@Et hop !
De la littérature, et surtout des films, des musées, qui prouvent l’idéologie résistancialiste, il y en a des wagons entiers. C’est la seule production qui soit financée, publiée, autorisée, diffusée massivement dans les écoles, sur les écrans. Il y a même des lois qui punissent de prison les recherches qui risquent de remettre en question le récit officiel. Ce n’est pas pour rien que l’épine dorsale des historiens de cette période est constituée de staliniens.
Avant François Furet, il y avait la même chappe de plomb sur l’histoire de la Révolution française : la chaire d’histoire de la révolution française créée sous la IIIe République donnait l’histoire officielle, on pouvait apporter sa contribution, mais pas la contredire. Un étudiant ou un enseignant qui aurait publié une critique du dogme était immédiatement persécuté, déconsidéré, banni. On ne rigolait pas avec le Dogme. Et puis à partir des années 1985, qui sont celles où les communistes et les trotskyste deviennent des chantres du libéralismme et de la mondialisation (les Néo-conservateurs), la classe dominante n’est plus nationale, elle n’a plus besoin du discours de légitimation du pouvoir national français, la nation est un concept crée par la Révolution française, il doit sauter.
La nouvelle classe dominante libérale-mondialiste n’a plus besoin de l’idéologie qui fonde le pouvoir jacobin de la Nation française, par contre elle a toujours besoin de l’idéologie qui fonde le pouvoir des néo-conservateurs : l’anti-nationalisme en est un pilier, l’anti-socialisme un autre pilier, donc l’anti national-socialisme.