@Marc Dugois
Ce droit, vient du devoir à accomplir pour acquérir ce même droit et ainsi, inverser le sens de la relation, donc, être celui qui détient un droit sur celui qui est en nécessité d’acquérir ce droit pour son usage et devra pour cela accomplir un devoir selon le terme du contrat d’échange établit.
Bref, tout droit implique un devoir et tout devoir applique un droit (relation de causalité intangible à toutes les échelles ou dimension ou Univers physique). Cela veut dire que s’il n’y a pas de devoir correspondant, alors, il n’y a pas de droit qui tienne. (entre parenthèse, au niveau international, le droit est une coquille vide car il n’y a pas de devoir de l’appliquer et c’est la raison pour laquelle pratiquement tous les dirigeants de tous les pays l’ont signé, sans cela, personne n’aurait signé la charte des droits humains !)
Ici, peu importe de disserter de savoir qui a crée la monnaie,qui à ce pouvoir pour répondre à JL, mais seulement de remarquer que celle ci n’a de valeur en tant qu’intermédiaire des échanges, qu’à la condition où tous ceux qui l’utilisent acceptent le fait que détenir la monnaie, c’est détenir une créance, qui est un droit acquis et ne pas avoir de monnaie, c’est détenir une dette, un devoir à accomplir envers celui qui détient de la monnaie. Sans cela, la monnaie ne pourrait pas servir d’intermédiaire des échanges et n’aurait pas lieu d’exister en tant que telle. Ensuite, la confiance se décrète par la force à obliger ceux qui ne voudrait pas de ce moyen d’échange à devoir s’y plier, c’est ainsi que le dollar s’est imposé, tout comme chaque monnaie en son pays d’usage. Mais l’usage de la force est consubstantielle du devoir à accomplir pour acquérir le droit ou créance monétaire, car sans la détention et l’usage de la force, il n’y a pas de devoir qui tienne. Dans la réalité, la loi est toujours celle du plus fort, jamais celle du plus faible, sauf dans l’imaginaire !
C’est cela la réalité JL, le fait qu’il est impossible d’échapper à la causalité dans la réalité (dont l’étymologie veut dire « cause »), sauf dans son imaginaire. Mais vous ne voyez toujours pas les implications de ce simple constat au niveau fondamental, tout comme Aristote ou n’importe qui d’autre.