@Pcastor
abstenez vous de vous réfugier derrière des étudiants imaginaire, si vous êtes une grande personne, c’est plutôt pathétique.
ici, je n’ai jamais dit que le terme « postméditation » était dans le code pénal, je le reconnais depuis le début dans ma réponse à Septime Sévère. C’est seulement vous qui affirmez stupidement le contraire.
Je vous ait simplement invité à me démontrer que le terme n’était pas applicable au cas Daval, ce que vous vous abstenez de faire.
ce que vous ne voyez visiblement pas, c’est que la postméditation n’implique pas de définir un cas supplémentaire, rien de plus stupide, parce qu’il s’applique essentiellement au cas 2 (plus rarement au cas 1 et évidemment pas au cas 3), dont vous oubliez de préciser que la différence avec le cas 3 est la préméditation, sans cela, je vous défi de faire la différence. L’absence de préméditation impliquant une intention immédiate, sous le coup d’une colère incontrôlé, car la préméditation ne définit pas un temps de réflexion, quelques heures, voir minutes peuvent suffirent pour qualifier un assassinat, la condition étant que l’acte soit froidement décidé.
Or, Daval a été déclaré coupable selon le cas 2, mais au lieu de se livrer à la police, celui-ci a bel et bien réfléchit, médité après coup comment se soustraire à la justice. ¨Post, signifiant après et parlant de crime, désigne la réflexion sur son geste avant que le meurtre soit connu, donc, dans les mêmes conditions que la préméditation. Au delà, on ne peut évidemment plus parler de postméditation !
je crains que ces subtilités vous échappe, mais allez donc voir des étudiants et demandez leur de vous les expliquer, mais ne soyez pas surpris s’ils rient de vous.
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