@bubu123
Je fais un vraie réponse.
Le professeur Raoult est passé, initialement, à côté du zinc, preuve qu’il n’est pas omniscient. D’autres scientifiques ont ajouté du zinc au protocole « Raoult » et les résultats ont été fabuleux.
Vers le milieu de la pandémie covid19 le professeur Raoult a indiqué que l’adjonction de zinc à son protocole était une excellente idée.
Cette supplémentation en zinc, associée à la chloroquine, permettait d’avoir des résultats extrêmement rapides dans le combat contre le covid19. En à peine 12 heures de ce traitement, les symptômes commençaient à disparaitre. Sans complémentation en zinc, le processus était plus long principalement chez les personnes manquant de zinc parce que leur organisme utilisait déjà ce zinc pour combattre d’autres pathologies.
Ce qui est le plus consternant c’est que la réalité biochimique de l’effet antiviral du zinc était connue comme celle de l’effet ionophore de la chloroquine.
Pourquoi les autorités de santé ont fait comme si ces réalités n’existaient pas, chacun y apportera la réponse qu’il souhaite. Evidemment, si personne dans les médias dominants ne parle de la chloroquine en tant que ionophore du zinc et de l’effet antiviral du zinc, alors personne n’y comprend rien. Cela reste une connaissance d’un nombre restreint de personnes (sauf des biochimistes qui tous connaissent cette réalité).
La manière d’agir du zinc dans la cellule est fortement complexe et certainement pas accessible au commun des mortels. Le coronavirus se réplique dans le cellule qu’il a envahi en faisant produire par celle-ci, à travers l’ADN et l’ARNm, les séquences protéiques qui lui sont nécessaires. La cellule « travaille » donc à la réplication virale et délaisse son rôle initial. Le zinc intervient lors de cette opération et régule la production de protéines pour qu’elles soient conformes à ce que souhaite l’organisme. La demande « virale » n’aboutit pas, le virus ne se réplique pas.
Les chercheurs ont même mis en avant le concept des « doigts de zinc ».
« La fusion de motifs à doigts de zinc à des domaines effecteurs interagissant directement avec l’ADN permet potentiellement de cibler l’action d’un grand nombre de domaines de modification de l’ADN à un locus désiré. »
L’étude est ici, mais très complexe.
(Les doigts de zinc sont de petits motifs structuraux trouvés dans les protéines, et capables d’ordonner en complexe un ou plusieurs ions zinc pour stabiliser leurs plis. Ils peuvent être classés en plusieurs familles structurelles différentes (protéines à doigt de zinc) et fonctionnent typiquement comme des groupes d’interaction liant l’ADN, l’ARN, les protéines ou de petites molécules.)
http://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/6009/MS_2007_10_834.html ?sequence=23&isAllowed=y