La crise sanitaire a bon dos. En fait, il s’agit surtout
d’une question de multiplication des lapins sur le papier.
Puisqu’une voiture rapporte un certain bénéfice pour le
constructeur, plus il en fabrique, plus il espère gagner. Il n’est pas question
de tenir compte de la demande qui est bien inférieure puisqu’il s’agit de
modifier les normes des contrôles techniques pour imposer le renouvellement de
voiture.
De ce fait, les parkings sont pleins de voitures invendues :
400.000.
Bien sûr, on va nous proposer des réductions.
Mais ces véhicules ne correspondent pas aux normes qui
seront appliquées en 2021. Donc, il s’agit du principe de la patate chaude en
refilant des véhicules qui d’avance ne sont plus aux normes.
Il est question de "conversion vers les véhicules
propres"
La voiture électrique est une ineptie vis-à-vis de
l’écologie. De plus, les batteries sont intégrées au châssis. Ainsi, lorsque la
batterie aura perdu ses capacités, il faudra revendre le véhicule.
En revanche, on attend toujours que l’exemple vienne
d’en-haut. Ceux qui nous imposent ces véhicules les ont-ils en voitures de
fonction ou à titre personnel ?
Pour ce qui concerne les économies, avec LINKY il faut bien
comprendre que les taxes actuelles sur les carburants passeront sur les tarifs
de l’électricité.
« 400 000 emplois industriels »
Ca y est, le réveil a sonné. On découvre maintenant que les
accords internationaux sur le libre échange ont permis aux multinationales de
délocaliser pour accroître leurs profits.
Depuis 40 ans la France perd 150 emplois industriels par
jour.
A quand la relocalisation de tous les emplois industriels ?
Il ne faut pas oublier que ce qu’on économise sur
l’achat de produits fabriqués dans les pays à faibles coûts, on le paie sur le
chômage et par les impôts.