@Alcyon
Si vous vous mettiez à réfléchir, peut être obtiendriez vous des réponses ? Alors je vais vous aider. Mais, au moins, votre questionnement est un début de réflexion.
Le zinc, l’organisme humain en obtient de son alimentation. Le zinc participe aux réactions immunitaires. Il se trouve que certaines personnes, présentant diverses pathologies (le plus souvent des maladies métaboliques qui s’installent sur le très long terme) ont des systèmes immunitaires beaucoup trop sollicités par des inflammations de bas grade. Les hypertendus, les diabètiques, par exemple, ont un système immunitaire beaucoup trop sollicité. Ce qui veut dire que le « zinc » est engagé en permanence dans la défense immunitaire. Rien d’étonnant, par conséquent, que les personnes âgées présentant des comorbidités soient carencées en zinc. Ceci est connu, archi connu et avéré.
Agueusie et anosmie sont au rendez-vous en situation de carence en zinc. Ceci est parfaitement documenté. Ce sont d’ailleurs les premiers symptômes de l’attaque du coronavirus ! Il n’y a aucun hasard !
https://academic.oup.com/ajcn/article/110/1/76/5510583
En situation physiologique « normale » les être humains ont suffisamment de zinc pour répondre aux besoins du système immunitaire. En présence de chloroquine, ionophore du zinc, ce dernier pénétrera facilement dans les cellules et empêchera la réplication virale. Ceci explique « pourquoi » les personnes présentant des comorbidités, défaillantes en zinc, sont les premières victimes du coronavirus. D’ailleurs les chiffres de la mortalité le montrent parfaitement bien.
Les plus jeunes et les personnes saines n’ont aucun problème avec leur « zinc ». En cas d’attaque du covid le corps se défend et repousse la réplication virale. Si la chloroquine est donnée en traitement, alors le zinc en question pénètre encore plus facilement dans la cellule et s’oppose à la réplication virale.
Le professeur Raoult a négligé l’adjonction de zinc à son protocole mais d’autres l’ont très bien intégré avec des résultats spectaculaires ! Le coronavirus est controlé en moins de 36 heures.
Maintenant la question qui devrait se poser est bien celle de savoir « pourquoi » les « autorités » de santé, quelles qu’elles soient, font en sorte de passer sous silence le rôle du zinc dans la réplication virale et le rôle effecteur de la chloroquine sur le zinc. Ceci est avéré et démontré scientifiquement et les études ne manquent pas.
Si l’on en venait à dire aux Français, ou à d’autres, qu’un traitement à base de zinc et de chloroquine, dès les premiers symptômes, permet d’éteindre l’action du virus, et sa réplication, en moins de 36 heures, alors des responsabilités terribles seraient engagées.
Pourquoi passe t-on sous silence que la chloroquine est l’ionophore du zinc et que le zinc empêche la réplication virale ? Ce sont des questions de fond, ce sont ces questions que devraient être centrales. On masque ce silence en parlant sans arrêt des études randomisées. Y aurait-il des intérêts financiers en jeu ? D’autres intérêts ?