@JC_Lavau
Je me contrefiche de la manière dont sont désignés les « rejets » dans l’atmosphère, le fait est qu’il y a modification, de par notre activité, de la composition de celle-ci. Il se peut que nos rejets ne soient pas les seuls en cause, voire même qu’ils ne soient pas prépondérants, mais ils contribuent.
Ce que je relevais, c’était la contradiction entre la baisse des rejets carbonés d’une part, et d’autres formes de rejets ou résidus, tels que les déchets nucléaires à longue durée de radio-activité. La priorité est « à géométrie variable » selon l’approche qui est adoptée.
Je relève aussi le « green washing » opportuniste des politiciens, auquel il faut associer la « communication » journalistique, publicitaire, « culturelle », etc. Pas une pub ou un « petit feuilleton » qui ne récupère la cause verte.
Un mode de vie frugal, se chauffer à 18° au lieu de 25 en hiver, ne pas refroidir à 18° en été au lieu de 25, éviter les croisières et séjours aux antipodes, acheter « local » et cultiver son potager, voilà qui sont des « bonnes pratiques » plus concrètes et efficaces que 150 propositions. Je consomme moins sur autoroute à 130 avec ma Renault 1,5dci FAP (Crit’air 2) qu’un hybride-essence ne consomme à 110, la mettre à la casse serait un gaspillage écologique ! Par contre, en tant que rural je la laisse au parking du tram pour aller en ville, mais n’attendez pas que je fasse mes courses ailleurs qu’au centre commercial en périphérie.