@Septime Sévère
comme vous le rappelez, le mensonge est permis tant qu’il est pris pour la vérité, mais cela veut bel et bien dire qu’il n’est pas permis, car sans cela, il serait alors impossible de faire la différence entre un faux témoignage et un vrai. Ce qui est absurde. Ici, le faux témoins garde la possibilité de se rétracteur impunément que dans la mesure où il finit par dire la vérité et avant d’être formellement démasqué et si son faux témoignage n’est pas considéré comme une forme de complicité, car s’il maintient ses dires et que son faux témoignage est démasqué par la suite, alors, il pourra être punit, sans cela, encore une fois, la notion de faux témoignage n’aurait pas lieu d’exister. Quoiqu’il en soit, zenzoe dit une énorme bêtise en disant que jouer la comédie n’est pas un délit dans une affaire pénale, mais où, étrangement, c’est moi qui suit « fantaisiste » et qui qui voit la loi de manière spéciale.
Pour finir, mon commentaire ne portait qu’en partie sur le faux témoignage en réponse à zenzoe confondant 1er et second degré et sur lequel vous répondez en croyant faire preuve d’autorité, faisant mine de ne pas voir que je vais juste à la généralité selon lequel un faux témoignage est un délit et non pas une comédie.
Pour le reste, vous vous gardez bien de répondre autrement qu’en vous parant d’une autorité dont j’ignore la source et où si vous avez des compétences juridiques, ben désolé, elles sont bien faibles, car encore une fois, le cas de Daval est bel et bien celui d’une post méditation et c’est sans doute la raison de sa condamnation plus forte que la moyenne dans un cas semblable et où s’il a échappé à la perpétuité, c’est sans doute dû au fait qu’on ne peut pas condamner de la même manière qu’avec une préméditation.
Allez, prouvez moi votre compétence, votre autorité en la matière en invalidant la post médiation de Daval... A vous lire !