.
Quant aux anglais, beaucoup ont signé en quelques jours cette pétition qui a enregistré 5 millions de refus de quitter l’Europe,
Ne parlons pas des Ecossais.
Dégât énorme. Image désastreuse. Des milliers d’« étrangers » quittent le pays. Quant à ceux qui sont en France, autour de moi dans mon village, ils sont dévastés. Tout cela veut dire quelque chose. Et Mickael Farage, ce bonimenteur, sera encore moins fier demain, et ne risque plus de monter sur une caisse à savon pour manipuler les naïfs -
@velosolex
Tu n’as donc pas remarqué qu’à chaque fois que la question est posée, les europeens veulent sortir de l’UE ? et que la question n’est presque jamais posée...car la vérité ne supporte pas la lumière.
Quant aux anglais il y a eu plus de 17 millions de NON quand le vote a eu lieu, c’est marrant ces perdants qui s’assoient sur le vote des gagnants depuis deja si longtemps dans cette prison des peuples.
C’est beau un lavage de cerveau par les merdias mais qu’est ce qu’à bien pu apporter l’UE qui nous manquerait ? les guerres permanentes ? le chomage la pauvreté ? la désindustrialisation ? ... -
@Jelena
On ne fait pas de politique comme de l’arithmétique, en posant les même formules, d’un endroit à l’autre. Le thème de la frontière et des blocs épuise les encyclopédies. C’est très riche aussi, en termes de rallonges, autant au niveau de l’histoire des peuples que du reste. Une frontière est une protection utile. Certaines sont aberrantes, ressemblant à des barbelés ; d’autres sont naturelles, et sans doute s’en moque à tort, ce qui a amené cette mondialisation un peu débile, et catastrophique au niveau écologique. « Eloge de la frontière » est un petit livre de Regis Debray qui m’avait bien plu. Je pense que la dislocation radicale et rapide de L’URSS a été une aberration fait au forceps, aussi traumatisante que les exemples précédents, l’empire des indes par exemple. Le traumatisme vient des racines souterraines, comme celles des arbres, que les gens ne supposent même pas ;...Se servir d’un hache est une solution facile dans l’instant, et qui donnera peut être de la lumière, mais une fois que l’arbre sera par terre, les effets délètes sur l’écosystème se feront vite ressentir. Les politiciens sont bien plus souvent des bucherons que des jardiniers. . -
@Jelena
On ne peut pas comparer la situation de la Hongrie maintenue dans le bloc soviétique par la menace des armes (idem la Tchécoslovaquie plus tard), et la Grèce qui vit sous perfusion des subsides de l’Union (sinon, seule face à ses créanciers, elle serait en faillite) ; Elle a été la danseuse de l’Europe qui a tout laissé passer au nom de l’héritage culturel antique, jusqu’à ce que ça finisse par se voir un peu trop. Par exemple elle n’a jamais été dans les critères de l’euro. Raffarin a dit qu’à l’époque où il était premier ministre il s’était demandé comment la Grèce pouvait financer des JO que la France considérait à l’époque ne pas avoir les moyens d’organiser. -
@samy Levrai
Comme les politiciens britanniques qui ont prôné la sortie de l’UE se sont défaussés pour assurer le gouvernement, un certain nombre de Britanniques ont l’impression de s’être fait manipuler, et la proportion de citoyens en faveur de la sortie a fondu comme neige au soleil ;
Le parlement aurait du être dissout après le referendum de 2016 afin qu’il y ait une majorité correspondant aux intentions de l’époque, en tout cas vu le blocage parlementaire sur toute solution, la première ministre devrait se retirer et convoquer de nouvelles élections où serait posé la question de confiance « do you confirm you want to leave » ?. -
ah oui, je précise que je suis favorable au Brexit, mais la question est de savoir si nos « amis britanniques » sont vraiment sûrs de leur choix. En tout cas personne -et la France moins que quiconque puisque nous avons un excédent commercial avec le royaume uni- n’a intérêt à une situation conflictuelle, chacun devrait y mettre du sien pour une situation « apaisée ».
-
Ben non j’ai pas remarqué. La Grèce malgré ses croupières se cramponne à l’UE, et autant l’Espagne et le Portugal, au pire de leur crise économique. Et c’est pas en me tutoyant comme un adjudant chef qui veut vous faire mettre au garde à vous que ces vérités seront changées.
L’UE est en effet très perfectible, mais comme dans tout exercice de comptabilité, il y a une compte passif, et un autre actif. Ce qui fait qu’il semble que les différents pays actuellement s’y retrouvent. Hormis la grande Bretagne, en utilisant les forceps et la manipulation, au bénéfice de margoulins….Malgré tout le bidonnage, le brexit ne s’est fait que de justesse, et plus d’un maintenant se mord les doigts.
Autre avantage relevé par cette difficulté de divorcer, d’une façon ironique la difficulté révèle que les liens sont importants, une fois le mariage fait, et qu’il est très difficile, voir impossible à résoudre, si ce n’est qu’avec de gros dégâts. Ce qu’on pourrait appeler un défaut révèle un avantage : Les économies et les lois sont soudés. Si tu touches l’un, tu bouscules l’ensemble. Et quand on se tient par la barbichette, on ne se fait pas la guerre. Une constante maintenant en europe. Pour la première fois depuis la construction de L’UE, pas de guerres entre les grandes puissances européennes en plus d’un demi siècle.
Et c’est ce qui déplait forcément à beaucoup. A l’est, et à l’ouest….C’est pour ça que les cabinets de troll travaillent au corps le réseau
-
Tout se passe très bien avec la Norvège et l’Islande, pays entourés de mer et extérieurs à l’Union mais membres de l’Espace Economique Européen.
Mais non, le Royaume Uni ne veut pas d’un accord comme les leurs. Ils veulent mieux, ils veulent tous les avantages de l’Union mais pas les désagréments ni la facture. C’est pourtant simple à comprendre non ? Pourquoi on leur dit non sans arrêt, c’est exaspérant à la fin
-
@ZenZoe
Vous avez des sources sur ce que vous avancez ?
Pourquoi écrivez-vous que le Royaume-Uni ne veut pas d’un accord comme celui des autres ? Je parle simplement de la Suisse qui n’appartient pas à l’EEE et non des autres pays que vous citez et qui appartiennent bien à l’EEE !
Je vous signale que la Norvège et L’Islande font parti de l’EEE et même le Liechtenstein ! Vos sources datent un peu. Ceci ne rend pas très crédible votre commentaire. Désolé de le dire de cette façon.
http://accueil-etrangers.gouv.fr/modeles/articles-lies/article/consultez-la-liste-des-pays-de-l
Votre commentaire tendrait à prouver que, je ne sais pour quelles raisons, vous avez une dent contre le Royaume-Uni alors que vous ne possédez pas toutes les informations qui vous permettraient de juger sereinement sans parti pris.
-
@Legestr glaz
Pourquoi écrivez-vous que le Royaume-Uni ne veut pas d’un accord comme celui des autres ?
Avez vous entendu la réponse du parlement anglais aux propositions d’accords de May, ainsi que toutes celles présentées par d’autres groupes politiques ? Je vais vous rafraîchir la mémoire : c’est No, No, No, No, No etc -
@Legestr glaz
Je vous signale que la Norvège et L’Islande font parti de l’EEE et même le Liechtenstein ! Vos sources datent un peu.Pourtant nous avons les mêmes, relisez-moi donc :
la Norvège et l’Islande, pays entourés de mer et extérieurs à l’Union mais membres de l’Espace Economique Européen. -
@ZenZoe
C’est bien ce qui est effectivement écrit : la Norvège et l’Islande appartiennent bien à l’EEE ! Alors, comment voulez vous appliquer à la Grande Bretagne sortant de l’UE et de l’EEE, les règles de l’EEE ? Ce n’est juste pas possible.
En revanche, l’application d’accords similaires à ceux convenus entre la Suisse et l’UE pourrait très bien faire l’affaire et permettre à l’UE de commercer sereinement avec la Grande Bretagne.
-
@Trelawney
Parce que Thérèse May, partisane du « remain » a tout accepté de la part de l’UE. En revanche, les parlementaires, eux, n’ont rien accepté du tout. Les partisans du « remain » trouvaient l’accord de sortie pas assez « européen », les partisans du Brexit le considéraient « trop européen ».No, no, no !
-
Merci pour ce résumé, je me doutais bien que les européistes tentaient de nous la faire à l’envers.
En réalité comme pour le référendum de 2005 en France, les européistes n’acceptent pas leur défaite, ces personnes qui se définissent pourtant comme démocrates font tout pour faire échouer ce qui ne va pas dans leur sens.
Theresa May qui était pour le REMAIN, tente de saborder de l’intérieur la voix du peuple comme Sarkosy avec l’aide de socialistes l’avait fait en ratifiant le traité de Lisbonne en 2007.
Imagine-t-on ce qui se passerait en France si ça devait être Bayrou par exemple qui négocierait le Frexit ?!
Les Gilets Jaunes ne sont que les « descendants » redevenu visible de ce viol de démocratie.
-
Je suis loin d’etre un expert en la matiere mais selon moi le Royaume-Uni espere devenir une sorte de « Suisse bis » en sortant de l’UE. D’ou la situation actuelle, aucun accord avec un Brexit dur quasi garanti in fine. Et quand on voit les situations economiques actuelles de l’Islande, de la Norvege et de la Suisse : difficile d’imaginer que le Brexit sera si catastrophique que ca pour nos voisins britanniques.
-
@Lionel Ladenburger
Une Suisse du tiers-monde, avec des millions d’africains et de pakistanais et le niveau de vie et d’insécurité qui va avec.
https://breizatao.com/2018/10/26/savile-yorkshire-grande-bretagne-avec-48-habitants-britanniques-sur-4000-limmigration-islamique-a-totalement-fait-disparaitre-la-diversite-de-la-ville-video/ -
@Lionel Ladenburger
La réalité est que l’UE à beaucoup à perdre avec un Brexit dur.
Ce n’est pas par bonté ou par charité que Barnier et sa bande accepte chaque report imposé par les anglais.
Si ils le pouvaient ils auraient envoyé paitre les sujets de sa majesté.
L’UE est en crise économique et politique, sans perspective ni ambition.
Un Brexit dur risque de lui être douloureux voir fatal.
On est loin de la storytelling qui nous vends un RU à la merci de l’UE et abuse de sa bonhomie et de sa patience. -
@Lionel Ladenburger
Pour le moment ils lorgnent sur Singapour, un ilot de dérégulation.
Ce que n’est pas la suisse, avec son secteur bancaire qui a pendant longtemps lessivé l’argent sale. Mais après les scandale mettant la banque UBS en difficulté, https://bit.ly/2HWXaud de nouvelles règles limitent maintenant les excès. La Suisse est un pays qui tire sa prospérité de biens des activités, pharmacie chimie etc, et qui n’a rien à voir avec l’Angleterre. Son économie n’est pas basée sur le dumping comme l’Irlande, où fleurissent les sièges des multinationales. Une réforme serait indispensable à cet égard pour harmoniser les taxes sur les entreprises….. Le secteur bancaire de Londres était sans doute ce qui ressemblait le plus à la suisse, mais il va être mis en difficulté, et il l’est déjà, car les échanges de l’Angleterre sont faits au deux tiers avec L’UE...Le rêve de Singapour et du commenwealth, cela tient de la pensée magique, issue des décombres de l’empire….Transformer la GB en marché dérégulé, comme certains l’imaginent, amènerait des mesures de rétorsion de l’UE. Un fait, ce pays n’a pas, contrairement à la France et à l’Espagne au Portugal ou à la hollande, renoncé à son empire. Tant au niveau de la symbolique que du rêve. La primauté de la langue anglaise l’a entretenu dans ce mirage. C’est ce décalage, entre grandeur passé, présent plein de frustration, qui les a poussé à cherché un bouc émissaire. Farage a été l’homme qui a menti, manipulé outrageusement pour imposer ce brexit dans lequel ce pays s’épuise ; Maintenant se fera t’il vraiment ?... Pour ma part , j’en ai toujours douté, car les anglais ont une qualité, ils sont pragmatiques. -
Des conventions sectorielles ont été signées entre la Suisse et l’Union européenne. Ce qui est possible entre la Confédération helvétique et l’Union européenne ne serait donc pas envisageable entre le Royaume Uni et l’Union européenne ?
Vous pensez que le protocole d’accord entre May (pas la GB qui l’a refusé en bloc) et l’UE n’est pas basé sur le modèle Norvégien ou Suisse ? Vous pensez qu’ils vont passer leur temps à tout réinventer de A à Z ? C’est le même protocole, car ça fait belle lurette que l’UE a abandonné l’idée d’une compensation monétaire, sachant que la GB ne la paiera jamais.
La GB répartie en deux camps ne veut pas de cet accord. Les pro-brexit n’en veulent pas car pour eux il n’y aurait pas de changement notable entre sortir de l’UE ou rester sans rien toucher au conditions commerciales. Les anti-brexit n’en veulent pas car ils veulent mettre la GB devant le mur en montrant les dégats que causerait une sortie sans accord et en militant pour un second référendum. Voilà pour la position anglaise.
Mais je vous rejoints dans votre argumentaire : Par rapport à la montagne de merde qui va leur tomber dessus dans le cas d’une sortie sans accord, la frontière Irlande Ulster sera le cadet de leur souci.
Un exemple tout simple (il y en a plein d’autre :
A Calais des migrants en quantité non négligeable attendent de passer en GB. certains de plus en plus nombreux achètent des zodiacs avec moteur et tentent de passer. Selon les directives de l’UE, les autorités françaises surveillent la zone (hélicoptères, patrouilles douanières etc). Si les zodiacs arrivent dans les eaux anglaises, il sont capturés par les autorités anglaises et les migrants sont renvoyés au Danemark qui les prend en charge. Le 12 avril (brexit sans accord) : fin de la surveillance coté français (car trop cher). Les migrants vont débarquer par milliers en zodiacs certainement offert par les calaisiens trop comptant de les voir partir. Et les autorités anglaises devront ouvrir des camps car plus possible de les renvoyer au Danemark.
On peut aussi parler de la pèche, des taxes douanières pour des voitures fabriqués en Angleterre pour le marché européen (Honda, Austin, jaguar etc). On peut aussi parler de l’Eurostar et de plein de choses encore.
Le brexit sans accord, c’est l’Angleterre isolée du reste de l’Europe. Les anglais le savent et ont bien compris qu’il se sont fait baiser par les Farage Johnson et autres débiles oportunistes
-
@Trelawney
Tu te trompes, avec le brexit dur , le RU va juste se retrouver pays tiers et aura les memes droits que n’importe quel autre pays...tiers... ce qui ne veulent pas d’un brexit dure sont les europeens, le RU lui sait bien les avantages qu’il en retirera en terme financier.
Quand le RU sera sorti de l’UE les migrants seront renvoyés vers le pays d’origine, ce sera donc la France...
Tu regardes trop la télé et ne réfléchis pas assez avec ton cerveau. -
@samy Levrai
le RU va juste se retrouver pays tiers et aura les memes droits que n’importe quel autre pays...tiers...
Vous parlez de même droit qu’un pays tiers et vous parlez aussi des droits des suisses et norvégiens qui eux sont différents que ceux d’un pays tiers.Quand le RU sera sorti de l’UE les migrants seront renvoyés vers le pays d’origine, ce sera donc la France...
Qui se ferra une joies de les refuser car si vous ne l’avez pas remarqué, ils sont en situation illégale en France. Bien tient tant qu’à faire. J’ai des ressortissants sur mon sol et je les envoie dans le pays voisin vous avez vu ça où ? -
@Trelawney
La Norvège appartient à l’EEE. La Grande Bretagne ne peut donc bénéficier des mêmes accords que ceux passés entre ce pays et l’UE. Seul le modèle suisse pourrait être transposable.
Et si Thérésa May, et son gouvernement, a proposé de faire voter un accord de retrait qui a finalement été rejeté, c’est bien parce que son parti politique est « pro européen » et qu’elle même était pour le maintien. Elle était prête à signer un accord selon lequel le Royaume-Uni resterait dans l’EEE mais n’aurait aucune possibilité de s’exprimer. C’est quand même fort de café.
Quant aux migrants, ils seront rapidement interceptés par la marine anglaise. C’est parce que vous méconnaissez totalement les règles qui gèrent l’immigration que vous avez écrit ce que vous avez écrit. En effet, il existe, entre avec les pays « tiers » et l’UE des possibilités de « non admission ». Cette possibilité n’existe plus dans l’espace Schengen. Ce qui veut dire que tout migrant intercepté par la marine anglaise sera reconduit, en vertu d’un accord de non admission, vers la France. Votre commentaire ne supporte pas l’analyse. C’est d’ailleurs ce qui se passait à la frontière suisse avant que ce pays n’accède à l’espace Schengen. Les migrants interpellés à leur entrée en Suisse, irréguliers bien entendu, étaient non admis et remis aux policiers la police aux frontières français.
Reste le volet économique. La Grande Bretagne, sera comme la Suisse, comme le Japon, comme la Chine, comme la Corée du Sud, comme l’Australie, comme l’Argentine, comme les USA, comme le Canada, contrainte à payer des droits de douane pour accéder au marché européen. Ces droits de douanes sont fixés pour tous les pays, ils ne sont pas importants, et ce sont les règles de l’OMC qui s’appliquent. Comme les Britanniques peuvent faire fluctuer le cours de leur monnaie, contrairement aux pays membres de la zone euro, ils accéderont sans aucun difficulté à ce marché européen. Quant à la pêche, dossier que je connais particulièrement bien, ce sont bien les flottilles de l’Union européenne qui risquent de faire les frais de la restriction de pêche dans les zones côtières exclusives britanniques, parce que le poisson nage plutôt dans les eaux de la Grande Bretagne que dans celle de l’Espagne ou du Portugal.
Je me demande si vous croyez à ce que vous écrivez ? La Grande Bretagne serait isolée du monde ? Elle sera comme plus de 160 pays au monde, souveraine et maitre de son destin et de ses choix économiques. Quant à la France, elle regardera la Pologne acheter ses avions de chasse aux USA et les Tchèques acheter leur TGV à la Chine. C’est génial la « solidarité » européenne !
-
@Trelawney
Je te dis juste que l’UE c’est open bar et que le RU aura libre circulation des capitaux, le reste il s’en moque, il n’était pas dans Schengen, les droits de douanes vers l’UE sont plus symboliques qu’autre chose, donc je repete ils auront les memes droits que n’importe quel pays tiers, c’est à dire presque tous les droits que nous avons.
On dira juste que j’habite Calais et que je sais comment les choses se font... je sais aussi comment les choses se passent quand on arrive en avion et je ne vois pas en quoi c’est moi qui me tromperait... -
Il y a clairement une volonté de punir les Britanniques pour avoir défié l’union européenne. Et May est la complice de cette politique.
Regrouper les différents sujets à traiter concernant le Brexit en un seul traité à prendre ou à laisser est délirant. Pourquoi ne pas traiter séparément les différents sujets ?
Dans le même registre, pourquoi vouloir forcer le Royaume-Uni à rembourser immédiatement ce qu’il doit à l’UE ? En quoi le Brexit devrait-il modifier les échéanciers déjà établis de longue date ?
-
@Traroth
Peut etre à cause de l’article 50 qui stipule une sortie de plein droit après 2 ans... et donc pas de paiement du tout.
Le RU ne doit rien à l’UE, il est contributeur net et reçoit donc beaucoup moins qu’il ne donne.
Pourquoi crois tu que les europeistes s’agitent comme des poulets sans tete ? -
@samy Levrai
Ça n’a rien à voir. Le Royaume-Uni doit ce qu’il s’est engagé à payer sur les périodes où il a fait partie de l’UE. Rien de plus normal. Mais il semble que l’UE prétendait le faire payer « pour solde de tous comptes » au moment où le Brexit interviendrait, ce qui n’a aucune raison d’être, en réalité. La sortie de l’UE n’est pas la résiliation d’un bail. -
@Traroth
Encore une fois tu parles sans savoir de quoi tu parles, pourquoi s’exposer toujours de la sorte ?... les sommes demandées sont ce que le RU aurait payé si il était resté pour la periode fiscale europeene en cours. l’UE demande que soit payée cette somme conformément aux engagements pris avant le Brexit mais remis en cause par le vote des sujets de sa majesté qui en ont marre de payer..., l’article 50 lui parle bien d’une sortie de plein droit après deux ans ,c’est à dire sans rien payer si un accord n’a pas été signé avant la periode, il suffit de le lire. -
Dommage que l’Irlande du Sud, pays de dumping, ne sorte pas de l’UE en même temps que le Royaume Uni. Et si de proche en proche on finissait par se retrouver à une petite dizaine de nations autour du noyau des pays fondateurs, on pourrait constituer une entité plus homogène où il serait possible d’harmoniser sans faire le grand écart... C’était la minute de rêverie refondatrice.
-
@Eric F
Votre imagination et la propagande ambiante vous jouent des tours ! Nous sommes conditionnés pour croire qu’une information est vraie. Toute information doit être traitée avec scepticisme. Si une histoire non semble cohérente, de prime abord, nous avons tendance à la croire et à ne pas vérifier les faits ! C’est ainsi que notre cerveau nous raconte des histoires sélectives plutôt que des histories logiques ! Par ailleurs, nous ne savons que ce dont nous pouvons nous souvenir. Il se trouve qu’une fois qu’un avis est ancré dans notre cerveau, il est très difficile de l’en déloger. Il faut donc être sceptique, dans le bon sens du terme.La Construction européenne a, depuis ses débuts, été une entreprise de démolition des Nations afin d’offrir un grand marché économique ouvert à tous les vents.
Il n’est jamais été question « d’Europe sociale » ou de quelque chose de cette nature. Pour le savoir il suffit juste d’interroger un moteur de recherche et même Wikipédia en tapant « Mouvement européen international » et ACUE (comité américain pour une Europe unie). Il est alors possible de comprendre les tenants et aboutissants de la construction européenne. Celle-ci n’a jamais, au grand jamais, été une construction « noble », faite afin de faire le poids devant les USA ou la Chine. Ceci est juste une légende, une vaste supercherie. La construction européenne a été financée par les USA qui y voyaient un intérêt certain. L’idée des « pères fondateurs » procède du mythe bien diffusé !
Le livre « l’Europe sociale n’aura pas lieu », 8 euros, 120 pages explique tout.
« En seulement 120 pages, Messieurs Denord et Schwartz nous comptent l’établissement de l’UE à partir de 1948. Plus de 200 références sourcées font de cet ouvrage un très bon outil de recherche pour qui veut un peu mieux comprendre les enjeux de ces alliances, bénéfiques pour une élite, alors que la masse populaire ne fait finalement que subir des changements, suite à des traités (même après refus d’un d’entre eux par référendum), et qui ne contribuent aucunement au rapprochement et à la compréhension des peuples concernés. » « Je recommande ce livre à tout ceux qui attendent ou attendaient comme moi l’Europe sociale.
Comme indiqué sur le quatrième de couverture, il dissipe bien des illusions et une Europe libérale ne saurait, comme par magie, se muer en Europe sociale.
L’Europe sociale n’aura pas lieu le titre est parfait. »Les origines de la construction européenne sont facilement identifiables dans les deux structures que vous retrouvez ci-après. Ceci fait partie de l’histoire et non de la légende ! Pour comprendre
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mouvement_européen_internationalhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Comité_américain_pour_une_Europe_unie
-
@Legestr glaz
Eh bien il me semble que c’est plutôt vous qui êtes influencé par des thèses « machinationistes » en vogue (notamment sur AV). Le général de Gaulle n’aurait jamais marché dans une combine ayant pour finalité le sabotage des états, il a effectivement du lutter contre les « fédéralistes », mais la France a trouvé son profit dans la CEE puis dans l’Union au moins jusqu’aux années 90. Plus encore que la supranationalité, on a pâti des élargissements qui ont faussé le marché intérieur du fait des disparités (délocalisations vers les pays low cost intégrés, dumping...), certes cette dilution a été encouragée par les relais de l’affairisme cosmopolite, influents dans les corridors de l’UE et les antichambre des gouvernants. La monnaie unique sans harmonisation a été également une faute, non liée à une vaste machination, mais des improvisations et des compromis bancals (notamment suite à l’imprévisible réunification allemande).
Les éléments et situations de la génèse européenne sont plus complexes que les réduire à des groupes d’influence plus ou moins significatifs, l’Europe occidentale des années 50 sortait de guerres destructrices et se sentait menacée par le bloc soviétique, elle avait de ce fait une dynamique de coopération, pas uniquement liée aux incitations étasuniennes (et moins encore à des menées crypto nazies, hallucinées par certains). Du reste dès l’avènement de la CEE, les USA via leur tête de pont britannique ont cherché à lui couper les ailes institutionnelles pour la réduire en une simple zone de libre échange. -
@Eric F
Vous refusez simplement de prendre en considération l’Histoire, avec un grand « H ». L’histoire en minuscule, celle de la légende, est celle des pères fondateurs. Je pense que vous n’êtes pas assez documenté. Investissez donc 8 euros dans le livre « l’Europe sociale n’aura pas lieu », je n’ai strictement aucun intérêt dans cet ouvrage, la teneur duquel est d’ailleurs repris par Philippe De Villier dans son dernière opus. Il a très largement pompé les grandes lignes des deuxLa genèse de la construction européenne n’a rien de magnifique, ni de beau, et n’est ni centrée sur les Peuples ni sur la paix. La Construction européenne était une affaire « commerciale » qui servait le grand capital, qui éloignait les peuples des centres décisionnels. Fermer les yeux sur une telle vérité c’est croire aux contes de fée.
Si je vous parle du Mouvement européen et de l’ACUE, vous faîtes comme si ces deux structures n’avaient jamais existé. C’est simplement un déni de réalité. Le réseau « Bildeberg » est né à ce même moment et ce dernier est resté très longtemps bien dissimulé, si bien d’ailleurs que d’aucuns croyaient que cette structure n’existait pas, et pourtant..... elle se dévoile maintenant au grand jour.
Prenez connaissance de la version « historique » des faits, du rôle du Mouvement européen et de l’ACUE parce que les légendes de la menace Russe, de la dynamique de coopération et de l’Europe de la fraternité entre les Peuples commencent à être identifiées par de nombreuses personnes qui ne s’en tiennent pas aux beaux discours mais vont gratter le vernis et se renseignent. Mouvement européen et ACUE, cherchez à savoir sur les rôles de ces 2 structures et vous comprendrez que l’on vous a pris pour une truffe. Pas moi, mais les pseudos propagandistes européistes. On vous a vendu une Europe qui n’a même jamais été pensée. C’est absolument terrible !
-
@Legestr glaz
Ne vous méprenez pas, je ne suis absolument pas subjugué par la légende dorée, des apologistes de la construction européenne (notamment les envolées sur la paix et les devoirs envers les pays de l’Est notamment). Mais je ne suis pas non plus influencé par la légende noire d’un vaste complot contre les états que veulent promouvoir les souverainistes radicaux (j’ai constaté que vous soutenez dans vos articles les positions de l’UPR, ce qui est louable, mais forcément de parti pris). J’ai une vison plus pragmatique des « circonstances », comme je l’ai écrit, je suis conscient de l’entrisme des affairistes cosmopolites et des influences extérieures (je ne les nie pas, je les relativise), mais je distingue bien les différentes étape. Vos thèses sont notamment incompatibles avec les tentatives d’entraver la construction de l’Europe par les anglo-saxons, qu’avait bien perçu le général de Gaulle. -
@Eric F
Il n’y a pas de « légende noire ». Simplement, la lecture de la naissance du Mouvement européen ainsi que le rôle de l’ACUE devraient en interpeller plus d’un.
Connaissiez vous, à titre personnel, ce Mouvement européen ? Connaissiez vous l’action de l’ACUE dans la construction européenne ? Si vous raisonnez en toute connaissance de cause, votre réflexion aura bien plus de poids que si vous émettez des hypothèses sans même connaitre l’existence du Mouvement européen, de son implication dans la construction européenne, et du rôle joué par l’ACUE dans cette affaire. Il n’y a pas de complotisme du tout. Il y a seulement des structures, ayant reçu des financements, lesquelles ont oeuvré à la construction européenne.
Lorsque notre information est complète, notre réflexion peut prendre d’autres aspects. Winston Churchill était, par exemple, partisan de la construction européenne. Charles De Gaulle était pour une « collaboration » entre Etats souverains et non en faveur d’une « supranationalité ». C’est ce qui semble vous échapper.
Créé à Paris le 11 novembre 1947 dans la foulée d’un premier comité de liaison des mouvements pour l’unité européenne institué quatre mois auparavant à Paris pour orchestrer et amplifier la campagne d’opinion en faveur de l’unité européenne, le Comité international de coordination des mouvements pour l’unité européenne (CICMUE) rassemble l’Union européenne des fédéralistes (UEF) que préside le Néerlandais Henri Brugmans, l’United Europe Movement de l’ancien Premier ministre Winston Churchill, la Ligue indépendante de coopération européenne (LICE) de l’ancien Premier ministre belge Paul van Zeeland, le Conseil français pour l’Europe unie que préside le commissaire à l’énergie atomique Raoul Dautry, l’Union parlementaire européenne (UPE) du comte Richard Coudenhove-Kalergi et les Nouvelles équipes internationales (NEI) du Français Robert Bichet.
Les structures mises en place pour favoriser l’émergence de la construction européenne ont bien existé, c’est de l’histoire ! -
@Legestr glaz
1948, Congrès du Mouvement européen à La Haye :
« Après trois jours de discussions, la résolution finale du Congrès du Mouvement Européen appelle à l’élimination des restrictions aux échanges de marchandises, à la convertibilité des monnaies, à la mobilité de la main-d’œuvre et à la coordination des politiques économiques. C’est un pas de géant. A la suite de ce Congrès, le Conseil de l’Europe sera créé en 1949 sur une base intergouvernementale. Le temps d’une Europe politique véritablement intégrée n’est pas encore venu. »
Pour « l’Europe sociale » on verra après ! En 1948, l’idée qui prédomine à la construction européenne est bien celle de la « libre » circulation des marchandises (et des capitaux), de la « convertibilité » des monnaies, de la « mobilité » de la main d’oeuvre (travailleurs détachés), de la coordination des politiques économiques (GOPE). Tout était déjà dans la boîte à réflexion sauf « l’Europe sociale » qui n’a jamais été évoquée, jamais. Les Peuples n’étaient pas pris en considération, c’est d’une « Europe affairiste » dont il était question, et c’est bien celle qui est advenue !
http://www.ceuropeens.org/photorama/congres-du-mouvement-europeen-la-haye -
@Legestr glaz
Concernant la supranationalité, j’ai explicitement écrit que de Gaulle s’était colleté contre les fédéralistes.
Ce que je désigne par « légende noire » c’est une surinterprétation de certains facteurs, je ne vais pas développer mais par exemple la focalisation sur la conférence à laquelle Hallstein avait participé en Italie en 38 (j’ai sur ce point regardé les sources) fait partie de cette satanisation.
Encore une fois, je suis plutôt « eurocritique », sans jeter le bébé avec l’eau du bain. Du reste je considère bénéfique pour le pluralisme que les courants anti-UE fassent contrepoids à l’UEphilie médiatique généralisée -même si je n’achète ni tout l’un ni tout l’autre. -
L’auteur fait preuve d’une certaine naïveté et manque d’informations.
D’une part le document de 600 pages négocié par May avec l’UE et refusé par son parlement ne fixe en aucun cas la relation future avec l’UE. Il organise simplement la période de transition qui permet le divorce et pendant laquelle les deux protagonistes vont préparer des traités. Il est prévu pendant ce moment de ne pas rétablir de frontière physique entre les deux Irlande. Rien n’est prévu pour la suite, il faudra négocier. En cas de no deal, la frontière deviendra extra-européenne et sera aussi compliquée à franchir que celle entre la Pologne et la Biélorussie par exemple jusqu’à la signature d’un traité qui prendra forcément plusieurs années.
D’autre part vous évoquez le statut de la Suisse et d’autres celui de la Norvège. Ces pays participent au grand marché, acceptent la libre circulation des personnes issues de l’UE et cotisent au budget de l’UE sans avoir de droit de vote ni de décision. La Grande-Bretagne refuse ce statut et prétend négocier un accès au grand marché sans libre circulation des personnes ni participation au budget de l’UE.
Autant dire que c’est perdu d’avance mais on en est pas encore là puisqu’il s’agit pour l’instant de seulement organiser la transition et c’est un tel bazars que la suite laisse augurer du pire.
Les anglais ont à mon avis commis une grave erreur en imaginant un monde qui n’existe plus. Celui d’une puissance qui savait diviser le continent et nouer des accords économiques favorables avec tous les pays. Ils viennent de comprendre que seuls ils ne pèsent pas grand chose lors des premières discussions qu’ils ont eues avec l’Inde, l’ex perle de l’Empire qui aujourd’hui les regarde de haut et pose ses conditions. Des conditions qui ne seront probablement pas meilleures que celles obtenues par l’UE et ses 500 millions de consommateurs.
-
@Pie 3,14
Vous pensez qu’avant que la Suisse ne rejoigne l’espace Schengen, en décembre 2008, la frontière franco-suisse ressemblait à la frontière polonaise avec la Biélorussie ? C’est complètement extravagant. Pourquoi la GB ne participerait-elle pas, comme la Suisse et la Norvège, mais aussi le Japon, les USA, le Canada, la Corée du Sud, l’Australie, la Chine, l’Argentine ou encore Singapour et le Bangladesh, au marché européen ? Ces pays n’ont donc pas de relations commerciales avec l’UE ? Vous pouvez nous éclairer ?
Les Britanniques n’ont commis aucune erreur. Ils reprennent leur souveraineté et, de cette façon, le moyen de définir, ensemble, leur avenir commun, comme plus de 160 pays de part le monde. Et comme la libre circulation des capitaux est la règle dans l’UE, entre pays membres mais aussi entre pays membres et Etats tiers, la « City » n’aura aucune difficulté à tirer son épingle du jeu. Surtout que n’importe quelle entreprise pourra s’y installer sans crainte des « règles européennes » qui n’acceptent pas les situations de « position dominante ». La fusion « Alsthom — Siemens, a capoté pour des raisons d’abus de position dominante. La bourse de Francfort pourra donc, tout à fait légalement, fusionner avec la bourse de Londres pour créer un géant à la positon dominante mais dont le siège social sera à Londres, hors Union européenne !
Par ailleurs, le document de 600 pages dont vous faites état organise la période de transition qui permet le divorce.... Et moi qui pensais que, selon l’article 50 du TUE, le pays sortant disposait d’une période de 2 années pour préparer le divorce. Aurais-je mal lu cet article 50 ? Voyons voir, ci-après :
- Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.
- L’État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union. Cet accord est négocié conformément à l’article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Il est conclu au nom de l’Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.
- Les traités cessent d’être applicables à l’État concerné à partir de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l’État membre concerné, décide à l’unanimité de proroger ce délai.
- Aux fins des paragraphes 2 et 3, le membre du Conseil européen et du Conseil représentant l’État membre qui se retire ne participe ni aux délibérations ni aux décisions du Conseil européen et du Conseil qui le concernent.
La majorité qualifiée se définit conformément à l’article 238, paragraphe 3, point b), du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. - Si l’État qui s’est retiré de l’Union demande à adhérer à nouveau, sa demande est soumise à la procédure visée à l’article 49.
Mais que veut dire la phrase : »l’Union négocie et conclut avec cet Etat un accord fixant les modalités de son retrait". De quelles modalités s’agit-il donc ?
-
@Legestr glaz
Laissez donc les suisse hors de cette histoire. Rien dans ce pays excentré au cœur de l’UE ne peut évoquer l’histoire politico économique, allié au mensonge et à la manipulation qui fait trembler la grande bretagne actuellement.
L’Europe a participé énormément à stopper le conflit entre les deux Irlande...Il est extraordinaire que l’Angleterre, totalement myope, ai occulté cette histoire maudite, qui lui revient comme un boomerang.
Les choses sont plus compliquées que ce qu’ils ont pu croire, ou voulu faire croire. Par un étrange retour du destin, voilà un pays croupion, moqué, vilipendé par les anglais, je veux dire l’Irlande, qui tient maintenant le destin du pays qui l’a colonisé pendant des siècles.
Tous les savant montages, c’est à dire celui de peuple l’Irlande du nord d’immigrés ecossais, anglais, de déplacements de populations, afin de garder une enclave protestante, liée au royaume uni, du moins soit disant uni, et qui ont été savamment étayés, risquent de s’effondrer demain. C’est la panique. Une évidence : Un capitaine qui se dirige vers un iceberg change de direction, normalement. Mais il semble que ce pays, amoureux d’une posture impériale, soit incapable de dire : On s’est gourré, on arrête tout !
Theresa May serait churchilienne si elle,annulait ce brexit, mettant en évidence que ce référendum s’est fait sur une manipulation du peuple, celui ci trompé, et absolument pas averti des conséquences, que les politiques il est vrai, semblent ne pas même avoir anticipé. -
@velosolex
L’exemple de la Suisse confirme que la circulation des personnes peut être libre entre un pays tiers de l’UE et l’Union européenne et, en même temps, le contrôle des marchandises possible. Par ailleurs, la Suisse commerce avec l’UE après signature d’accords divers et variés. Pourquoi voudriez vous que les choses soient différentes entre la GB et l’UE ?
Votre expression : « excentré au coeur de l’UE » est un magnifique oxymore !
-
@Legestr glaz
Je tape trop vite et ne me relis pas, ce qui explique pas mal d’omissions, de coquilles, et de fautes. Je voulais dire évidemment « centré », pour la suisse, non son contraire, ( ce que tout le monde comprendra aisément) c.a.d, à la frontière extérieure de L’UE comme l’est la grande bretagne..Les limites extérieures de l’ensemble sont en effet le problème majeur de l’UE, comme l’affaire des migrants nous le rappelle, et il est bien évident que l’absence de frontière entre les deux Irlande n’est pas envisageable, en cas de brexit dur, car L’UE n’a pas besoin d’un trou d’air dans lesquels toutes les combines deviendraient possible. L’Angleterre elle menaçant de taxer les produits de l’ue à un taux insensé, le« friendly »ne serait plus qu’un souvenir.
Bravo pour votre vigilance.
Il est dommage simplement que la grande bretagne n’en est aucune, ce qui est plus fâcheux que les écarts sémantiques et orthographiques liés à ma petite personne.
Des amateurs en la matière qui n’ont pas apparemment anticipé la problématique irlandaise, qui fait de votre exemple suisse quelque chose de déplacé, « d’excentré » cette fois ci du problème, de non adapté, pour un pays pour qui tout accord économique avec l’UE se soldait tout simplement par des séries de « no ».
Apparemment, les Britanniques il y a quelques jours n’étaient prêts à aucune concession dans leur bras de fer, mais il se pourrait que les choses évoluent, arrivés au bord du vide. -
Vous mélangez tout. L’espace Shengen n’a rien à voir d’ailleurs le RU n’en a jamais fait partie. Vous recopiez des articles que vous ne comprenez pas. Après l’activation de l’article 50 les deux années fixent les modalités du retrait. C’est l’objet du document de 600 pages négocié et signé par T May. Ensuite seulement la relation future sera négociée. Cette négociation fixera la relation du RU avec l’UE sur la base d’un pays lointain s’il refuse un modèle proche de celui de la Suisse ou de la Norvège.
Je veux bien vous éclairer encore faudrait-il que vous consentiez à quelques efforts de compréhension.
-
@Pie 3,14
Je pense que vous devriez, dans un premier temps, apprendre à lire et à comprendre. La toute première phrase de mon article commence ainsi : « Ni le Royaume-Uni, ni la République d’Irlande, n’appartiennent à l’espace Schengen ».
Et alors qu’écrivez vous ? « L’espace Schengen n’a rien à voir d’ailleurs le RU n’en a jamais fait partie ». Sans blague, vous tenez ça d’où ?Vous n’avez toujours pas dit ce que contient ce rapport de 600 pages ? Qu’a donc « négocié » Thérésa May dans ce document ? Pouvez vous nous le dire ?
Après le Brexit, la Grande Bretagne se trouvera dans la position de n’importe quel pays n’appartenant pas à l’UE et les relations commerciales entre la G.B et l’UE feront l’objet de traités et d’accords.
Alors, la libre circulation des personnes entre l’Ulster et la République d’Irlande n’a pas été définie par les accords du « vendredi saint » ?
Je pense que vous n’avez pas compris la teneur de l’article.
Et si nous nous donniez des « arguments » au lieu de vous cacher derrière une pseudo connaissance ? C’est très difficile d’échanger avec quelqu’un qui ne comprend rien. Faites un effort ou faites-vous aider !
-
L’UE voulait le beurre et l’argent du beurre, elle n’aura que le sourire de la fermière !
-
@samy Levrai
Pourquoi venir débattre d’un sujet dont vous ne connaissez visiblement rien ?
-
@Lugsama
Je te sens plein de vide, tu voles ? -
Le retrait de la Grande-Bretagne ne se fera pas de manière brutale et totale dès le premier jour, mais de manière graduelle. Le problème est que le Brexit dur ne comporterait pas d’échéancier préétabli, néanmoins on ne pourra construire en une nuit des postes frontières étanches, ni modifier les modalités de commerce pour les contrats en cours.
Je suis sur ce point d’accord avec l’article qu’il y a une sorte de surdramatisation, alors que les relations futures ne devraient pas être d’une complexité rédhibitoire, de manière générale les règles du commerce international ont été considérablement « allégées » par rapport à la situation antérieure à l’entrée de la Grande Bretagne dans l’Union, l’exemple de la suisse ou de la norvège est pertinent, même avec des pays comme la Turquie il y a des relations commerciales préférentielles, on n’a pas de raison d’être plus restrictif avec le royaume Uni.
PS : ma remarque sur l’Irlande dans un commentaire précédent était une demi-boutade, ça ne se fera de toute façon pas, mais à mes yeux une UE plus restreinte et homogène eut été préférable.
-
Les accords UE-Suisses n’ont pas grand-chose à voir avec de futurs accords UE-Vilain Pays. Les suisses n’ont jamais appartenu à l’UE, la Grande-Bretagne si, ça change tout.
-
@molloy
Pourquoi « ça change tout » ? Vous pouvez développer ?Les relations futures économique entre la GB et l’UE seront donc d’une autre nature que celles qui existent aujourd’hui entre la Suisse et l’UE ?
Il ne suffit pas d’affirmer une chose, il faut la démontrer. Je suis donc intéressé par votre développement concernant cette question.
-
nono le simplet 4 avril 2019 08:01je viens de comprendre ... en fait, c’est l’Europe qui veut sortir du Royaume Uni ... ah les fourbes ...
-
Question du Brexit : Rien n’a été dit à ce jour !
L’Angleterre qui avait son idée de « derrière la tête » et voulait se libérer du gouffre de l’UE, n’a jamais songé qu’elle se retrouverait face à la puissance terroriste de Bruxelles.
Y’a-il une issue : sans doute, mais la sortie du Royaume Uni de l’Empire de Métropolis mettra plus que ce que la Guerre des Cents ans a mis pour se dissiper dans les abysses de l’inconscient collectif franco-occidental !
L’UE ne veut pas lâcher parce qu’elle redoute l’effet domino des café maures, un fracas et un désordre collectif ! Mais est-ce qu’une structure aussi solide sans superstructure viable et fiable peut longtemps tenir ?
-
@Mohammed MADJOUR
Bonne réflexion et très bonne question ! -
Samedi 6 avril 2019 est un jour historique.
Au Royaume-Uni, le ministère de l’Intérieur vient juste d’annoncer que les nouveaux passeports britanniques sont entrés en circulation.
Sur ces nouveaux passeports, il n’y a plus la mention « Union Européenne ».
Dans les faits, le Royaume-Uni n’est plus dans l’Union Européenne.
C’est un tournant historique.
Brexit : les Britanniques ont déjà abandonné l’Europe sur leurs passeports.
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON