@Luc-Laurent Salvador
Vous êtes malin. Vous esquivez. Je vous parle de compréhension, vous vous fixez sur la bienveillance.
Je n’ai pas été bienveillant avec Mélusine, il n’y avait pas de nécessité, j’ai seulement compris ce qu’elle pointait parce que mon écoute est « compréhensive » au sens où, je m’attache à comprendre l’intention de communication plutôt qu’à repérer là où le message de l’autre peut être pris en défaut.
Le problème c’est quand l’intention de communication est fallacieuse. C’est souventl le cas avec votre vision du christianisme.
Comme vous ne le savez que trop bien, le christianisme prône la charité mais pas la complaisance, partant l’éducation chrétienne corrige, discipline, etc. N’est-ce pas ?
Bref, elle est à l’opposé de la bienveillance invétérée et invertébrée à laquelle on invite actuellement les parents vis-à-vis de leurs chers et tendres.
Je me réjouis que nous soyons d’accord sur le parler vrai. Ainsi je peux vous dire que je soupçonne un égarement de votre part concernant votre dernière assertion sur l’ambivalence du bien et du mal.
Il n’y a pas d’ambivalence du bien, il n’y a pas d’ambivalence du mal. Il s’avère simplement que nous peinons à voir l’envers des choses et nous sommes prompts à juger qu’une chose est bonne (ou l’inverse) sans voir ses effets néfastes (ou l’inverse).
La propension que je devine à vous situer « au-delà du bien et du mal » m’inquiète concernant votre salut. La « connaissance » que vous cultivez n’est pas du bon côté de la force...