@troletbuse
Bonjour,
vous me connaissez suffisamment pour savoir que, de manière
générale, je ne suis pas enclin au complotisme, ainsi je ne
considère pas que l’épidémie a été volontairement provoquée, ni
d’autre part qu’elle est anodine, MAIS il y a assurément des manoeuvres de « récupération »,
comme c’est le cas de certains drames ou grandes crises (migrations,
pollution, climat, etc.).
Dans la présente
situation, il faut bien considérer les circonstances, et notamment
le fait que la première manifestation de l’épidémie a eu lieu en
Chine, pays autocratique où la population est sous surveillance, et
qui a pris des mesures coercitives drastiques -après avoir
brièvement tenté de cacher le problème-, les mesures se sont
finalement révélées efficaces, et cela a conduit à un effet
d’entrainement sur les autres pays contaminés (ne pouvant "faire
moins" aux yeux du monde).
Mais cela amène à se
poser la question de l’autoritarisme
coercitif, car reclure à domicile tout un peuple ne
s’était jamais produit, est-ce même « constitutionnel » ?.
Et par ailleurs, alors que nos gouvernants mégotaient
l’an passé sur 5 euros d’APL alors que le déficit était pourtant
déjà inférieur à 3%, voilà ouverte la corne
d’abondance se déversant dans le tonneau des danaïdes
(mes illustrations), sans explication sur le financement. La finance
n’ayant pas de propension à la philanthropie, on peut
s’inquiéter.
La situation présente constitue un « précédent »,
car demander aux gens de produire un « laisser passer »(auto-attribué !) pour aller acheter son pain ou faire pisser son
chien, avec contrôle policier et amende à la clé, cela peut
conduire à faire accepter des restrictions
pérennes des libertés publiques.
En outre, l’aspect « mondial » de la crise amène l’évocation d’instances mondiales au dessus des états (même si actuellement c’est du chacun pour soi).
Est-ce
prémédité, comme l’article que vous indiquez l’affirme ? on ne peut
effectivement exclure que certains attendaient
l’« occasion ».
Le rôle des média comme
« préparateurs de terrain » et
« justificateurs des décisions » me
semble également questionnable (même si certains journalistes
pensent manifestement que c’est leur devoir civique pour la bonne
cause).