@jakyxxxl
Je ne fais ni le procès de la presse, ni
des lanceurs d’alertes. Non, j’objective des réalités, la façon dont ce
quatrième pouvoir se comporte aujourd’hui, comme le sociologue Jean-Pierre Le
Goff le dénonce, en pointant le fait que les journalistes au lieu de nous
livrer le fruit d’enquêtes, d’investigations rigoureuses en confrontant
différents points de vue pour aiguiser notre esprit critique, passent leur
temps à se cacher derrière leur métier pour faire propagande de leurs opinions,
qui sont la copie conforme d’une l’idéologie dominante. Il faut donc dénoncer cet
abus de pouvoir. Ca, c’est bien le travail de l’historien du temps présent, qui
doit prendre ses responsabilités. Lorsque ce journaliste jette l’opprobre uniquement
en créant la polémique sans aucune matière, c’est un déni d’information. Ce
serait comme condamner quelqu’un par suspicion qu’il puisse commettre un
meurtre, et donc non seulement sans preuve mais sans même l’objet du crime.
Comment peut-on accepter cela ? Aujourd’ui, c’est un fait, il n’y pas le début d’une justification à un tel article, sinon la mégalo de ce journal. Je ne me prépare donc à aucune panade, en cas de révélations futures supposées, mais constate les choses en l’état, rien de plus. Autre exemple éloquent, sur la question du
changement climatique, on retrouve les mêmes excès, ces journalistes acquis à l’idée que si nous n’arrêtons
pas de respirer notre monde va mourir montent en épingle la moindre étude
d’une sombre association écolo jamais vérifiée, de façon cauchemardesque, en ne
respectent plus grand chose en matière de déontologie journalistique. Aucune
autre voix que celles qui confortent la leur ne peut se faire entendre. Sans compter que centrés sur leur nombril d’urbains riches, en recherche d’immortalité à travers un nouvel hygiénisme démesuré, ils justifie l’idéologie d’une transition
climatique à marche forcée qui se traduit par une nouvelle discrimination sociale, interdisant
aux banlieusards de milieux populaires qui ne peuvent changer de véhicules de ne plus entrer dans
Paris. C’est la honte ! Cela alors que nous sommes pour 1% dans les émissions de
CO2 et l’un des pays les plus vertueux, toute évolution ici nous échappant car se
trouvant entre les mains de pays comme les Etats-Unis, la Chine ou l’Inde,
principaux pollueurs. Sur tous les sujets on pourrait faire le même constat. L’exemple de cet article est un
modèle du genre pour l’historien. Il dévoile non seulement une certaine
imposture mais un ressentiment qui va avec la collusion à un système injuste et
malfaisant qu’il s’agit de justifier en dépréciant tout ce qui pourrait s’y
opposer, tel le sentiment d’appartenance à une nation fière à travers l’exploit
de l’un de ces petit gars, qui donne des coups de pédales à nous faire rêver.