@ZenZoe
êtes vous certains de ne pas écrire vous même des non sens et de devoir aller potasser le droit ?
parce que voyez vous, jouer la comédie pour tromper et dissimuler un crime est punit par la loi et même sévèrement selon la gravité des faits, cela s’appelle un faux témoignage. Au cas où vous ne le sauriez pas, Jonathan Daval ne jouait pas la comédie sur une scène de spectacle où le juge serait le spectateur. Voilà qui est totalement absurde où je vous laisse juge de ce qu’il faut en penser !
Ensuite,si le terme de « postméditation » n’existe pas en droit, son principe est lui parfaitement reconnu, toujours dès lors où la personne à dissimulée son crime et cherché à faire accuser d’autres personnes en détournant les enquêteurs sur de fausses pistes, tel un tueur de joggeur et ensuite si ma mémoire est bonne son beau frère et sa belle famille. Cherchant alors à transformer un meurtre en assassinat où pour répondre à Septime Sévère, la charge se retourne contre lui, notamment parce qu’une autre personne aurait pu être accusé à tort de son crime et prendre perpète à sa place. Bref, Daval à bel et bien médité après coup son meurtre pour savoir comment échapper à la « justice », fabriquer un faux coupable et se fabriquer un alibi, ce qui pour moi est littéralement une « postméditation ».
A Septime Sévère, mon commentaire ne fait pas de théorie et encore moins hallucinée étant donné que je fais que rappeler les faits jugés ou alors, il faut croire que toute cette affaire est une hallucination collective et où vous devriez créer une association de soutiens à Jonathan Daval pour réclamer sa libération immédiate.
Perso, ce que je trouve hallucinant, c’est le soutient que vous affichez à l’endroit de Daval avec nombre de forumeurs ici présent, comme si finalement, la véritable coupable était Alexia Daval et sa famille.
Vous pouvez toujours trouver des circonstances atténuantes et les avocats de la défense s’en sont donné à coeur joie, mais lorsqu’on prétend à « juger », c’est à dire à la neutralité, on se doit aussi de relever les circonstances aggravantes, c’est à dire, la postmédiation, sans laquelle sa condamnation aurait été bien plus faible.
Pour finir, si Jonathan Daval n’a pas fait appel de la décision, c’est qu’il à sans doute finit par reconnaître non seulement son crime, mais aussi sa postméditation ayant infligé une forme de double peine à la famille de sa femme et qui sans doute lui aura valu au moins dix ans de plus à sa peine.