@Marc Dugois
vous vous moquez de moi là !
parce que j’ai écris tout un article pour expliquer que la monnaie est un titre de créance sur tout membre du groupe qui l’utilise, et plus exactement, tout membre en besoin, soit par nécessité soit par cupidité.
Vous y verrez notamment écrit ceci "La monnaie est donc un contrat d’échange au porteur. Celui qui détient
la monnaie, détient un droit sur tous ceux qui sont demandeur d’un tel
droit pour leur propre usage, soit en terme de consommation de
marchandise, soit en terme d’investissement (nécessitant la réserve de
valeur) et devront exécuter un devoir équivalent au droit convoité.
C’est donc le détenteur de la monnaie qui décide du devoir à remplir
pour acquérir le droit qu’il détient. La concurrence ayant pour rôle
déclaré de permettre de fixer le contrat au meilleur rapport
offre/demande
"
J’écris surtout que la subtilité que tout le monde s’emploie à ne pas voir et que votre définition oublie, même et surtout parce que c’est sous entendu, c’est que la monnaie comporte obligatoirement pour avoir de la valeur une face crédit ou créance ou droit ET une face débit ou dette ou devoir, car il n’y a créance, que s’il y a dette. Sans cela, c’est de la monnaie de monopoly. Conséquence directe, la partie créance est détenue par celui qui détient la monnaie et la partie dette, par celui qui est en besoin, soit par nécessité ou par cupidité. Autrement dit, la monnaie est toujours nominative quant à sa partie créance car elle est toujours dans les poches de quelqu’un et la partie dette généralement anonyme, sauf bien évidemment lors d’un emprunt ! Enfin, j’explique aussi dans un autre article, que l’unique manière de solder une dette non remboursable, c’est de créer de la monnaie (ou déclarer la monnaie en faillite) et que déclarer une banque en faillite ou non n’a aucune importance, sauf politique à destination des ignorants.
Ici, aucune idéologie, seulement expliquer le système monétaire actuel. Cela dit, par définition, l’idéologie consiste à trouver le système qui répond le mieux à sa vision idéale de la société. Bref, à vous lire, vous êtes tout autant que moi et la plupart des êtres humains un idéologue. Aussi, m’accuser d’idéologie est pour le moins absurde !