@Decouz
La théorie des codes n’est qu’un procédé mathématique statistique. Cette théorie a été vérifiée sur d’autres textes et fonctionne bien. La difficulté est la définition des séquences de texte qu’il faut choisir. Mais ici, si un résultat a été trouvé, c’est que les séquences de textes utilisées ont un sens. Un autre découpage aurait pu ne trouver aucun résultat, ce qui ne permet pas de conclure où trouver des différences plus marquées, ce qui aurait permis un résultat plus précis.
« Il est aussi décidé arbitrairement qu’Allah devrait prendre toujours le même code » C’est au moins ce à quoi on devrait s’attendre.
D’un autre côté, nous observons aujourd’hui, pour ceux qui reçoivent des paroles de l’Esprit-Saint, que ces paroles ne sont pratiquement jamais des mots, mais des connaissances inscrites dans notre cœur. Si nous vouons répéter ce que l’Esprit-Saint nous appris, il nous faut utiliser nos propres mots. Si nous retenons cette explication, il nous faudra admettre que les messagers sont multiples et Muḥammad n’est pas le seul.
Par ailleurs, Dieu ne peut pas se tromper, or, plus j’analyse le Coran, plus je vois des erreurs que Dieu n’aurait pas pu faire. Mettre Marie dans la Trinité chrétienne, par exemple. Lisez « le Coran des historiens ».
Vous pouvez toujours penser que la thèse de Jean-Jacques Walter n’est pas le seul document qui va dans ce sens. Il existe bien d’autres documents qui traitent de tous les aspects du Coran : histoire, archéologie, philologie, langue, écriture et le paysage qui se dessine est remarquablement homogène. Il n’y a plus qu’une seule conclusion possible : le Coran est faux.
Bien sûr, dits par un non-musulman, ces mots ne sont pas audibles, aussi je ne vous demande pas de me croire, mais plutôt de vérifier par vous même.