@JL
je ne pense pas confondre l’espace et ses représentations géométrique.
je vois surtout que vous ne pouvez pas conceptualiser le principe de division fractale. Pourtant, vous n’y êtes pas loin, puisque vous arrivez à concevoir que l’espace premier, s’il a lieu et de toute évidence on ne peut pas faire sans, sauf à s’en remettre à un Dieu créateur au delà duquel on ne peut rien dire et qui sert en cela de point de départ à la raison, mais c’est donc croire en la magie d’un magicien pour la création de l’Univers physique et l’impossibilité d’en dire plus. Donc, on ne peut pas faire sans le postulat que l’espace existe de lui même sans création possible et d’ailleurs, je vous défi de faire l’expérience mentale de supprimer l’espace. Sauf que, s’il y a espace, il y a forcément un temps lié à cet espace, mais étant tout comme lui infini et alors, oui, on tombe naturellement sur un espace-temps euclidien.
L’astuce, entre autres, c’est que définir une direction, puis deux, puis trois à cet espace, c’est définir un temps qui ne soit plus tout à fait infini, mais bel et bien fini, car vous ne pouvez donner une puis deux et trois directions formant un espace muni de directions, que si vous divisez cet espace en points ayant tous une même masse, sans cela, cela n’a aucun sens de parler d’espace à trois dimensions. Et la preuve simple en est que, pour désigner une direction pour caractériser une dimension, on part du principe qu’une droite est une suite de points. Mais dès lors où vous parlez de points, vous leur donnez automatiquement une valeur non nulle, même si vous dites qu’elle est sans masse, elle est déjà l’expression d’une relation de causalité, donc, de masse, même et surtout virtuelle ;
Ce « détail », n’a pas été considéré et carrément oublié pour certaines raisons que je ne vais pas aborde ici, mais les conséquences expliquent l’incapacité à comprendre l’Univers physique dans ses fondements. Et ce, à tous les domaines, philosophique, religieux et bien sûr, scientifique. C’est à dire, la métaphysique !