@pemile
D’autres facteurs ont également été améliorés, comme l’espérance de vie par exemple. Actuellement, d’ailleurs, elle commencerait à régresser. Les conditions sanitaires, l’hygiène, la prise en charge, le suivi, l’alimentation , les antibiotiques ont considérablement été améliorés ou développés.
La moyenne des décès ne peut pas être prise en considération si l’on est vacciné. Ca marche ou cela ne marche pas !
Le propre d’une expérience scientifique c’est de toujours chercher à invalider une théorie et non pas de tendre à la confirmer. Si la théorie peut être invalidée, une seule fois, c’est qu’elle n’est pas valide.
Pourquoi un vaccin anti-grippal fonctionnerait-il certaines fois, chez certaines personnes, et pas chez d’autres ? Parler de « moyenne » dans un tel cas c’est refuser la réalité scientifique.
Soit les vaccins fonctionnent, soient ils ne fonctionnent pas. Et si au cours de certaines années, il y a une recrudescence de décès grippaux c’est que les vaccins sont inefficaces. Un vaccin ne peut pas marcher à moitié. C’est comme une femme enceinte : elle n’est pas « un peu » enceinte : elle l’est ou elle ne l’est pas.
Un vaccin anti-grippal est supposé vous protéger contre la grippe. S’il ne fonctionne pas tout le temps, c’est qu’il ne fonctionne pas. Il devrait s’attaquer au virus, il ne le fait pas.
La grippe espagnole, ou la grippe asiatique, ou la grippe de Hong Kong n’ont pas fait le même nombre de morts que d’autres grippes. Pourquoi faudrait-il raisonner par « moyenne » ?
Soit une substance fonctionne, soit elle ne le fait pas. La vitamine C, par exemple, vous soigne du scorbut, toujours tout le temps chez tout le monde, pas de « moyenne » à chercher, elle fonctionne pour chacun.